Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé ! ( RP dans le passé) [PV Sophie Deschaps]
Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Dans les Bois... Parents Divins : Poséidon
Sam 9 Fév - 12:09
Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé!
Melinoë alias Mëlie pour les intimes, s’était en cette soirée isolée près d’un lac les pieds dans l’eau pensive elle triturait de ses doigts un collier contenant secrètement la seule photo d’elle âgée de 2/3 ans dans les bras de son père qui de sa main libre enlaçait la taille de sa mère. Cette photo prise par grand-mère Héra était bien le seule souvenir qu’elle conservait sur elle depuis son départ de l’Olympe. Ce n’est pas que Mëlie ne se sentait pas à l’aise avec les chasseresses et sa tante loin de là, seulement notre jeune déesse avait le mal du pays comme on dit et avoir été séparée ainsi de ses parents et ne plus les voir même en secret aussi souvent qu’avant la rendait triste. Bien que sa tante et les chasseresses formait une famille à ses yeux ce n’était pas la même chose.
L’un des rêves de Mëlie était de retourner auprès d’eux sur l’Olympe mais elle savait que ce n’était pas possible pour l’instant. Ce qui la frustrait le plus était sa condition d’enfant divin enfin elle n’était plus une enfant mais sans qu’on en sache réellement la cause elle avait cessé de grandir une foi qu’elle avait atteint 14 ans. Bien sur elle pouvait à l’image de son cousin Eros prendre sa véritable apparence divine celle qui devrait être sienne cependant il y avait un hic… Sinon ce serait trop simple n’est-ce pas il s’agissait de ses pouvoirs, bien trop puissant pour un si petit corps et si en reprenant son apparence véritable elle pouvait faire usage de sa pleine puissance cela blessait inévitablement son « enveloppe charnelle » et pouvait sérieusement la blesser voire la tuer du moins tant que faire se peut avec un immortelle, elle serait juste dispersée en particules dorées pour un temps plus ou moins long comme les monstres et les titans peuvent l’être aussi. Soupirant elle commença à faire sortir de l’eau une bulle d’eau et s’amusa distraitement à la modeler en diverse forme au gré de son imagination. Elle sentit sa tante la rejoindre sans doute pour la réconforter une fois de plus mais Mëlie n’avait pas besoin de ça mais elle était reconnaissante des soins que lui donnait sa tante.
- Ils me manquent tante Artémis je… j’aime ma vie avec toi et les chasseresses mais l’Olympe c’est chez moi et je ne peux même pas y rentrer et puis tous ses secrets que je dois garder qu’on ne découvre pas pour ma protection je crois que par moments ca me pèse juste trop de ne pouvoir en parler à personne… Si au moins je pouvais au moins en dire une petite partie à ma meilleure amie ce serait sans doute plus simple… plus supportable du moins…
- Artémis : Si tu juges qu’elle est digne de confiance et qu’elle ne l’étalera pas au sein des chasseresses je suis d’accord que tu lui en parles mais n’oublie juste pas que moins de personnes sont au courant plus ton secret est sûr Mëlie.
Mais Sophie est une personne de confiance je sais qu’elle ne dira rien et puis je ne le dirai qu’à elle mais un soutien quand tu n’es pas là me serait bénéfique.
Artémis : Alors en ce cas parle lui j’ai confiance en mes chasseresses et en ton jugement.
Remerciant sa tante se sentant un peu plus gaie Mëlie se redressa vivement pour partir à la recherche de son amie l’appelant pour la trouver espérant qu’elle ne s’était pas encore perdue en voulant porter secours à une bestiole blessée comme souvent. Elle finit par retrouver ce qui lui servait accessoirement de meilleurs amie en train de ranger sa trousse de secours après avoir bandée l’aile d’un aigle.
- Te voilà je te cherchais est-ce que l’on pourrait parler un moment en privé dans ma tente enfin sauf si tu es occupée….
Mëlie stressait un eu non pas sur le fait que son amie le crierait sur tous les toits, mais plutôt sur un changement de regard au regard de son statut réelle de divinité dans un premier temps mais aussi à cause de son ascendance. Elle lui en dirait le plus possible mais peut-être pas tout d’un coup cela dépendrait de ce qu’elle se sent de lui dire et sa réaction aussi en soi.
Sophie aimait bien se retrouver seule parfois. Les Chasseresses étaient de très bonnes amies, des sœurs même, mais parfois, elle ressentait le besoin de s’isoler loin de toutes ces émotions que son empathie lui provoquait. Quand elle se sentait surchargée par les émotions qu’elle recevait, Sophie aimait se réfugier au cœur de la forêt où elle se sentait plus en paix et plus calme et sereine. Elle prenait le temps nécessaire pour se ressourcer, se promenant ou en profitant parfois pour s’entraîner, mais cette fois, son arc resta sur son dos sans qu’elle n’y touche car elle avait envie de profiter de l’atmosphère de la forêt.
Alors qu’elle observait un nuage qui venait d’attirer son attention, Sophie vit s’approcher d’elle à toute vitesse un aigle magnifique. Mais elle ne s’inquiéta pas pour elle-même. En effet, l’aigle chutait visiblement, non parce qu’il attaquait, mais parce qu’il était mal en point. Dans un mouvement instinctif, Sophie se positionna et attrapa l’animal, roulant sur le sol avec l’oiseau qui se débattait. Mais ses forces lui échappaient et bientôt, il sembla perdre conscience sous le regard attristé de la jeune Chasseresse.
Pleine de sollicitude, Sophie allongea sur le sol la pauvre créature et s’assura qu’il était encore en vie. Elle palpa avec douceur chacune des parties de l’animal pour tenter de détecter les endroits où il était blessé afin de le soigner. Ses doigts ne décelèrent rien jusqu’à ce qu’elle effleure l’aile droite du rapace. L’oiseau se réveilla soudainement en poussant un cri plaintif qui ne laissa pas la jeune Chasseresse indifférente. Tendrement, elle passa son doigt sur la tête de l’oiseau.
« Là ! Là ! Je suis là, tu n’as rien à craindre, je vais m’occuper de toi. Nous allons soigner cette aile ! »
Elle sortit de son sac à dos un vêtement dans lequel elle enveloppa l’aigle. Il n’avait plus assez de forces pour être encore dangereux. Aussi, la jeune femme n’hésita-t-elle pas à l’emmener sous sa tente personnelle où elle prit le nécessaire dans sa trousse de secours pour bander soigneusement l’aile blessée. Elle donna au rapace une goutte de médicament pour l’aider à supporter la douleur et le percha sur un support qu’elle avait préalablement préparé. Elle ne l’attacha pas. Elle savait que lorsqu’il serait assez guéri pour s’envoler, il s’en irait sans ennuyer personne. Pas après avoir été soigné et cajolé comme elle l’avait fait. Et puis, elle le sentait.
L’aigle se reposait et elle rangeait sa trousse de secours quand Melinoë, le bras-droit d’Artémis, entra dans la tente. C’était la personne parmi les Chasseresses que Sophie préférait. Celle qu’elle appelait affectueusement Mélie avait été la première à lui tendre la main quand elle se sentait triste ou inquiète et elles avaient rapidement sympathisé. Sophie avait souvent remarqué que Mélie était triste ou préoccupée mais la jeune femme avait toujours noyé le poisson quand Sophie l’avait interrogée. Respectant la vie privée de son amie, Sophie n’avait pas forcé ses confidences, bien que certaines choses l’intriguaient, comme par exemple le fait qu’elle ne ressentait pas ses émotions, même si elle parvenait à les comprendre instinctivement. Sophie se disait que Mélie devait avoir une particularité et elle se demandait laquelle.
La jeune Chasseresse demanda à Sophie si celle-ci était disponible pour discuter dans sa tente. Elle avait un air grave qui inquiéta un peu son amie. Y avait-il quelque problème ? Les Chasseresses étaient-elles en danger ? Sophie était un peu inquiète mais rien ne servait de s’angoisser alors qu’elle allait avoir d’ici quelques minutes les réponses à ses questions.
« Je suis à ta disposition, Mel ! Il y a quelque chose qui ne va pas ? »
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Melinoë de Kent
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Lun 11 Fév - 18:05
Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé!
Mëlie avait donc pris la direction de la tente de son amie décidée à se soulager un peu maintenant que sa tante Artémis lui avait donné son accord. Mëlie adorait sa tante et n’aurait pour rien au monde voulu lui déplaire ou la rendre triste par une attitude inadaptée, voilà pourquoi elle avait voulu son avis avant de parler à Sophie. Que sa tante soit d’accord la soulageait grandement et puis cela signifiait qu’elle lui faisait confiance aussi. Lorsque son amie lui dit qu’elle pouvait lui parler, Mëlie pris une inspiration pour se donner contenance avant de commencer son explication.
- En fait, j’ai parlé avec Dame Artémis pour avoir son accord avant de te parler de ça car je ne pouvais le faire sans son accord. C’est juste que ce secret est important et dangereux s’il était dévoilé n’importe comment et puis cela me concerne directement. Je n’ai pour ainsi dire pas été très honnête avec toi mais avec tout le monde non par envie bien sûr, ce n’est pas un manque de confiance en vous juste qu’il ne m’appartenait pas de dévoiler ce que mon entourage a dissimulé depuis ma naissance pour ma protection.
Prenant le temps de laisser Sophie assimiler ses premiers propos, Melinoë rassemblait ce qu’elle allait lui révéler et aussi les questions que cela pourrait amener par la suite surtout en apprenant sa filiation. On ne croisait pas tous les jours une déesse, figée dans un corps d’adolescente tout de même. Voyant que son amie semblait attendre la suite de ses paroles patiemment :
- Je ne suis pas vraiment une… Chasseresse dans le sens premier du terme. Je n’ai pas prêté serment comme vous toutes. Je suis ici parce que ma tante Artémis prend soin de moi depuis que j’ai dû… quitter l’Olympe ou grand-mère Héra m’a élevée comme sa fille pour éviter que les autres dieux ne découvrent mon identité. Je ne suis pas une demi-déesse comme toi je suis… une déesse à part entière mon père est Poséidon comme mon contrôle sur l’eau laisse présager, mais ma mère n’est pas une mortelle mais Athéna.
Melinoë lui laissa le temps de comment dire, digérer ses informations ? Voilà c’est ça lui laisser du temps pour bien comprendre en sachant que la suite aussi est surprenante. Mais bon déjà quand on sait que pour tous, ses parents se détestent, savoir qu’elle est leur fille biologique aux deux et conçus de manière naturelle avait de quoi choquer vu le serment d’Athéna jadis. Puis avant de perdre le fil de ses explications elle reprit sans trop attendre.
- A ma naissance, un oracle à révélé certaines choses à mes parents qui les ont inquiétés de fait ils se sont résolus à me confier à grand-mère Héra qui s’occupa de moi en me cachant des autres dieux pour me préserver. Cependant comme l’avait indiqué l’oracle, j’ai cessé de grandir à 14 ans et même si je peux à l’image d’Eros reprendre mon corps d’adultes tel qu’il devrait être pour faire usage de mes pleins pouvoirs cela risquerait de me blesser gravement si je restais ainsi trop longtemps, du coup j’ai bridé mes pouvoirs pour éviter cela j’ai beau être immortelle comme les monstres et les titans je peux être dispersée en poussière d’or pour un certain temps.
Mëlie souffla un bon coup pour se redonner contenance attendant de rassembler ses idées, une dernière fois pour terminer et attendre les questions qui ne tarderaient sans doute pas à venir par la suite. Non pas que son amie soit si curieuse que cela non, mais elle était en droit de se poser des questions sur tout ce qu’elle lui avait dit jusqu’alors quoi de plus normal.
- Comme tu t’en doutes avec le serment de ma mère et le fait que mon père soit déjà marié... ils leur étaient difficile de me présenter aux autres dieux et puis cette mystérieuse malédiction ou maladie qui a arrêter ma croissance ne les tranquillisait pas voilà pourquoi il m’ont confié à tante Artémis se disant que hors de l’Olympe je serais plus en sécurité mais cacher que je suis une déesse n’est pas toujours évident...
Sophie était une personne patiente qui pouvait attendre longtemps dans une conversation pour savoir ce que l’autre personne avait à lui dire, surtout quand c’était visiblement difficile à dire. Et c’était, semblait-il, le cas pour Mélie. Ce qui surprenait Sophie, c’est qu’elle ait dû demander à Artémis pour être autorisée à partager sa propre histoire. Tout ceci devait être extrêmement grave pour que la déesse sacrée doive autoriser qu’on en parle. A ce niveau, il était clair que Sophie n’en parlerait jamais à personne.
Elle ressentit une certaine inquiétude quand Mélie expliqua que son silence n’était pas dû à un manque de confiance mais à un souci de protection de la part de sa famille. Mélie était donc en danger. Elle ne put empêcher sa peur de venir se glisser sur son visage et il devint évident que son inquiétude était forte. Mais elle ne savait toujours pas de quoi ou de qui son amie devait être protégée. Elle se promit que si quelqu’un lui voulait du mal, il aurait à lui en répondre.
« Prends ton temps, je t’écoute. »
Elle tenait, par ces mots, à rassurer Mélie qui semblait avoir du mal à sortir ce qu’elle voulait lui dire. Sophie ne savait pas quel était ce secret qui semblait tellement lourd à porter, mais il n’était pas question qu’elle bouscule son amie. Finalement, Mélie se décida et l’aveu qu’elle fit à la jeune Chasseresse la laissa ébahie. Une fille de Poseidon et Athéna ? Mais ils n’étaient pas censés se disputer ces deux là ? Et Athéna avait-elle offerte cette enfant à Poséidon comme elle le faisait avec les simples mortels ?
Mélie continua son histoire. Sophie l’écouta en tentant de se remettre de sa surprise. Des milliers de questions se bousculaient dans sa tête. Pour quelle raison avait-elle dû être élevée par Héra ? Que disait cet oracle ? Quand elle parla de disparaître en poudre d’or ou de se retrouver comme morte, même si elle ne pouvait pas réellement mourir, Sophie fut de nouveau très inquiète. Son pouvoir de déesse risquait-il de lui faire du mal ?
Mélie remémora alors à Sophie le serment d’Athéna, ce qui lui clarifia certaines de ses questions, mais qui compliquait singulièrement la situation. Et cela expliquait ce qu’une déesse faisait au sein des Chasseresses d’Artémis, mais pour autant, la situation ne rassurait pas tellement Sophie car Mélie ne semblait pas tellement en sécurité.
« Mais tu dis que tu as bridé tes pouvoirs. Ca veut dire que s’ils se déploient, tu risques de disparaître ? Tu es sûre que tu peux empêcher ça ? Et comment vas-tu faire si quelqu’un soupçonne quelque chose ? Tu crois qu’ils risquent de s’en prendre à toi ? Et comment est-ce que je peux t’aider avec tout ça ? »
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Melinoë de Kent
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Mar 12 Fév - 12:50
Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé!
Melinoë s’attendait clairement à toutes sortes de questions, ce qui était tout à fait normal au vu des révélations qu’elle venait de lui faire sur son secret. Un secret qu’elle portait depuis la naissance d’une part mais surtout un secret qui pourrait causer sa perte à un moment ou à un autre si certaines personnes le découvraient et même si hors de l’Olympe, de sa demeure elle était moins directement menacée sur la découverte de son secret elle savait qu’elle ne serait jamais réellement pleinement en sûreté, les propos de Sophie ne l’étonnaient guère, ils étaient à son image après tout.
- Comment t’expliquer cela clairement ? J’avoue que même moi ce concept m’échappe un peu par moment, dans la mesure où, c’est inédit chez les dieux. Pour une raison quelconque, une maladie semble-t-il, j’ai cessé toute croissance pour rester dans le corps d’une ado de 14 ans, seulement mon corps à cet âge n’est disons pas vraiment assez fort pour supporter la totalité de ma puissance de déesse. Cependant, ma puissance, elle ne ce n’est pas arrêté à l’âge où mon corps s’est figé. Du coup si je ne bloque pas volontairement mes pouvoirs je peux causer en les utilisant de graves blessures à mon corps actuel. Je peux bien prendre l’apparence que je devrais arborée depuis mes 16/18 ans environ pour pouvoir utiliser pleinement mon potentiel, mais cela ne dure qu’un temps et après je paie quand même les dégâts car mon corps en pâtit inévitablement et je pourrais finir blessée au point que, comme les monstres que nous chassons, mon corps ne se disperse et ne doivent attendre un certain temps pour se reformer.
Choisissant ses mots pour la suite de la conversation, elle se demandait juste si cette partie de la vérité est bonne à dire à son amie. Cela n’allait sans doute pas la rassurer davantage d’où le fait qu’elle ait une réserve à le lui dire mais pour lui faire comprendre les choses elle se devait de tout lui expliquer bon en évitant la fameuse prophétie dans son ensemble car elle n’avait pas vraiment compris toute celle-ci même après des siècles de vie d’ailleurs. Cependant elle savait que la prophétie avait grandement aider à son exil actuel.
- Je t’ai parlé d’une prophétie annoncée à mes parents, bien que je n’aie pas vraiment tout saisi de celle-ci, elle prévoyait que mes pouvoirs surpasseraient ceux de mes parents et que je siégerais sur le 13ème trône de l’Olympe laissé vacant par Hestia. Si effectivement mes pouvoirs dépasse ceux de mes 2 parents réunis cela expliquerait sans doute qu’avec mon corps actuel je ne puisse les supporter, mon corps n’étant pas assez résistant du coup. Pour le moment je ne peux que continuer à préserver mon secret jusqu’à ce que l’on puisse trouver comment endiguer cela ou me permettre de retrouver mon corps adulte de manière plus permanente pour l’utilisation de ma pleine puissance mais j’ignore si c’est possible à vrai dire…
Il était vrai que Mëlie et sa tante cherchait un moyen pour lui faire retrouver de manière temporaire son corps adulte où elle pourrait pleinement utiliser ses pouvoirs sans risques de manière plus durable tout comme Eros, Hestia ou même sa tante pouvait changer de corps à leur guise en somme. Cependant pour notre jeune déesse on ignorait encore pourquoi son corps s’était stoppé ce qui l’avait provoqué finalement car la prophétie n’avait rien dit sur les causes de cette partie de ses paroles. Il y a des moments ou Mëlie aurait préféré rentrer sur l’Olympe juste pour retrouver ses parents en envoyant au diable tous les dieux qui découvrirait sa véritable identité, mais cela ne serait guère du goût de son entourage et elle ne voulait pas les rendre triste.
- La seule chose à faire pour le moment c’est de maintenir mon secret en place jusqu’à ce que l’on trouve une solution qui pourra me permettre de retourner sans risque sur l’Olympe si c’est possible car je doute qu’on me laisse y retourner si les risques sont trop grands autrement tante Artémis m’emmènerait avec elle sur l’Olympe plus souvent. Ceci dit je lui obéit car elle ne fait que tenir la promesse faite à grand-mère Héra et à mes parents je ne peux pas lui en vouloir elle c’est si bien occupée de moi jusque là.
Mélie semblait un peu perdue avec son propre secret. Il semblait que tout n’était même pas clair pour elle. Dans ce contexte, ca pourrait difficilement l’être pour Sophie. Toutefois, elle n’était pas là pour juger mais pour essayer de comprendre. Dans l’absolu, elle se devait déjà de se montrer bienveillante et douce et de l’écouter. Ensuite, elle serait là pour Mélie, quoi qu’il advienne. Dans tous les cas, la jeune déesse ne serait pas seule pour affronter l’avenir loin de son Olympe natale et ça, c’était l’essentiel pour Sophie.
Mais ça ne rassurait pas la jeune demoiselle que sa meilleure amie puisse risquer son existence actuelle, rien qu’avec ses propres capacités personnelles. Pour le moment, elle se contrôlait, mais admettons qu’elle n’y parvienne plus. Oui, c’était vrai que Sophie pensait très souvent au pire, mais pour le coup, ce n’était pas complètement ridicule de s’en faire à ce sujet. Et puis, est-ce que Mélie pouvait être sûre à cent pour cent que ses pouvoirs n’allaient pas se déchaîner ? Ca, Sophie n’en était pas certaine.
« C’est comme si tu avais une bombe en toi ! Tu es sûre de pouvoir te contrôler ? Qu’il ne t’arrive rien ? »
Mélie lui raconta ce qu’elle savait de cette mystérieuse prophétie qui parlait d’elle. Sophie se demanda comment la jeune femme allait bien pouvoir devenir une Olympienne si elle n’était pas capable de dominer ses pouvoirs. La réalité, c’est que si on prenait en compte cette prophétie, ce serait complètement impossible que la situation actuelle soit définitive. En fait, ça n’aurait tout simplement pas de sens. Mélie étant très négative sur ce sujet, Sophie décida de lui remonter les bretelles.
« Tu sais comme moi que les Oracles savent de quoi ils parlent. Si tu es censée rejoindre les Olympiens, cela arrivera et donc, ce jour-là, il paraîtrait logique que tu puisses accéder à volonté à tes pouvoirs. Donc, je pense que ce n’est qu’une question de patience. De toute manière, ce qui doit arriver arrivera. »
Elle sourit à son amie qui sembla pourtant prendre les choses avec pour moitié de philosophie et moitié de tristesse, mais qui ne pouvait plus rentrer chez elle. Sophie n’eut pas besoin de son empathie pour se sentir touchée par la jeune Déesse. Elle posa tendrement sa main sur l’épaule de Mélie et lui parla avec une voix remplie de douceur comme elle seule savait le faire.
« Je comprends que ta famille te manque, surtout Héra qui t’a élevée, mais tu sais, Dame Artémis t’aime beaucoup et nous aussi, nous t’aimons toutes beaucoup. Même les autres qui ne savent pas qui tu es réellement. Tu as une famille ici-bas, et maintenant que je connais la vérité, tu as une amie, une sœur à qui tu pourras toujours te confier. Je serai là pour toi, quoi qu’il arrive, et tu pourras toujours me dire les choses qui ne vont pas Je serai là pour t’écouter, je te le promets. Garde courage, Mélie, un jour, tu reverras les tiens. »
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Melinoë de Kent
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Mar 12 Fév - 17:04
Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé!
Sophie avait mis le doigt dessus, c’était un peu ça, ses pouvoirs étaient comme une bombe à retardement pour le développement de son corps qui restait figé depuis bien trop longtemps à son goût. Si avoir une apparence toujours jeune était une chance, quelquefois Melinoë maudissait d’être figée dans ses 14 printemps au vu des soucis que cela lui amenait il fallait bien l’avouer. Oui Mëlie savait que les oracles d’Apollon n’étaient jamais insensés qu’ils se révélaient toujours exacts cependant elle avait déjà attendu un certain temps et se demandait encore combien de temps elle devrait jouer ce petit jeu. Elle adorait sa tante et sa vie de chasseresse, là n’était clairement pas le problème cependant… Devoir faire attention à tout en tous lieux était épuisant sur le long terme et c’est ce qui la dérangeait le plus.
- Je sais tout cela, Sophie, crois-moi mais depuis le temps que la situation dure cela me fatigue, non pas que je ne me sente pas à ma place parmi vous je tiens énormément à vous, mais devoir constamment me surveiller, ne pas me faire remarquer, cela devient vraiment épuisant au bout d’un moment. Comprends-moi bien c’est plus le fait de me cacher continuellement qui finit par m’agacer pas le reste. Tante Artémis fait tout pour éviter que j’ai à trop me surveiller, mais lorsqu’elle n’est pas là et que je dois gérer les chasseresses à sa place eh bien je suis sur mes gardes je ne veux pas la décevoir.
Elle soupira plus de découragement de sa propre situation que du fait qu’elle ne croyait pas revoir son Olympe natale un jour. Non loin de là, mais la tâche qui lui incombait de préserver un secret tel que le sien ne lui rendait pas les choses aisées par moments. Non franchement elle n’en avait pas fini de devoir se surveiller là-dessus et elle le savait très bien. Il n'était pas chose aisée de cacher l'existence d'un enfant divin et non semi-divin à l'ensemble ou presque de l'Olympe surtout lorsque le dit enfant était fils de l'un des 3 grands et d'une des 12 olympiens qui étaient tous deux réputés sois disant pour se détester. Aller expliquer cela quand en plus ladite mère était censée avoir fait le serment de rester pure. Un vrai casse-tête en sommes.
- Tu sais je n’ai pas peur des conséquences de mes pouvoirs pour moi, mais plus pour ce que cela ferait à mes parents, à grand-mère Héra et tante Artémis car ils ont tout fait pour me protéger j’aurais l’impression je crois de les décevoir si je perdais le contrôle de mes pouvoirs c’est eux qui seraient très triste. Enfin bon je suppose que si j’en perdais le contrôle c’est que la situation m’aurait dépassée je crois.
Et c’est de cela que Melinoë avait peur au final plus peur de décevoir sa famille en les rendant triste que pour autre chose en fait. Pour autant elle savait qu’à tout moment sa puissance pouvait lui faire défaut contre son gré. Elle surveillait donc cela de près tant qu’elle pouvait avoir un contrôle dessus un minima elle ne souhaitait pas se retrouver dans une situation impossible ni être découverte à cause d’un déploiement inutile de ses pouvoirs de déesse à leur pleine puissance. Regardant son amie qui semblait vouloir la soutenir tant que faire se peut Mëlie lui adressa l’un de ses rares sourires de reconnaissance même si léger connaissant ladite demoiselle. Pour autant ce même léger sourire avait une sincérité pure malgré le côté glaçon de la jeune déesse.
- Merci d’être là et de ne pas avoir pris la fuite avec ces révélations, je sais que cela n’est pas simple et qu’en t’ayant mis dans la confidence je t’inclus dans les personnes qui pourrait avoir des ennuis si on tentait de m’atteindre, mais j’avais besoin de soulager un peu ce poids avec une personne de confiance tout simplement. Parler avec tante Artémis est déjà bien, mais de t’en avoir parlé me soulage un peu plus. C’est franchement pas toujours évident de devoir faire semblant et de ne pas pouvoir parler de ses choses lorsque j’en éprouve le besoin dirons-nous.
Sophie secoua la tête d’un air désabusé. Mélie avait vraiment une tendance à s’en demander trop qui n’allait pas l’aider pour surmonter ses difficultés et ses soucis. Elle comprenait aisément qu’après tout ce que Dame Artémis avait fait pour elle, et compte-tenu que Héra l’avait élevée, elle ne tenait pas à leur causer du souci. Mais malgré tout, elle était bien trop exigeante et se mettait alors une pression qui n’était pas nécessaire, du moins, du point de vue de Sophie. Après, Mélie était comme ça et on ne la changerait pas. Mais il n’empêchait qu’elle ne se facilitait pas les choses en se comportant ainsi.
Par ailleurs, la patience n’était pas non plus une de ses vertus. Toutefois c’était généralement le cas également pour les demi-dieux en général. Considérant que Mélie était née de deux dieux et qu’en plus de ça, tous deux ne manquaient pas d’une certaine fougue dans leur caractère, c’était plus que logique que Mélie soit du genre à trépigner et à refuser de rester dans ce genre de situation. Mais il allait falloir qu’elle prenne sur elle parce que les choses risquaient de ne pas se débloquer avant des siècles, vu le rythme de vie des dieux.
« Tu es trop exigeante avec toi-même, Mel. Il ne faut pas que tu oublies que toute déesse que tu es, tu ne peux rien contre les méandres du Destin. Tu peux tout faire pour ne pas poser de problèmes à ta grand-mère et à Dame Artémis et je ne peux que t’y encourager chaleureusement, mais tu sais bien que tout ne dépend pas, ne peut pas dépendre uniquement de toi. Il y a un moment où il te faudra bien admettre que tes capacités de contrôle sur la situation sont limitées. »
Personne n’aimait entendre qu’il n’avait pas assez de pouvoir pour gérer une situation et Sophie n’était pas à l’aise de dire cela à Mélinoé. Mais elle n’avait pas le choix. Il faudrait bien que son amie entende raison si elle voulait avoir une vie un peu plus paisible qu’elle ne l’était actuellement. La vérité, c’était qu’il ne pouvait pas y avoir de solution parfaite et la famille de Mélie avait trouvé la meilleure possible. Elle n’avait pas le choix, elle devait faire le nécessaire pour s’y sentir le mieux possible en attendant mieux.
« Après je sais qu’une telle attente, une telle situation est épuisante pour les nerfs et le moral, d’autant que c’est extrêmement frustrant, mais je suis certaine que tu finiras par avoir des opportunités en attendant le grand déclic. Et dans tous les cas, il te reste au moins la proximité de ta tante. Reconnais que ces derniers temps, elle ne passe pas beaucoup de temps loin de nous. »
Il ne fallait pas s’étonner que Sophie n’ait pas fui en courant quand Mélie lui avait avoué la vérité sur sa nature. Après tout, pour Sophie, un ami était un ami, qu’importait ses origines et ses capacités. Mais tout le monde n’avait pas son ouverture d’esprit et elle comprenait parfaitement que son amie ne puisse pas en dire trop à tout le monde. C’était un fait, par contre que ça ne pouvait que la faire se sentir très seule et cela n’était pas marrant pour elle. Mais maintenant, Sophie était là pour elle et elle le serait toujours désormais.
Quant à ces risques concernant les personnes qui voudraient du mal à Mélie, Sophie n’avait pas peur. De toute façon, il faudrait lui passer sur le corps pour pouvoir toucher Mélie, il n’était pas question qu’elle laisse quoi que ce soit lui arriver. Mélie était son amie et Sophie défendait toujours les personnes qui lui étaient chères.
« Pourquoi est-ce que je me serais enfuie ? Tu es peut-être une déesse mais tu es ma meilleure amie. Peu importe ce que tu es en réalité, moi je t’aime pour toi, pas pour tes capacités. D’ailleurs je suis persuadée que tu feras une merveilleuse Olympienne, ma très chère Mélie. Quant à ceux qui voudraient te blesser, il faudra d’abord qu’ils me passent sur le corps ! Et crois-moi, ils auront fort à faire. En plus, un peu de charme et hop, ils me tombent tous dans le bras. Bon, sauf toi, mais maintenant, je comprends mieux pourquoi ! Allez, franchement dis-moi, tu ne trouve pas que je suis charmante ? »
Laissant de côté son inefficace pouvoir d’enjôlement, Sophie roula des yeux et fit la moue de manière délibérément exagéré, sachant que Mélie ne serait pas indifférente à un tel humour.
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Melinoë de Kent
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Jeu 14 Fév - 16:11
Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé!
Mëlie savait fort bien que selon Sophie, elle avait la fâcheuse tendance à s'en demander trop à elle-même et d'être plus qu'intransigeante surtout lorsqu'il s'agissait de ne pas décevoir celles qui s'étaient occupée d'elle depuis sa naissance. Melinoë vouait une sainte adoration à sa tante et à sa grand-mère de fait la pire des choses pour elle serait de les décevoir ne serait-ce qu'un peu.
- Je sais tout cela, Sophie, crois-moi. C'est juste que même si je ne peux l'empêcher totalement je peux tenter de repousser ce moment le plus possible non? je veux juste ne pas leur créer de souci supplémentaire ce n'est pas dur à comprendre il me semble.
Elle savait fort bien que son amie comprenait ce qu'elle voulait dire, qu'elle la comprenait dans la mesure qu'elle était sa meilleure amie et du genre à tenter de se mettre à la place des autres, mais voilà entre tenter et être à cette place il y avait un monde, il était donc normale que la compréhension de son amie soit limiter au bout d'un moment et elle ne lui en voulait pas non plus. D'ailleurs la suite des propos de son amie ne l'étonna aucunement.
- Certes Sophie, cependant... Si le peu de fois où j'irai me fera du bien tant que la situation ne sera pas sous contrôle je resterai comme tu l'as si bien dit une bombe à retardement et si je venais à, dirons-nous, imploser en présence de mes parents leur couverture tomberait... Imagine le scandale et l'émoi qui se produirait sur l'Olympe et les conséquences engendrées par tout cela...
En y repensant, Melinoë dite Mëlie frissonna imaginant sans mal le bazar provoqué par cela et les affrontements qu'il pourrait y avoir par la suite rien de très glorieux en somme elle voulait éviter cela à tout prix. Ses parents étaient certes puissants, mais un affrontement entre les dieux aurait des répercussions sur le monde mortel et elle ne voulait pas en être responsable pour rien au monde d'ailleurs. Les dernières phrase de son amie l'amusèrent et lui firent esquisser un léger filet de sourire.
- je l'imagine très bien... mais le but n'est pas non plus de faire tomber tous les hommes à tes pieds, imagine le bazar derrière pour s'en débarrasser pour partir en chasse. Tante Artémis ne serait pas ravie d'être suivie par un monceau d'homme si tu veux mon avis. Ceci dit, elle s''adoucirait de savoir que tu t'es sacrifiée pour moi en les attirant. Plus sérieusement ce n'est pas tant le fait d'être une déesse qui me faisait penser que tu prendrais la fuite réellement mais, c'est juste que je n'ai pas été honnête et pour moins que ça d'autre auraient disons tourné la page je suppose.
Sophie ne pouvait pas en vouloir à Mélie de vouloir repousser l’échéance et surtout de ne pas vouloir nuire aux personnes qui l’avaient mise au monde et élevée. Que ce soit ou pas des dieux ne changeait rien à la question. C’était normal de se sentir concerné par ce qu’on faisait subir à ceux qu’on aimait et de qui on était proches. Sophie avait un peu l’impression que Mélie devenait agressive mais elle ne lui en voulait pas. Elle pouvait sentir la fatigue émotionnelle de sa meilleure amie qu’elle soutenait de tout son cœur.
« Non, bien-sûr, c’est tout à fait normal, Mél. »
Mélie redoutait une visite à l’Olympe autant qu’elle l’espérait, de peur que ses pouvoirs ne se déclenchent inopinément. Sophie ne préférait pas penser à l’éventualité que Mélie se retrouve dans cette situation. Si ces pouvoirs se déclenchaient, ce serait avec de terribles conséquences. Certains dieux reprocheraient sûrement à Athéna le manquement à son serment, même si Artémis et Héra avaient été complaisantes. Et Poséïdon aurait surement à affronter le courroux de ses frères. Quand on pensait à ce qui avait failli se passer à-cause de Percy Jackson, et ce n’était jamais qu’un demi-dieu.
Une guerre entre les dieux n’étaient pas une bonne idée. Des forces se réveillaient qui n’étaient pas clairement identifiées et de plus, la loyauté de chacun n’était pas établie. On n’était déjà pas certains de à qui l’on pouvait effectivement faire confiance, alors si les dieux se mettaient à se déchirer entre eux, la situation serait encore plus complexe. Non, Mélie n’avait certes pas tort de prendre toutes les précautions possibles à ce niveau, et il était plus que probable qu’Artémis et Héra surveillaient par derrière, ce qui était tant mieux.
« C’est vrai que ce ne serait pas le moment d’avoir un problème au sein de l’Olympe. Nous avons bien d’autres choses à penser. Ceci dit, tu ne dois pas t’oublier dans l’histoire, Melie. Tu es importante et tu mérites d’être heureuse. Ce n’est pas parce que ton histoire est compliquée que tu dois renoncer à vivre comme tu le souhaites. Oui, cela risque de prendre du temps et oui, c’est dur, et c’est normal, mais je pense que tu dois garder espoir. Sinon, tu deviendras folle. »
Sophie éclata de rire en imaginant une bande d’hommes énamourés suivant la Chasse comme autant d’insectes attirés par du miel. Les filles ne le supporteraient pas longtemps et des flèches pleuvraient rapidement. En plus de ça, Artémis pourrait facilement déchaîner les puissances pour éloigner ces individus malvenus, ce qui pourrait provoquer un sacré bazar. De toute manière, Sophie n’avait jamais approuvé ses sœurs qui usaient de leur beauté pour transformer les hommes en zombies. L’amour c’était autre chose tout-de-même.
Elle était touchée de la reconnaissance de son amie mais pour Sophie, ne pas s’en aller n’était pas une chose difficile mais était naturelle. Elle comprenait pourquoi la jeune femme n’avait rien dit plus tôt et si elle était ravie et touchée que Mélie ait choisi de se confier à elle, elle ne lui en aurait jamais voulu de ne pas le faire. Face à des situations aussi complexes, il était toujours compliqué de partager des informations.
« Jamais je n’encombrerais la Chasse avec des mâles zombifiés d’amour, beurk ! » répliqua-t-elle. « Mais plus sérieusement, je comprends que tu aies caché ta véritable nature, c’est normal dans ta situation. Alors ne t’inquiète pas et n’oublie pas que je serai là chaque fois que tu auras besoin de parler. »
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Date d'inscription : 04/09/2018
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Melinoë de Kent
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Dans les Bois... Parents Divins : Poséidon
Mar 14 Mai - 23:55
Un aveu dans le passé... Un secret qui fut révélé!
Mëlie aurait vraiment tout donner pour retourner auprès de ses parents, pouvoir clamée qu'elle était leurs filles à tous les deux de pouvoir retrouver sa grand-mère Héra qui l'avait élevée comme sa fille, mais voilà la peur de faire du tort à ses êtres chéries entre tous lui faisait presque regrettée par moment d'exister. Stupide n'est-il pas? Et pourtant....
- JNon d'autant que les temps sont dur et une guerre au sein de l'Olympe bouleverserait l'équilibre sur terre car les dieux devraient prendre partient et on sait ce que ça à donné par le passé, il n'y a qu'à voir la guerre de Troie et ses conséquences.
Melinoë dites affectueusement Mëlie ce qu'elle préférait de ses proches même si elle avait toujours adorée son prénom peut commun, notre jeune déesse qui se cachait sous les traits d'une chasseresse de sa tante sourit en imaginant les dégâts de la situation décrite par son amie. Oh bien sur elle savait tous cela que son amie ne ferait jamais cela, mais mieux valait prévenir que guérir disait-on et lorsque c'était elle au commande elle préférait toujours faire des rapelles à l'ordre même si elle avait toute confiance en son amie.
- Ca je le sais ma Sophie, cependant... Tu me connais je préfère rappeler les choses et reprévenir plus pour le rappel que par un manque de confiance et puis des fois la situation peut nous échapper même à moi il suffierait juste de la régler avant qu'il n'y est un meurtre le jour où un homme s'approche trop de la chasse... Sinon il est clair que je ne donne pas cher de sa peau.
En y repensant, Melinoë frissonna imaginant sans mal ce que sa tante ferait subir à l'importun si elle était là. A l'image de ce qu'elle avait fait non seulement au chasseur Orion mais aussi à la nymphe Calypso qui l'avait trahie en rompant ses voeux de chasteter. Par ailleurs rien n'était pire que de rompre son serment de chasseresse aux yeux de sa tante et bien qu'elle n'est aucunement prêtée serment comme les autres filles de la chasse Mëlie avait d'autres considération en tête pour penser à cela et elle était trop jeune enfin... c'était vite dit bien sûr.
- Il est surtout plus à craindre la colère de ma tante si l'une des chasseresses rompaient son serment que la réaction des filles dans son ensemble. Si une seule se laissait aller, la vengeance de ma tante se ressentirais dans tous le groupe et personne ne voudrait cela crois-moi... Ceci dit je ne pense pas qu'une seule de nos compagnes de chasse s'abaisse à ce qu'à fait Calypso voilà des siècles du moins je l'espère...
Jawilsia sur Never Utopia