Les enfants de l'Olympe
Première leçon (PV Idalina C. Verduzco]
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Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
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L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
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Première leçon (PV Idalina C. Verduzco]
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Féminin
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Luinilinëa de Harcourt
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Sam 18 Mai - 16:50

Première leçon!

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Luinilinëa avait donc pris les choses en mains et entraînés
la jeune Pythie à sa suite direction l'armurerie laissant derrière elle, la grande maison et la bibliothèque sans regret en ayant fait un peu une overdose avec toute ses recherches, par ailleurs elle devrait contacter Asumi pour cette affaire voir si elle était intéressée de l'aider, mais l'heure n'était vraiment pas à cela. Passant la porte de l'armurerie elle fit entrer Idalina puis se dirigea vers le responsable directement qu'elle connaissait plutôt bien depuis son arrivé au camp. Sans s'en être fait un ami non plus le responsable du lieu tout comme Chiron d'ailleurs était un peu comme une référence paternel dans le camp des demi-dieux. Le saluant elle lui expliqua ce qui l'amenait en ce début d'après-midi.


- Il faudrait un équipement complet pour Idalina avec une arme en bronze céleste maniable et équilibrée pour elle. C'est pour un début d'entraînement donc il nous faut quelque chose de solide, mais qui ne l'entrave pas non plus. Elle va commencer aujourd'hui et il ne faudrait pas qu'elle se blesse des le premier entraînement non plus.

Luinilinëa énonçait tranquillement ce qu'il fallait tout en jaugeant la carrure de la jeune fille avec elle, elle laissa le responsable partir chercher l'armure, puis faisant signe à la nouvelle Pythie la guida au rayon arme  en bronze céleste. Une fois en face des armes, Luinilinëa jaugea rapidement la jeune fille qui était avec elle avant de reporter son regard sur les armes en questions.

- Alors puisque tu n'as pas de pouvoir, mais que visiblement tu sais tout de même te défendre on à l'embarras du choix niveau arme. Le tous est de privilégier ce qui te correspond le mieux. On va délaisser les armes de jet type arc, arbalette où autres ce n'est pas ce qu'il y a de mieux pour s'entraîner au combat rapproché. Tu as peut-être une préférence  particulière ? je ne sais pas tu préfère plutôt de petites dagues dissimulable facilement sur soi ou bien une épée à deux mains sinon on à des lances aussi.    

Luinilinëa lui montrait donc tour à tour les diverses armes en bronze céleste lui faisant un rapide topo dessus en attendant de la laisser prendre une décision sur l'arme qu'elle voudrait apprendre à manier. Le plus important était ensuite de choisir une arme assez équilibrée pour elle et qui serait un peu une extension de son bras lors des combats. Le corps à corps avec les monstres n'étaient pas forçément la chose la plus maline à faire si l'on était dépourvu de pouvoir magique certes, mais lorsque l'on à pas vraiment le choix il valait mieux être formé aussi bien au longue distance qu'au corps à corps tous simplement.  

- Voilà pour les armes principales maintenant ici on peut se faire fabriquer n'importe qu'elle arme avec du bronze céleste et la rendre unique et maniable à souhait au besoin. Ensuite si tu prends une épée l'idéale est de prendre un bouclier avec pour se défendre un peu mieux.  

La jeune Luinil vit le responsable ramener ce qu'elle lui avait demander et le remercia d'un signe de tête avant de récupérer le nécessaire et d'entraîner la jeune Idalina vers l'espace pour essayer l'armure lui montrant comment fixer le tout correctement et surtout vérifiant que la taille était la bonne. Il ne s'agissait pas qu'elle nage non plus dans son armure d'entraînement cela l'entraverait et n'aurait vraiment aucun intérêt.

- Bouge pour voir si elle ne te gêne pas. Le tout est que tu sois bien protégée, mais pas non plus entrraver dans tes mouvements. Si tu vois qu'elle est trop grande ou te gêne autant le dire  de façon à ce qu'on puisse faire les ajustements se serait risquer de te blesser inutilement de t'entrainer avec une armure qui ne te conviens pas. 



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Dim 19 Mai - 21:08
La fille, se révélait énergique dans l’action et plus inspirée que pour les recherches. Je comprenais pourquoi elle pestait contre le mission qui lui avait été confiée; Elle était sûrement plus à son aise sur un champ de bataille… De quoi faire réfléchir Chiron sans doute. Je la suivis en silence à travers le camp en essayant de repérer les têtes et les lieux mais j’avais l’esprit déjà préoccupé par la séance qui m’attendait.. Je me demandais bien dans quel genre d’armurerie j’allais me retrouver puisqu’elle avait parlé de m’équiper. Je m’imaginais déjà des réplique des armes qu’on peut tous voir dans le reproductions ou les fresques, mosaïques et autre tessons de vaisselle. En même temps je me disais qu’elles devaient avoir évolué tout de même, en plus de deux milles ans. Il n’y a pas de raison que le commun des mortels soit arrivé à la bombe atomique et que les enfants de dieux soit restés fixés à l’âge du bronze sans que leurs armes ne bougent d’un iota .

Nous ne fûmes pas longues à atteindre l’armurerie. Le gars qui semblait régner sur l’endroit nous regarda arriver avec un air un peu fermé et se fixa sur la fille de Poseidon semblant ignorer qui j’étais. Ouf! Quelqu’un qui ne se focaliserait pas sur le nouvelle Pythie! Je me contentai de le saluer d’un signe de tête lorsqu’il me dévisagea de pied en cap sans doute pour évaluer l’équipement qu’il me faudrait, tout en écoutant mon instructrice du moment. Encore une fois elle me présentait un peu trop comme une petit chose fragile à mettre dans du coton et ce n’était pas le genre de chose que j’appréciais. Je peux même dire que ça a, la plupart du temps, le le don de me mettre en boule. Mais je savais que cela partait d’une bonne intention et je restai coite.

Le cahier des charges était précis et je me demandais bien ce que le type allait sortir de son magasin. J’avais en tête les hoplites grecs et les gladiateurs des jeux romains et honnêtement je ne me voyais pas avec tout leur attirail sur le dos ou en main. En attendant les deux complices avaient fini de me jauger du regard et m’emmenaient entre les râteliers à équipement. En fait, je ne fus pas déçue. Les armes étaient très proches de celles auxquelles je m’attendaient mais en plus diversifié, bien sûr bien mieux entretenues que lorsqu’elles sortes des chantiers de fouille et l’éclat du métal montrait que l’homme avait conscience de la responsabilité qui lui incombait et entretenait les armes avec soin. Par contre je ne savais pas trop quoi répondre à la question sur ma préférence question armes. Je n’en avais jamais maniées si ce n’était le taser que je m’étais modifié pour rendre plus puissant et me défendre contre d’éventuels agresseurs. Les rares fois où je m’étais trouvée dans un combat hors ring c’était à l’internat et à chaque fois ma hargne avait fait son oeuvre et puis une fois adulte, j’avais su improviser avec les objets qui traînaient à portée de main. J’hésitais donc en essayant de peser à toute vitesse le pour et le contre. Les lances et les épées à deux mains me semblaient disproportionnées et difficilement maniables pour une débutante comme moi. en revanche, les dagues me semblaient vraiment courtes surtout si on envisageait un combat contre un monstre qui devait avoir des crocs et des griffes au moins aussi grandes que ces petites lames ridicules, en tout cas de mon point de vue. Je haussai les sourcils d’ignorance et d’indécision et finis par faire part de mes doutes aux deux experts.

“Je ne sais pas trop. Je me vois mal avec une arme encombrante à manier. Sur le principe, une dague peut être cool, mais ça doit être limité question allonge et pour lutter contre un monstre. Un compromis genre la lame de Uma Thurman dans Kill Bill?...”


J’avais sûrement dit une énormité,. Pas certain que des demis dieux grecs aient ce genre de référence et en plus elle allait peut être me dire que le dague avait des ressources insoupçonnées si on savait la manier correctement. Je suivais en même temps mes deux guides dans les allées du magasin mais cela ne m’aidait pas beaucoup d’autant que malgré mon esprit de synthèse et ma mémoire cela faisait beaucoup d’informations à emmagasiner et rendre opérationnelle pour un choix judicieux. Je finis par désigner une sorte de glaive dont la lame ne me paraissait pas trop large donc lourde pour moi et dont le garde étroite était légèrement recourbée vers l’avant ce qui me semblait-il éviterait à la lame ennemie de venir me frapper le bras en glissant sur une garde recourbée vers l’arrière. C’est fou comme on fait des supputations qui peuvent s’avérer complètement erronées lorsqu’on ne connaît rien à un domaine. Le type pour le moins taiseux la saisit et la sortit du fourreau avant de fouetter doucement l’air tout en me regardant l’air dépité. Le genre d’air qui veut dire, cette pauv’ fille ne va pas survivre. Finalement il la rengaina et en prit une autre du même modèle et ma la tendit.

“Mieux équilibrée pour un petit poignet.”


Un instant je la regardai dans mes mains comme une poule qui aurait couvé un crapaud puis, je rattrapai Luinilinëa qui semblait parfaitement à son aise parmi les armes. Elle promettait d’être une instructrice efficace en tout cas pour une débutante comme moi. Par contre, l’idée du bouclier ne m’enchantait qu’à moitié.

“Tu ne crois pas qu’un bouclier risque d’être un peu lourd pour moi? Ce que je sais faire le mieux c’est esquiver alors…”

J’hésitai un instant avant de ressortir une référence de cinéma encore une fois.

“Pour le coup une dague pour me servir de protection pourrait… Enfin, tu dois savoir mieux que moi…”

Sans que j’aie à demander, le cerbère de l’armurerie me mit dans les bras une rondache mais aussi une dague, accompagnée d’une armure d'entraînement. Au moins on était certain qu’il suivait la conversation et peut être ne trouvait-il pas stupide mon idée de dague… Je n’étais moi même pas toujours très souriante alors son visage fermé ne me dérangeait pas outre mesure. Mais il disparut alors que la fille de Poséidon s'entraînait à sa suite. Le plus dur fut d’enfiler l’armure et de faire attention à toutes les sangles. enfin, une fois que les mains expertes de mon instructrice eurent fini de les ajuster, je fis quelque mouvement. D’abord timidement des épaules et puis plus amples avec tous les segments de mon corps. Elle semblait m’aller parfaitement. Comme les animaux évoluent vers la meilleure adaptation à leur milieu les objets que les hommes fabriquaient ne cessaient de s’améliorer et cela m’avait toujours impressionnée.

Je hochai la tête en direction de la fille en signe d’assentiment. J’étais enfin prête.

“Et toi? Tu ne t’équipes pas?”


Ma question était certainement stupide. Face à une novice comme moi, elle ne risquait pas grand chose.
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Dim 19 Mai - 23:24

Première leçon!

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Luinilinëa fut satisfaite de voir les mouvements souple et sans entrave que pu faire Idalina dans son armure. Il ne s'agissait pas non plus qu'elle en est une trop lourde qui l'épuiserais dans ses entraînements cela n'aurait fait que la dessevir non?
Prenant la dague notre fille de Poséidon lui montra ou la dissimuler dans son armure afin d'y avoir accès facilement au besoin, mais tout en s'assurant qu'elle ne l'encombre pas non plus. Une fois cela fait Luinilinëa lui donna le fourreau du glaive qu'elle lui fixa à la taille avant de regarder une dernière fois si tout était bon. Puis lorsqu'Idalina lui posa la question de savoir où se trouvait son armure, Luinil sourit légèrement amusée.


- Mon équipement est au Bungallow 3 on va y passer rapidement en allant au terrain d'entraînement afin que je puisse me changer. Je pourrais fort bien m'en passer, mais le but n'est pas que je me blesse inutilement non plus et dans le feu de l'action d'un entraînement on ne sait jamais ce qui peut arriver un accident est si vite arriver. Certain finisse en kit à l'infirmerie je préfère mettre toute les chances de finir entière pour ma part à chaque entraînement. Bon allons-y vu que tu es parée.

Luinilinëa guida de nouveau sa compagne d'entraînement direction le Bungallow 3 et la fit patienter près de l'eau sur le ponton le temps pour elle de se sangler tranquillement son arme étant toujours fixée sur le haut de son bras elle avait juste à mettre son plastron et ses jambières ce qui fut plus que rapide. Revenant vers la jeune Pythie elle l'entraîna de nouveau vers la sortie direction l'un des terrains d'entraînement reculés.

- Bien mainteant que nous sommes toutes les deux en tenues on va pouvoir passer à la pratique pour te donner les bases du combat au glaive dans un premier temps, puis après on pourra bien passer à compléter avec la dague, mais autant faire bout par bout pour un début j'espère que tu es prête.    

Luinilinëa effleura le bracelet qui se métamorphosa en une somptueuse épée de bronze céleste à l'insigne du dieu qui le lui avait offert à l'image d'Anaklusmos offert à son frère Percy Jackson par leur père. Distraitement notre fille de l'eau fit tournoyer avec aisance d'une main son épée comme si elle n'avait rien pesée et la propulsa en l'air lame la première avant de la récupérer d'une main retournée dans le dos très facilement s'échauffant par la même un peu les bras et prouvant ainsi son sens du combat certes. Toujours est-il que Luinil devait se concentrer à sa tâche consistant à enseigner les rudiements des combats à Idalina. 

- Bien dans un premier temps il va falloir que tu t'assure une bonne prise ferme sur ton glaive il ne s'agirait pas de le perdre sous un coup de griffe où alors tu finiras probablement en quatre heure pour monstre et crois-moi même un demi-dieu finit ainsi sans son arme..  

La jeune Luinil avait fait certes un trait d'humour, mais le but était de détendre un peu l'atmosphère pour qu'Idalina ne sente pas trop de pression avec tous cela, mais pas sur que sa boutade est eue l'effet escompater sur la jeune Pythie. Lui souriant encourageante, Luinil s'approcha et la guida sur la position à prendre avec son corps, puis sur la prise pour son arme.

- Tu dois toujours être bien ancrée au sol et stable lors d'un combat cela t'aidera au départ à affermir ta prise sur ton arme. Ne t'en fais pas les débuts son toujours chaotique mais tu vas vite t'en sortir j'en suis sur. 



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Mer 22 Mai - 9:31
Être novice dans un domaine me désarçonne à chaque fois j’ai l’impression d’être un enfant qui apprend à marcher et ça me met dans un état d’insécurité et de tension bien trop familier. Chaque fois que je me lance dans de nouvel apprentissage c’est comme si je jouais ma vie. C’est à la fois excitant et paralysant. Je poursuis donc quelques roulements d’épaules et de cuisse et même la nuque un peu comme un ersatz d’échauffement, juste de quoi tenter de me détendre. Je garde le silence lorsqu’elle me manipule chose aussi que je n’aime pas supporter pour me montrer les derniers réglages et ou dissimuler la dague. Son fourreau coincé horizontalement dans les sangles dorsales de mon armure, je m’assure que ma main droite peut en atteindre la dague sans problème. Je m’attendais du coup que l’étui du glaive ne soit fixé également dans le dos pour éviter qu’il me batte la cuisse droite (en bonne gauchère, je dois tout inverser mais ça j’en ai l’habitude depuis bien longtemps). Mais c’était sûrement encore mes références cinématographiques et de jeux vidéo qui me poursuivaient. Pas facile de se défaire des images de héros la lame dans le dos, la garde dépassant au-dessus de l’épaule dont on se demande comment elle peut être atteinte ou alors plus pratique, en tout cas en apparences, barrant en diagonale le dos et la garde vers le bas. De toute façon c’est du détail pour une première leçon.

Une fois équipée complètement pour la plus grande satisfaction, je me sens vraiment déguisée. Il ne me reste plus qu’à suivre docilement mon instructrice du moment jusqu’à son bungalow, mais je me sens complètement empruntée de me sentir à la vue de tout un chacun ainsi accoutrée. Pourtant personne ne fait mine de me voir ou de me remarquer. Il est vrai que tout le monde dit porter cet équipement à un moment ou à un autre, je suppose. C’est pourtant plus fort que moi, j’ai l’impression que je serais moins gênée de me promener nue entre les cabanons qu’avec cet équipement qui me donne l’impression… Peut-être oui d’avoir fait un pas de plus dans la direction d’accepter de rester ici et je tente de me rassurer sur le fait que cela ne prouve rien c’est bien ce qu’elle m’a dit et ce que je me suis promis. J’aurais préféré tout compte fait que Luinilinëa soit moins prudente et que qu’on soit déjà sur le terrain d'entraînement. Pourtant je ne peux pas lui reprocher ses précautions et je tente de faire bonne figure même si je sais que ce n’est pas trop mon genre, Lixue me l’a dit bien souvent, mon visage est trop souvent fermé me dit-elle alors que soi-disant le sourire me va bien. J’avoue que c’est un peu le cadet de mes soucis et pour l’heure je suis ma guide docilement en silence.

Ma docilité en prend un peu un coup lorsqu’on m’intime l’ordre de patienter dehors. J’avais oublié que c’était chacun chez soi ici ou plutôt qu’on ne mélangeait pas les torchons et les serviettes et je me faisais l’effet de faire partie des torchons. L’idée que j’étais là comme instrument de leur petite guerre remonta à la surface et c’est les pensées sombres que j’attendis, pas tout à fait patiemment, le retour de la fille de Poséidon, que je ne trouvais plus si attentionnée tout à coup. Dommage parce que je commençais à la trouver sympa. Encore une fois la voix de ma seule amie résonna dans mes souvenir.

*Pourquoi autant d’intransigeance ?
_ Sans doute parce que les ges on trop souvent essayé de profiter de moi…*


C’est un peu court comme réponse, mais il y avait une grande partie de l’explication là-dedans. Ma confiance n’était jamais acquise définitivement et les autres devaient se montrer irréprochables à mon égard. Je donnais un coup de pied dans un caillou qui traînait là sur le ponton où j’étais en pénitence. Il roula sur bois avec une protestation matte avant d’aller se perdre dans l’eau dans un ploc pitoyable.

Quand mon instructrice reparut, ma docilité en avait pris un coup et j’avais toutes les peines du monde à contenir ma mauvaise humeur. Heureusement que je suis passée maîtresse dans l’art de dissimuler mes émotions depuis mes huit ans gardant le visage sans expression d’un masque blanc de plastique que j’avais vu un jour dans une vitrine d’art du cirque en compagnie de mon amie.

*Tu ressembles à ça*


Je n’avais pas trop su comment le prendre à ce moment mais son sourire m’avait rassurée et puis tout compte fait j’étais assez satisfait de cet air complètement neutre que j’étais capable de proposer aux gens. Enfin nous arrivâmes au terrain qui allait nous servir de scène d'entraînement. Mes yeux firent le tour de l’endroit. Plutôt reculé par rapport au reste du camp dont ne percevait qu’à peine que quelques sons éloignés et espacés, cela me convenait assez. J’étais persuadée d’être ridicule et le fait de ne pas être à la vue d’éventuels moqueurs, ses fils et filles de dieux qui ne devaient pas manquer de sa la jouer, me convenait assez.

Alors que Luinilinëa me présentait brièvement le programme je sentis la concentration qui était le mienne sur le ring monter en moi et me contentai de hocher la tête pour signifier qu’en effet j’étais prête. D’ailleurs je suppose que la question était toute rhétorique sinon pourquoi l’avoir suivie jusqu’ici ? Je regardais la fille en face de moi et c’est vrai qu’elle était impressionnante équipée comme elle l’était. Visiblement, elle avait pris son propre entraînement au sérieux.

J’avais déjà vu son arme apparaître comme par magie et je m’étais remise de ma surprise mais l’effet était toujours aussi spectaculaire. Par contre je ne savais trop que penser de ce qui n’était pour moi que de la frime. Je ne voyais pas dans quelle situation réelle elle pouvait se permettre de jongler ainsi avec son arme. Il pouvait se passer tant de chose entre le moment où l’arme quittait sa main et celui où elle la retrouvait… Je savais que je n’y connaissais rien en combat armé mais je ne pouvais m’empêcher de penser que cette fille, toute sympa qu’elle soit, restait une bêcheuse de fille de dieu qui avait besoin tout de même d’en mettre plein la vue. Je me disais aussi qu’il fallait que j’arrête de voir le mal partout. J’étais là pour apprendre et non pour critiquer le moindre chose. Comme excuse à mon intransigeance chronique je me répondais que tout de même elle ne faisait rien pour me faire changer d’avis sur l’endroit et les personnes qui la peuplaient : difficile d’admettre que j’avais tort...

Pourtant, je me laissais faire et restait attentive à tous les conseils que mon instructrice me prodiguait. Mes réflexes de combat reprirent bien vite le dessus et mes pieds reprirent la position à laquelle ils étaient habitués et qui en effet étaient supposés me donner la stabilité et la réactivité nécessaire dans les affrontements. La prise d’arme en revanche me semblait tellement artificielle ! que cette chose au bout de mon bras avait quelque chose d’incongru. A cet égard je n’avais pas la même confiance que la fille de Poséidon qui, je le voyais bien, faisait tous les efforts possibles pour me rassurer et me mettre dans les meilleures dispositions. Je me demandais bien si je devais laisser pendre l’arme vers le bas pour économiser mon poignet ou bien maintenir la pointe en avant. Prendre la garde à pleine main, le pouce verrouillant mes autres doigts ou posé sur la garde était une autre question. Je n’arrêtais pas de changer ma prise sans être totalement satisfaite de la façon de faire.
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Mer 22 Mai - 10:55

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Si notre fille de l'eau manipulait avec aisance sa lame elle ne faisait que se dégourdire un peu les bras pour se mettre en jambe dirons-nous. Non pas qu'elle est eue dansl'idée de fanfaronner comme bon nombre de jeunes demi-dieu du coin, loin de là mais il était vrai  que lors d'un combat contre un monstre elle ne s'amuserait guère à se désarmer seule au risque de se faire croquer par un monstre avide de chaire fraîche.Maissant la jeune Idalina s'échauffer un peu elle observa se mettre en position et tenter de trouver celle adéquate pour son arme n'arrivant de toute évidence pas à se décider pour l'heure.

- La garde est la position propice tant pour l'attaque que pour la défense comme tu le sais sans doute déjà. Celle-ci te permet de faire le choix selon ton aspiration du moment ou la situation tous simplement. Pour avoir la bonne position de garde il faut que ton arme sois l'extension, l'allonge de ton bras avec la prise parfaite. Généralement ton arme doit toujours rester en direction du coeur de ton adversaire, tu le met en joue en quelque sort de sorte qu'à la fois tu est en position de venir contrer sa lame si il t'attaque mais aussi d'atttaquer toi même lorsque tu as une ouverture.

Avec solicitude Luinilinëa montra la postition à la jeune Idlina en etant face à elle puis revenant vers elle lui montra la position de prise qu'elle avait sur sa propre arme histoire qu'elle puisse la reproduire sur son glaive. Néanmoins notre fille de l'eau la guidait dans sa position en lui faisant des suggestions et en rectifiant  au milimètre pour que dès le départ elle soit correcte.

- Bien maintenant que tu es en position on va parler de l'attaque et de la défense. Si l'attaque est une action offensive initiale qui s'effectue en allongeant le bras et la plupart du temps suivie d'une fente, la pointe en progression constante vers la cible, la parade quant à elle, est une action dite défensive qui permet, en bloquant l'attaque adverse avec so propre fer, d'éviter l'attaque. La parade donne le droit à la riposte.    

Luinilinëa pour plus de clarter montra en même temps qu'elle expliquait ce que c'était de façon à donner une idée plus juste à la jeune Pythie du mouvement bien sûr il ne s'agissait là que de la théorie qui serait ajuster dans la pratique puisque lorsque notre vie était en jeu la rapidité devenait bien vite une nécessité tout aussi impérieuse que de connaitre parfaitement le déroulement de chaque mouvement. 

- Comme je le disait en effectuant une parade tu prends le droit de riposter. Après t'être prémunis, tu rends le coup et tu vas à la touche. Action offensive non initiale puisqu'elle est faite après avoir parer. Autant etre clair lors d'un cmbat et d'autant plus contre un monstre celui-ci ne va pas gentiement se remettre en agarde pour la suite il devient donc vitale qu'à chaque coup que tu évite ou pare tu riposte afin de t'assurer la victoire ou du moins ta propre survis.  

La jeune Luinil était trop consciente de ce qui séparait laréalité d'un cours d'apprentissage cependant les bases étaient les bases et il fallait en passer par là surtout lorsque la jeune fille n'avait pas encore réellement développer ses pouvoirsd de Pythie correctement. Si Luinilinëa  commençait à bien apprécier la jeune femme pour son tempérement elle se garderait bien de vouloir obliger quiconque comme pouvait le faire Chiron à rester bloquer ad vitm eternam ici même si la persone en question était la Pythie.

- Bien maintenant que la leçon est dite autant la mettre en pratique. Le meilleur moyen de retenir tous cela est encore de le pratiquer non? 



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Jeu 23 Mai - 20:01
Les alentours avaient disparu et j’étais complètement centrée sur mon entraînement. Nul doute que dans une véritable situation de danger je serais passée à côté de bien des informations et me serais retrouvée en grand danger. Maldita sea! J’avais l’impression d’avoir régressé au niveau que j’avais la première fois que je suis montée sur un ring et que le coach m’avait donnée la leçon de ma vie pour m’apprendre l’humilité. Je ne sais pas si c’était l'humilité qu’il m’avait apprise ou s’il n’avait fait que renforcer ma hargne mais une chose était certaine, j’avais mesuré le chemin que j’avais à parcourir pour mériter le titre de combattante. Moi qui étais toujours parvenue à mettre la pâtée à tous les emmerdeurs des foyers ou des écoles où j’étais passée, je me retrouvais comme une grosse larve à tenter de tenir plus de trois secondes debout.

Il n’était pas question que cela m’arrive encore aujourd’hui et pourtant je me sentais comme une fillette qui va tracer sa première lettre dans son cahier d’écriture et que la maîtresse va regarder avec désespoir. Déjà fâchée contre moi, je tentais de chasser toutes ses pensées négatives en respirant profondément par le nez. Il n’était plus question à ce moment de cacher mes émotions et n’importe qui j’en suis sûre pouvait deviner la concentration et la détermination qui était la mienne.

Il n'était pas question donc que je perde un mot des indications de mon instructrice et comme à chaque fois que je faisais quelque chose mon cerveau ne pouvait se contenter de recevoir l’information, il fallait qu’il se mette à analyser et bien sûr à contester. En effet j’avais l’impression que les monstres contre lesquels j’étais en train d’essayer de me prémunir étaient des hommes ou en tout cas avec une forme et un comportement humanoïde. Bêtement, jusque-là je m’imaginais des reptiles de toutes sortes, des chimères ou encore des créatures volantes monstrueuses… Forcément parler de viser le cœur durant tout l’assaut et prendre le fer de mon ennemi me paraissaient étrange. Viser le cœur d’un reptile ne doit pas être commode et les monstres dans mon imaginaire n’étaient pas armés du même type d’arme que moi, mais plutôt affublés de griffes, de crocs, de queues écailleuses et de cornes sournoises. Mais Diego Tijerina m’avait appris qu’on n’interrompt pas son instructeur et je gardai le silence durant toutes les explications, retenant principalement que je devais pouvoir à chaque instant défendre ou attaquer.

La prise de mon arme me parait toujours aussi incongrue mais j’espère que cette sensation de gaucherie disparaîtra avec la pratique. Patiemment mon instructrice tente de me faire adopter une prise correcte et j’espère avoir la même patience qu’elle. Je trouve cette partie tellement fastidieuse que je me demande combien de temps il me faudra pour ne pas trembler à l’idée qu’un monstre ne pénètre le camp. En même temps cette possibilité me paraît des plus virtuelle ; C’est vraiment quelque chose qui reste, pour moi, improbable. Les seuls monstres que je connaisse sont les humains et il n’y a pas besoin d’en inventer d’autres ; en outre, même après avoir croisé des centaures je crois que je n’ai pas assez d’imagination pour me dire qu’un truc horrible et hostile et inhumain puisse débouler dans ce coin de nature peuplés de cinglés qui pensent qu’ils sont enfants de dieux. Je me rends compte à chaque pensée de leur paradoxe, mais non vraiment, je n’arrive pas à avoir peur d’être agressée par un monstre. C’est tellement improbable !

Je ne sais pas pourquoi à chaque tirade de mon instructrice, je suis assaillie de doutes. Ses explications sonnent comme celles de commentateurs sportifs. Certaines expressions m’éloignent encore plus de la possibilité du danger que pourrait représenter un monstre. La parade donne droit à la riposte ! Comme s’il existait une règle comme dans un jeu de société qui obligerait l’ennemi à me laisser l’initiative lorsque j’aurai paré son attaque. S’il ne s’était agi de ma propre sauvegarde j’aurais sans doute sourir de l’ironie de cette phrase. Mais je me dis qu’il ne s’agit sans doute que d’une expression technique de professionnel que je dois adjoindre à mon vocabulaire. Un dernier détail mais j’ai l’impression de tourner en rond avec cette histoire de monstre ou pas monstre. Galbée comme je le suis je me demande comment je pourrais espérer bloquer une attaque de monstre. Déjà un être humain un peu costaud ce serait difficile. Je sais encaisser les coups lorsqu’il s’agit de poings mais celui d’une lame, ce serait du suicide. En outre sur un ring j’ai aussi appris à me servir de mon principal atout, la vivacité et l’esquive. Chargée par un monstre, je me vois mal tenter de bloquer son attaque. Je serais emportée aussi facilement qu’un fétu de paille dans un ouragan !

Mais encore une fois, je tente de faire confiance à Luinilinëa et me conduis comme la plus appliquée des élèves tentant de reproduire chaque mouvement qu’elle me montre. Pour ce qui est des appuis cela se passe plutôt bien mais l’arme en main induit des mouvements qui sont très éloignés de ceux que j’ai ‘habitude de mettre en œuvre lorsque seuls mes poings et mes jambes me servent d’armes. Heureusement, petit à petit je sens que mes gestes deviennent de plus en plus précis et s’automatisent peu à peu, sans doute un des avantages d’avoir pratiqué une activité “martiales” auparavant. Peut-être que la danse peut servir de la même façon qui sait ? Je finissais même par ne plus être étonnée du crissement métallique des lames de nos deux armes lorsque je répétais les prises de fer et les parades qu’elle tentait de m'inculquer. Habituée à être physiquement active, je ne transpirais pas trop malgré l’épaisseur de l’armure.

Et puis les précisions de mon instructrice me rassurent un peu sur la faisabilité de ce qu’elle m’enseigne et me confirme que ce sont des mouvements théoriques qu’il faut adapter à la situation sans règle que constituerait le face à face avec un monstre. Et encore, me dis-je, il serait encore bien gentil de ne faire que des attaques de face. Je me doute que dans une mêlée, tous les coups sont permis et prendre son ennemie ou sa proie par surprise, de flanc ou par derrière est plus qu’envisageable. Je comprends parfaitement l’idée, adepte moi-même des coups bas lorsque ma sécurité est en danger ou que je compte avoir le dessus sur quelqu’un que je considère comme un ennemi. La guerre n’a rien de loyal ni de courtois. Cette nouvelle façon de présenter les choses de Luinilinëa me donne presque à mon insu plus de vivacité et de fluidité, comme si les choses devenaient plus claires et plus implacables. Je ne me sentais pas spécialement prête à affronter des monstres mais plus déterminée, si c’était possible, à sauver ma peau en cas de bataille, cette bataille qu’il était difficile d’imaginer tant l’endroit semblait reculé du monde et à à mille miles de tout danger.

Pratiquer ? Je me méfie un peu. Après tout ce que j’ai vu ici je me demande si elle est capable de faire apparaître un monstre. Mais c’est stupide et de toute façon, à la guerre comme à la guerre. Elle a parfaitement raison inutile de se contenter de théorie et de passes convenues si elles ne servent pas. Je n’ai qu’une réponse à formuler :

“Absolument !”

Instinctivement, je tente de me remettre en garde en face elle, comme elle me l’a appris. Logiquement c’est contre elle que je vais faire mes premières armes.
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Première leçon!

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Notre fille de l'eau savait fort bien que 'enseignement théorique dans l'art de la guerre pouvait paraitre incondru lorsque l'on se retrouvait face à un monstre. I st vrai que lorsque l'on vous parle de parade, de riposte o de viser le coeur on imagine rarement cela fasse à un monstre voilà pourquoi la pratique serait plus à même de donner la place à l'instinc qui guide tous les demi-dieux lors de leurs combats contre les monstres. L'application de son élève lui donna du moins la pensée qu'elle prenait sa survie au sérieux ce qui la rassura quelque peu. Se mettant en garde face à elle  Luinilinëa l'invita à attaquer la première se contentant de parer et d'esquiver toute les attaques  pour le début afin de la laisser mesurer tous le poids de son attirail et la nécessité de se ménager et d'aller à l'essentiel dans des combats.

- N'oublie pas que dans un combat pour ta propre survis l'enseignement théorique ne suffit pas. Il te donne certes les informations nécessaires pour tenir ton arme prter un coup en esquiver un et contre attaquer, mais comme tu te doute si fass eàun umain cela est plus évident le monstre lui se sera bien différent. Ton instinct de survis va devoir  te servir.

Ne lui laissant pas non plus trop le temps de souffler pour la mettre en situation Luinil coença à l'attaquer de tous les cotés en rapidité mais tout en veillant à retenir ses coups un minium un entraînement ou l'adversairefinit sur les rotules ne servirait pas à grand chose comme premier cours. Néanmoins elle était plutôt satisfaite de la débrouillardise d'Idalina qui mettaiy en pratique les choses même si elle ne seblait pas forçément encore très à l'aise avec tous cela.

- Bien pas mal du tout je vas corser un peu a chose. Les monstres ne sont clairement pas loyale donc je vais faire usage de mes pouvoirs et t'attaquer aussi ar derrière tu vas devoir  rajouter l'esquive à tous ce que tu as déjà fait et tenter de m'imobiliser. Prête ?

Luinilinëa lui donnant ses explictions luidonnait ainsi le temps de récupérer un peu  tout en continuant de luui donner les indications cela permettait un gain de temps énorme dans l'histoire. Ouvrant sa main ne tenant pas l'épée elle attira de l'eau à elle la transformant en de fines aiguillon d'eau qu'elle gela par la suite et s'amusa à envoyer par salve vers la jeune fille tout en continuant d'attaquer et de parer els attaques d'Idalina qui devenait de plus en plus précise à mesure qu'elle s'habituait au poids du matériel. Oh bien sur elle vaillait à ne pas viser  correctement de façon à ce que si elle n'arrivait pas à les éviter que ceci ne fasse que l'érafler elle ne voulait pas la blesser non plus.


L'entraînement se poursuivait ainsi encore un bon moment où notre fille de Poséidon faisait usage de ses pouvoirs pour attaquer sur plusieurs front la jeune Pythie et la mettre en situation d'un cobat plus inégale qu'un simple un contre un car les monstres n'étant jamais vraiement égaux avec un demi-dieu il valait mieux s'attendre au piire pour parer à toute éventualité que de se faire bouffer car on aura pas été assez prudent face à eux.

- Bien continue  tes sens doivent te servir aussi ils peuvent t sauver a mise dans  une situation critique si tu les aiguises.



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Mar 28 Mai - 18:16
Hum:
Le prochain discours de mon instructrice confirme ce que je pensais et me rassure un peu aussi sur ce que nous sommes en train de faire. Je me voyais mal apprendre de jolies passent qui ne serviraient à rien à l’épreuve du combat. D’assaut en assaut elle se montre de plus en plus pressante et je me retrouve contrainte d’improviser. Les enchaînements de base répétés auparavant reviennent alors presque par automatisme et me permettent de parer au plus pressé. Je vois bien que cela ne suffit pas alors je suis obligée de faire appel à ce que la vie m’a donné de roublardise et d’instinct de survie. Luinilinëa m’est clairement supérieure et je sens que chaque fois que je hausse mon niveau, elle répond sans peine et je me retrouve très vite repoussée dans mes retranchements. Il y a quelque chose de rageant dans tout cela. Même si je ne peux pas prétendre à la première leçon égaler le niveau de ma maîtresse du moment, je ne supporte pas d’être dominée et je sens à quel point je serais vulnérable en cas de réelle attaque. Pourtant la fille de Poséidon semble satisfaite et son sourire n’est pas un sourire de victoire sur la débutante que je suis mais plus celui de l’enseignante qui encourage son élève et lui signifie qu’elle apprécie les progrès qu’elle fait.

De mon côté, je me démène sans scrupule et sans crainte de la blesser. J’ai vu les prodiges de guérison dont elle est capable et je supporte sa supériorité au combat. Tout cela légitime à mes yeux le fait que je ne retienne pas mes coups ni même que je ne me soucie pas de sa santé. La mienne au contraire dépend beaucoup ne serait-ce que parce que le premier adversaire armé pourrait avoir raison de moi si je me ménage et si je la ménage. Je répugne encore à trop utiliser le terme de monstre. Sans doute une part de moi est encore incrédule sur le sujet même si je sens que petit à petit mes constatations et le discours cohérent de cette fille commence à faire leur chemin en moi. En attendant, je me rends compte que les gestes de l’escrime, si tant est que ce que je pratique là puisse s’apparenter à de l’escrime sont plus amples que les gestes de la boxe Thaïe. Tant pis, je m’engage à fond au risque de me faire prendre à revers par mon instructrice ; après tout, il vaut mieux que cela arrive aujourd’hui et pas lorsqu’une vraie bataille… Cela ne suffit pas à combler l’écart qu’il y a entre nous par contre, je commence à transpirer. J’aurais dû me changer avant d’enfiler cette armure et revêtir une tenue de sport plus appropriée. Entre deux assauts c’est à peine si j’ai le loisir de m’essuyer le front qui ruisselle de sueur qui coule entre mes cils jusque dans mes yeux et me brûle comme de l’acide. A force j’ai l’impression d’être une bonne à rien et la pose arrive à point nommé pour me permettre de digérer cette frustration de ne pas être capable de mettre en danger la fille de Poséidon qui doit penser qu’elle ne fera jamais rien de moi. Je fouette l’air de rage de façon un peu brouillonne et manque de blesser le mollet.

Je suis assez surprise du verdict que je juge plus qu’indulgent de la fille. Ou alors c’est pour me faire passer la pilule de l’épreuve suivante. Tenter de l’immobiliser alors que je parviens déjà pas à entrer dans sa garde ?!!! Et en plus avec en plus ses pouvoirs qui vont entrer dans la danse ? Elle est pas sérieuse ? Je ne les connais même pas ses pouvoirs ! Mais elle a raison, la loyauté n’est sûrement pas à chercher du côté des monstre et c’est à moi faire en sorte de survivre et éventuellement de relever le défi, ce qui m’apparaît comme une tâche impossible. Je me remets en garde et marmonne en serrant les dents

“Prête!”

Contre les assauts de glace contre lesquels je devais me prémunir le bouclier n’était pas de trop malgré ce que je pensais de lui au début de l’entraînement. Me restait à assurer ce que je pouvais avec mon glaive. Cela faisait beaucoup d’angles à couvrir en même temps. Je tentais donc de contourner mon assaillante afin que ces deux attaques me visent sous le même angle tentant de remonter dans sa garde abritée derrière le bouclier contre ses attaques de lame et de glace en même temps. Le principe était simple, mais la mise en œuvre beaucoup moins. Je sentais que les encouragements de la fille des océans avaient ses limites. Mes sens ! Elle en avait de bien bonnes ! Comme si je fermais les yeux, les oreilles et le reste !

Et pourtant ce ne fut qu’à ce moment que je réalisai le léger crépitement de glace qui précédait les assauts de glace, entre la fin d’un assaut de ces satanées aiguilles de glace et ce bruit j’avais peut-être une ouverture à exploiter. Je provoquai donc une série d’assauts et de parades pour m’assurer que je n’avais pas rêvé. C’était comme un bruit infime de glaçon que l’on plonge dans son verre en été. Je ne savais pas trop si mon attaque ne serait pas interprétée comme un assaut suicide mais je décidai de mettre mon instinct à contribution.

La glace s’écrasa sur le bouclier un peu comme la grêle sur un pare-brise lorsqu’on croit qu’elle va le faire voler en éclat. Lorsque cette gifle cessa il était temps de mettre mon projet à exécution sans marquer d’hésitation qui pourrait conduire à un nouvel échec. Il fallait que mon enchaînement soit parfait et fluide. Je profitai d’être gauchère pour écarter le fer adverse et me frayer un passage dans la garde de Luinilinëa, tout en visant l’autre bras avec mon bouclier. C’était mon seul avantage question équipement sur la fille de Poséidon et si les monstres ne sont pas loyaux, je n’avais pas de raison de l’être. D’ailleurs mes réflexes de boxeuse reprirent le dessus au moment où je vis le chemin des appuis de mon adversaire. Comme une morte de faim, je me lançai à corps perdu dans l’enchaînement que ma découverte m’avait permis de mettre sur pied. Ma jambe profita de ce que j’avais ouvert la garde de Luinilinëa pour tenter un balayage et provoquer son déséquilibre. Je n’avais plus à hésiter si je voulais avoir une chance de réaliser l’enchaînement que j’avais projeté avant l’assaut de glace de suivant et me jetai pour l’accompagner dans sa chute. Le bras de mon bouclier l’enserra au niveau de la poitrine, tandis que mon genou gauche venait plaquer son bras armé au sol, au risque de le lui briser (mais après tout elle avait de quoi se soigner et si ça se trouvait il fallait plus que cette charge pour en venir à bout). Mon glaive était la dernière chose que je pouvais encore utiliser et je la brandis en direction de la gorge avant d’arrêter mon mouvement.

Je ne savais pas trop si elle s’était laissée faire pour m’encourager ou si je méritais ce succès, mais je sautai vivement sur mes pieds, satisfaite de ce petit exploit (en fait très grand pour moi), mais prête à recevoir les critiques de cette attaque qui ressemblait peut-être trop à un assaut de la dernière chance, un peu quitte ou double. Pas certain que ça fonctionne face à un adversaire déterminé à me faire la peau… J’espérais aussi que je ne l’avais pas blessée aux bras en particulier contre lesquels j’avais dirigé deux de mes attaques. Je n’y étais pas allée de main morte et c’était un peu ce que me reprochait le coach de la salle de boxe. “ Un jour tu finiras par tuer quelqu’un mais en attendant, j’aime bien ton engagement…” Quand il me disait ça je me demandais toujours si c’était un reproche sensé me faire comprendre que j’étais toujours dans l’excès ou si c’était un compliment. Peut-être un peu des deux… Qu’en dirait Luinilinëa. J’avoue que je redoutai sa réaction, pas au niveau des critiques que la conception ou l’exécution que mon enchaînement pouvait recevoir, mais plus dans ce que certains à la salle appelaient ma folie furieuse. Mais il fallait bien que je compense ma faible masse musculaire et dans le cas présent mon manque d’expérience !
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Mar 28 Mai - 19:07

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Luinilinëa autant le dire attendait beaucoup d'Idalina sur cette exercice. Etre  une mortelle dans le monde monstro-grec, c'était la mort assurée si on avait de l'essence divine qui te transformait joliement en un buffet à volonté pour monstre. Si les pouvoirs de l'oracle d'Apollon était puissant ils étaient essentiellement du domaine de la divination, par conséquent elle devait encore plus apprendr eà se battre  pour survivre ici come ailleurs. La fille de l'eau avec l'accord de la nouvelle Pythie repris l'entraînement la poussant toujours pus loin jusque dans ses retranchements jusqu'à ce qu'Idalina l surprenne. Une bonne surprise entendons-nous bien en réussisant à percer sa défense et la ettre au sol.

- Très bien on s'arrête là pour le moment tu as bien progressée. Bien que quitte ou double c'est assaut était très bien réalisée bravo.

Entendons-nous bien Luinilinëa, enfin Luinil n'avait pas laisser Idalina gagné ou autre elle avait juste bien jouer son coup et pris un avantage en la surprenant ce qui lui avait donc permis de gagner cette manche. Luinil tout en se relevant s'époustant tranquillement n'avait pas une égratignure il est vrai, pas même à son bras qui avait été maltraité durant l'assaut. Avantage certains à être une demi-déesse, on est plus résistante qu'il n'y parait.

- Si tu prends par surprise comme là et que tu casse la défense de ton adversaire tu pourras forçément  le mettre à ml en revanche un monstre étant tout de mêmeplus réistant ce tpe de tactique n'est pas forçément payant selon le monstre face à toi. Néanmoins pour gagnerl'avantage face à un monstre il faut l'attaquer et briser son point fort.
Si il à des griffes brises les lui, si son point fort réside dans ses avant-bras tranche-les lui. Ta survie est ta priorité pour éviter de finir  en menu pour monstre.    


Luinilinëa avait dans la tentative peut coutumière de son adversaire du jour décelé  qu'elle avait trouver le moyen de prévoir les pics de glaces en se fiant à son ouïe lors de leurs formations et cela lui ferait un atou certain.  

-Tu as pu entendre la formation des pics de glace afin de les éviter tu t'es sevie du sens de l'Ouï et croi-moi l'aiguiser contre les onstres ne sera pa sune mauvaise chose. Tu ne dois pas te focaliser que sur la force et la vue, mais aussi sur la vitesse, les esquives et tes autres sens. Un héro vivant est un héro prudent qui se connais sur le bout des doigts. Voir par exemple un chiend s enfers ne suffiera pas, ils se déplace en groupe et si l'un est en face de toi d'autres chercheront à t'attaquer de tous les côtés et tu ne pourras pas conter sur ta vue pour les repérer en combattant contre l'autre tu te doutes bien. 

La jeune Luinil s'approcha de l'eau et y mis ses pieds pour recharger en quelque sorte ses batteries tout en laissant soin à Idalina d'engranger les informations qu'elle lui avait donnée. Une fois requinquée elle sortie de l'eau parfaitement sèche.

- Approche je vais soigner tes plaies viens. 

Luinil la vit s'approcher et l'entraina au bord de l'eau la faisat s'agenouiller près de l'eau. Elle  mis ses jambes dans l'eau puis  prenant la main d'Idalina qu'elle mis proche de la surface de l'eau elle fit remonter l'eau de sa main qui touchait seule de la jeune fille et remontait sur le bras de la jeune fille soignant ses plaies et lui redonnant un peu d'énergie tous en la rafraichssant car elle n'était pas perméable à l'eau.


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Mer 29 Mai - 21:14
Elle s’était relevée avec calme après que je l’aie débarrassée de mon poids, pas très impressionnant certes et je suppose qu’elle aurait pu m’envoyer voler à quelques mètres, mais elle avait joué le jeu et s’était redonné une contenance avant de commenter notre assaut. Elle ne semblait avoir ressenti aucune douleur et aucune contusion n’apparaissait sur elle-même aux endroits où mon bouclier et la pointe de mes os l’avait rencontrée. Si elle craignait les monstres avec sa constitution, j’vais bien du souci à me faire, moi qui ne possédais pas de pouvoir de guérison ni de squelette ou de muscle blindés.

Elle avait raison et je le savais mais cela n’enlevait rien à la satisfaction d’être parvenue à relever le défi que Luinilinëa m’avait lancé. Je regardais un peu bêtement ma lame et au bout de mon bras et le bouclier encombrant qui m'avait tout de même bien servi. Une goutte de sueur roula sur l’arête de mon nez avant de s’écraser dans la poussière à mes pieds. J’avais payé de ma personne pour arriver à mes fins mais c’était ainsi. Pour atteindre mon but j’étais habituée à tout donner que ce soit sur la durée ou sur le moment, le peu de force physique que je possédais mais aussi tous les neurones qui pouvaient fonctionner dans ma petite tête. Ensuite j’étais vidée et épuisée mais le but atteint en valait toujours la chandelle et imaginer aujourd’hui que peut être j’aurais pu survivre à une attaque de monstre était suffisant à me satisfaire. Une petite brise vint caresser la sueur sur mon front et les morceaux de mon corps que l’armure cédait à ses infiltrations bienfaisantes.

Je prenais toujours les compliments avec beaucoup de méfiance aussi aucun sourire n’accueillit les félicitations de mon instructrice. J’avais parfaitement conscience que j’avais encore un long chemin à parcourir avant d’envisager sereinement un affrontement contre des créatures déterminées à me tuer et si la fille de Poséidon avait décidé d’interrompre l’entraînement maintenant je n’étais pas dupe de mon piètre niveau. Cela reposait une nouvelle fois avec acuité le choix que je devais trancher et malheureusement, cet entraînement ne m’aidait en rien. J’étais consciente que je ne serai jamais au niveau de combat des demis dieux et je me demandais si être loin de ce camp qui devait être la cible de tout ce que la faune mythologique comptait de monstre n’était pas plus judicieux que d’y rester dans l’espoir de progresser dans les affrontements que Luinilinëa me promettait si je le quittais, traînant derrière moi la délicieuse odeur de l’essence divine dont m’avait dotée soi-disant Apollon. Bref je n’avais que des désavantages dans cette histoire. Encore, si cela me donnait la même résistance que mon instructrice cela ne pourrait pas être considéré comme totalement inutile, voire nuisible.

En attendant je décidai de noter les derniers conseils du jour dans ma petite tête. Effectivement priver l’adversaire de ses points forts était toujours souhaitable. Le problème était que si justement c’était ses points forts, il ne devait pas être aisé d’en venir à bout. Y claro, ma survie était le premier de mes soucis. Je tentais de faire la liste de mes points forts et… A part travailler ma vivacité et avoir à l’esprit chaque conseil de la fille de Poséidon, je n’en voyais pas des masses. Se sera bien compliqué en effet de développer mes sens. Si j’en crois les bouquins de vulgarisation scientifique que j’ai lus, je suis même déjà sur le pente descendante question matériel biologique. En outre, ma vivacité d’humaine en face de monstres qui pouvaient très bien avoir des pouvoirs de déplacement surnaturels… Je doutais vraiment que je fasse le poids. Plus je tournais les conséquences de cet entrainement, et plus le sentais le pessimisme m’envahir. Cependant je n’avais, heureusement, pas l’habitude de renoncer et il n’était pas question pour moi d’attendre avec fatalisme que le premier croquemitaine grec vienne me choisir comme casse-croûte. Pour le moment je devais récupérer et prendre des décisions qui allaient engager ma vie sur le long terme, long, enfin, si je ne me faisais pas mettre en pièces à la première occasion. Qui qu’il en soit pour ces décisions j’avais besoin d’avoir les idées claires et surtout de chasser celles qui me promettaient le pire en ce moment. J’avais juste envie de prendre une douche et l’autre prenait un bain de pied devant moi et se livrait à son tour de passe-passe favori, se régénérer et sortir fraîche comme une rose et sèche qui plus est. Ce n’était rien de méchant, mais cela finissait par être agaçant de le voir trouver la parade à chaque situation comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. Evidemment, pour elle ce devait l’être mais je commençais à avoir des complexes et pour tout dire cela pourrait bien pencher dans la balance au moment de compter les points et prendre la décision de rester ou de me casser.

Je réalisai que j’avais toujours le glaive en main alors qu’elle me rassurait en me prédisant d’affronter des chiens de l’enfer. Je le remis au fourreau et scrutait machinalement la lisière de la forêt comme si des chiens à trois têtes s’y tenaient tapis attendant le bon moment pour attaquer. Je ne sais pas si les chiens de l’enfer ont trois têtes mais le seul que je connaisse qui réponde à cette dénomination est Cerbère alors son image n’a eu aucun mal à s’imposer dans mon esprit. Trop bien ! Non seulement ils attaquent en meute mais en plus ils ont trois têtes, trois gueules… N’en jetez plus et j’ai juste envie de demander à cette fille de se taire histoire que je puisse garder quelques raisons d’espérer atteindre les trente ans. La cabras no matan el lobo, pero ce serait cool de devenir la Pythie la plus vieille. Je me rends compte que je suis en train d’accepter ma condition de réceptacle à message divin et ça me fiche un coup. Je donne un petit coup de pied dans un caillou. Lui au moins n’est pas porteur de mauvaise nouvelle ni susceptible de me bouffer.

Je relève la tête. Mes plaies ? Quelles plaies ? C’est pourtant vrai, mes jambes de jean sont déchirées et par endroit les lacérations sont ourlées d’un rouge qui ne m’est que trop familier. Du coup je sens que ma pommette pique aussi. Visiblement je n’ai pas réussi à éviter tous les projectiles de la guerrière et cela finit de gâcher le sentiment de triomphe déjà bien entamé par toutes les réflexions qui l’ont suivi. Un peu dépitée j'obtempère à son injonction et la laisse s’occuper de mes petits bobos et me revigorer car je sentais aves étonnement l’énergie affluer en moi. Ca ne remplacerait sans doute pas une bonne douche pour les odeurs, mais je me sentais prête à reprendre les exercices. Je ne savais pas trop ce que le réservait maintenant mon instructrice. J’avais compris que la leçon du jour était terminée et je gardais le silence? Je crois bien que j’étais un peu groggy par tout ce qui m’était tombé dessus aujourd’hui. Je crois que m'allonger seule, dans l’herbe les yeux dans les nuages était la seule chose à laquelle j’aspirais pour l’heure. Peut-être que des réponses se ferait en moi mais peut-être pas et ça n’avait pour le moment aucune importance.
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Mer 29 Mai - 21:47

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Après avoir soigée la jeune femme, Luinil sortie de l'eau et retransforma son arme en bracelet la remettant à son bras. Elle jugeait préférable de ne pas lui faire reprendre les combats d'épée en revanche la conseillée à méditer un peu serait sans doute une bonne idée. Cela lui permetterait non seulement de réfléchir, mais aussi de sentir ce qui l'entourait.

- Tu sais se battre à l'épée c'est bien mais il faut aussi sentir son entourage, perçevoir les choses et un bon moyen est de méditer cela permet aussi de réfléchir au calme et sa forge l'esprit aussi.

Notre fille de l'eau parlait d'expérience bien qu'elle fasse cela au fond de l'eau moins orthodoxe il est vrai mais tout aussi efficace dans son cas à elle. Par ailleurs un peu de solitude pour Idalina semblait être quelque chose qui lui ferait du bien avec toute ses informations qu'elle avait eue jusque là.

- Je vais te laisser réfléchir à tous cela et te reposer un peu. Je me doute que tous cela est destabilisant et dure à croire. Il est normale d'avoir des doutes et de ne pas savoir si tu ferais pieux de rester ou de partir. Cependant ce n'est certes qu'un conseil mais à toi de voir ce que tu en fais par la suite, mais je pense que mêe si tu penses que tu n'es pas fait pour tous cela que tu ne comprends pas ce que tu fais dans cette histoire et le pourquoi tu as été choisie laisse-moi te dire que c'est parce que justement tu as quelque chose de spéciale. On ne devient pas Pythie sans y être prédisposer d'une manière ou d'une autre. D'avoir quelque chose en plus, un don, un pouvoir appel cela comme tu veux.    

Luinilinëa marqua l'arrêt das ses propos le temps de bien choisir ses mots pour la suite. Son but était de la rassurer et de lui donner les informations qui pourrait en temps et en heure lui permettre de faire son choix tout simplement. Bien qu'elle ne soit pas forçément super bien placé sans doute pour cela il est probable. 

- Toute les pythie était prédisposée à voir au travers de la brume la véritable apparence des monstres, à ressentir un peu à l'avance comme une prémonition ou un rêve des évènements qui allait arrivée. D'autre on même développer d'autres aptitudes héritage d'Apollon mais je n'ai pas vraiment plus d'info sur cela. Bien je vais y aller et tu devrais aller te détendre dans une bonne douche cela te déliera tes uscles si ils sont douloureux. N'hésite pas à venir me voir au besoin et on reprends les leçons quand tu veux. 

Luinil la salua d'un léger signe de main avant de disparaitre direction son point de rendez-vous avec Azumi pour lui parler de la mission. Il faudrait faire cela en douce et donc partir de nuit pour éviter tout problème.


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Jeu 30 Mai - 22:18
Je n’étais pas très douée pour remercier les gens et je ne pense pas l’être plus maintenant, mais tandis qu’elle rangeait son arme, je lui adressai un petit sourire en coin et un léger signe de tête pour montrer que j’appréciais les soins qu’elle me prodiguait. Depuis que maman avait perdu la raison, personne ne s’était vraiment soucié de mon bien être. D’abord parce que les institutions d’état dans lesquelles j’ai été à tour de rôle placée de regorgeaient pas d’amour, des spécialistes, ça oui, mais d’amour… Et puis aussi parce que faisais à peu près tout pour leur éviter de ressentir quelque sentiment positif à mon égard. Mutisme, infraction, violence à l’occasion, je ne vais pas revenir sur ce qui avait justifié tout cela mais je savais pertinemment d’où venait le comportement des gens à mon égard et il n’y avait pas de souci entre eux et moi si on exceptait un de mes tuteurs qui l’avait payé depuis. J’avais su rencontrer quelque personne à qui faire confiance et qui avaient compris qu’il fallait me lâcher très souvent.

La fille de Poséidon ne savait pas encore grand-chose de moi mais se montrait plutôt loyale et simple, même si elle avait deux défauts. Elle rabâchait un peu trop la même chose. Peut-être craignait-elle que je sois une demeurée, les Pythies sont peut-être des déficiences congénitales, mais c’est bon, j’avais compris l’idée ! Il fallait que réfléchisse, elle savait que ce n’était pas facile pour moi, elle comprenait que je veuille me carapater même si ce n’est pas le plus judicieux à ses yeux… Si j’avais été désignée Pythie il y avait une raison et je ne pouvais pas aller contre ça… Ok. Et puis cette sensation qui revenait qu’elle lisait dans mon cerveau ! J’espère qu’ils ne sont pas tous comme ça dans ce camp, parce que là j’aurai trouvé de quoi me tirer vite fait. S’il y a quelque chose qui me fait flipper c’est de penser qu’on puisse lire en moi comme à livre ouvert. Une partie de ma stratégie de survie durant ma jeunesse avait été de me rendre imperméable à tous ceux qui voulaient écrire des rapports sur moi. Devenir transparente était effrayant pour moi et me mettait à la merci de tous ses psy-quelque-chose qui voulaient évaluer la santé mentale et mes compétences intellectuelles. Que se vayan al infierno!

Par contre, elle pouvait se vanter de me surprendre ! Méditer ? Je sentis mes yeux s’agrandir d’étonnement. S’il y avait une chose dont j’étais bien incapable c’était méditer. Gamberger, élaborer, ressasser, ça oui et plus souvent qu’à mon tour, mais méditer !... Ce truc réservé aux moines bouddhistes ou au mieux aux poètes… Est-ce que j’avais quelque chose de commun avec un moine eu un poète ? C’était gentil de me dire que je savais me battre à l’épée même si c’était à l’évidence faux. Je maîtrisais les rudiments mais je me sentais presque aussi démunie que lorsque nous avions quitté la bibliothèque. J’avais plus de chance de survivre à une nouvelle séance immédiate d’entraînement que de me mettre à méditer. Il faudrait déjà que j’en comprenne la signification. Je supposais qu’il ne s’agissait pas simplement de fermer les yeux et de laisser son esprit vagabonder, ça je savais le faire, pas besoin d’appeler ça méditation !

En fait, si j’arrivais moi aussi à comprendre où elle voulait en venir, elle voulait juste que je me prenne du temps pour réfléchir à tout ce qui m’était arrivé pour prendre les décisions qui s’imposaient pour dégager mon horizon ne serait-ce que pour les quelques jours à venir. Je devais bien lui rendre cette justice, ce pouvait en effet être une bonne idée. En silence je l’écoutai tenter de me rassurer sur la condition d’oracle qui m’avait été imposée. C’était pour l’heure peine perdue mais je ne pouvais pas lui reprocher de m’imposer sa façon de penser. Quoique… Et puis elle me laissa soudain en plan et je la regardai s’éloigner visiblement tendue vers un autre but que de convaincre la nouvelle Pythie récalcitrante. C’était le moment idéal pour tenter de faire le point sur ces derniers jours. Une douche ! Depuis que je rêvais d’une douche !

Comme si j’étais déjà familiarisée avec les lieux re retrouvai ma chambre et les cabines de douche dans le couloir. Je laissais l’eau couler longtemps sur ma tête, lisser mes cheveux sur mon crâne ce traître qui avait accepté qu’un truc que je ne maîtrisais pas se glisse à l’intérieur, lisser mes cheveux sur ma nuque et mes épaules qui n’étaient pas faites pour porter les problèmes des autres et encore moins ceux de demis dieux grecs. Je sentis la rage soudain remonter en moi jusqu’à décocher un coup de poing dans la céramique du mur, mais je n’étais pas habituée aux débordements incontrôlés. Je me contentai de presser une nouvelle fois le bouton de la douche et d’appuyer mon front sur le carrelage blanc, infiniment blanc, sans même un dessin pour distraire mon regard et mes pensées. Appuyée sur le robinet je me contentai de fermer les yeux. Je ne sais même plus à quoi je pensai, ni même si je pensai à quelque chose hormis soudain la question triviale de savoir si l’eau chaude était produite en continue ou par un ballon que j’étais en train vider.

Ce fut comme si la vie quotidienne me rendait un peu de sérénité, m’envelopper dans une serviette, chercher de quoi me vêtir même si cela ressemblait beaucoup à tenue ruinée par l’entraînement. L’entraînement ! Mon regard tomba sur l’armure et les armes que j’avais négligemment laissées choir dans un coin de la chambre. Je ne me souvenais même pas du bruit qu’elles avaient fait sur le sol. Quelques minutes plus tard je me présentai au malabar taciturne qui récupéra l’ensemble sans mot dire. Ce fut comme si me débarrasser de cet équipement s'allégeait l’esprit. Quand je sortis de l’armurerie, je restai un instant, interdite me demandant quelle direction j’allais prendre. Décidément dans n’importe quel domaine j’avais bien du mal à prendre la moindre décision. en même temps à part ma petit personne je n’avais pas grand-chose d’autre à faire. Je laissai mon regard parcourir les environs et décidai de me rendre à l’orée de la forêt.

Arrivée devant le premier rideau d’arbre, la chaleur des rayons solaire commençait à réchauffer mon dos et mes épaules. Je décidai que c’était là un endroit parfait pour faire le point et reprendre une aune les questions et tenter de leur répondre. Je m’allongeai sur le dos dans l’herbe, les yeux perdus dans le bleu uni du ciel et les bras en croix. Effet de l'entraînement de la douche ou de l’endroit ou un peu des trois à la fois, je me sentais délassée et tranquille pour la première fois depuis que j’étais arrivée ici. Peut-être parce que j’avais décidé de prendre des décisions aunque séa un desastre en mi cabeza. Une abeille s’annonça de son bourdonnement grave et hésita au-dessus de mon visage. Je la regardais en me demandant si elle savait que les centaures existent vraiment. Certainement et je devais prendre ce paramètre en considération. Si j’étais folle pour de vrai autant rester au milieu des fous et si je n’étais pas folle… Et si je n’étais pas folle, les choses allaient être bien plus compliquées à trancher. L’épisode du grenier n’allait pas beaucoup m’aider à trancher parce que là aussi le problème de ma folie pouvait se poser. Mon incrédulité reposait incessamment la question de ma santé mentale. Se pouvait-il que je n’aie le choix qu’entre être crédule ou folle à lier ?

D’où venait cette libellule ? Son vol lourd et saccadé à la fois captiva mon regard un instant. Ses ailes en mouvement perpétuel et rapide ne paraissaient pas plus dessinées qu’un faible brouillard. Elle ferait un monstre parfait en plus gros. Est-ce que ça résoudrait mes problèmes si un monstre débarquait ? Et si je me mettais à débiter une prophétie ? A ce que j’ai compris je ne m’en souviendrais même pas donc là encore… Je repensai à ce que la fille de Poséidon me disait tout à l’heure. Soi-disant j’ai quelque chose de spécial. J’aimerais bien savoir quoi et si c’était pas trop demander le ressentir pour de vrai. Un battement léger m’arriva aux oreilles. Quelque chose que je n’avais encore jamais entendu, comme la caresse sur le vent de quelque chose d’infiniment léger. Cela approchait de mon oreille gauche et ça s’arrêta en même temps que quelque chose se posait sur elle. Une bestiole semblait ne pas savoir que faire sur ce perchoir. Mes doigts allèrent la chercher à tâtons et le plus délicatement possible. Un papillon ! Je ne suis pas très instruite sur les choses de la nature mais je n’avais jamais entendu dire que le vol des papillons était bruyant et cette espèce de papillon pas plus que les autres ne m’était pas connue. Je passai mon autre bras derrière la tête comme oreiller de fortune afin de mieux l‘examiner. Cellules bleues bordées de noir, ses ailes étaient magnifiques mais il s’envola avant que j’aie pu l’admirer plus longtemps.

Entre temps j’étais arrivée à une troisième possibilité. J’étais peut-être manipulée pour un but que je ne comprenais pas. Si j’étais folle je devais rester. Si c’était bien réel tout ce qu’on me bassinait je devais rester et si on me manipulait, je me devais de comprendre le pourquoi du comment. Conclusion, il me fallait rester encore un peu tout au moins pour tirer les choses un peu plus au clair en tentant de mettre à profit tout ce que je pouvais dans ce drôle de camp. Voilà c’était simple.

Lorsque je me remis sur mes pieds je me dis que peut être me procurer un équipement à moi pour m’entraîner pourrait être une bonne idée.
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