Les enfants de l'Olympe
Petit intermède musicale du matin [libre]
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Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !


L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
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Petit intermède musicale du matin [libre]
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Astrée
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Mar 21 Mai - 0:40




Ouvert aux dieux

Petit intermède musicale du matin
“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”





En cette douce matinée, Astrée avait été se dégourdir un peu les jambes dans les jardins du temple principale de l'Olympe afin de profiter du calme des lieux avant l'effervescence des journées au sein de la demeure des dieux. Voilà pourquoi notre petite déesse de la justice des hommes, la fille-étoile de son vrai nom, profitait de la brise printanière et se dirigeait doucement vers l'une des salles de musique afin de pouvoir  jouer du piano à sa guise. Elle aimait la solitude et la douce mélodie d'un piano dans l'air plus que les mondanités de l'Olympe autant le dire clairement. Elle n'était pas vraiment d'une nature sauvage au point de fuir tous les autres dieux non, mais la musique était un loisir plus plaisant encore que la compagnie de ses pairs pour elle.

Voilà pourquoi profitant d'une magnifique matinée, elle se glissa dans la salle de musique et s'installa au piano pour entonner un prélude quelle affectionnait tant. Ses doigts courant aisément sur les touches du clavier de l'instrument. Il lui arrivait bon nombre de fois de rejoindre en ses lieux son demi-frère Apollon dieu de la musique avec qui elle s'entendait plutôt bien il fallait se l'avouer. Les yeux clos Astrée, déesse de la justice des hommes savourait cette intermède à la vie d'une déesse loin de toutes les querelles habituelles qu'ils avaient entre les divers dieux.

Si Astrée respectait sa mère Thémis grandement, elle ne pouvait en dire autant de son père Zeus. N'allez pas croire quelle ne le respectait pas, mais disons que son côté volage ne plaisait pas plus à son épouse Héra qu'à sa fille qui ne lui avait pas vraiment pardonné d'avoir abandonnée sa mère ainsi. Oubliant pour un temps ses sombres pensées grace à la douce mélodie Astrée avait laissée la porte de la salle entrouverte répandant les douces notes jusque dans le couloir de l'antique temple Volatile les notes vibrait comme des petites clochettes au contacte de l'air et se dispersait tel le rire d'un enfant Ses sons reposant l'apaisait bien plus que la solitude du moment autant se le dire clairement.





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Eros
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Mer 29 Mai - 0:23
Levé en même temps que le soleil, Eros, Dieu de l’Amour et de la Puissance Créatrice, avait décidé de parcourir les jardins de l’Olympe, résidence des Dieux grecs. En cette heure matinale, nul ne venait troubler la quiétude des lieux, la plupart des Dieux préférant faire la grasse matinée. C’est donc dans la fraîcheur des petites heures de l’aurore que le dieu ailé parcourait les allées vides, allant de bosquet en parterres et de parterres en pièces d’eau. Si la solitude était une vieille connaissance d’Eros et qu’il savait l’apprécier dans des moments comme celui-là, il ne la recherchait cependant pas constamment. Mais la solitude lui était bien souvent imposée, les autres Dieux dans leur majorité se méfiant de lui et du pouvoir qu’il pouvait avoir sur eux tous. La réputation facétieuse d’Eros ne jouait pas non plus en sa faveur, les Olympiens craignaient qu’il ne leur décoche ses flèches purement pour tromper son ennui. Le prenaient-ils donc pour Eris ? La discorde n’était pas son domaine pourtant, et rares furent les fois où les facéties d’Eros et les projets d’Eris s’accordèrent. Mais il est vrai qu’à chaque fois les conséquences en furent terribles, il n’y a qu’à voir ce qu’avait donné la flèche tirée dans le cœur de Pâris durant son séjour à Sparte…

Alors que ses pas le rapprochaient du Temple principal de l’Olympe, une douce mélodie jouée sur un piano vint tinter aux oreilles du Dieu de l’Amour. Bien que l’Art et la Musique ne soient pas dans ses attributions, Eros n’était pas non plus insensible à une musique de qualité, et la mélodie qui lui parvenait entrait largement dans cette catégorie. Curieux de savoir qui jouait, et désireux d’en entendre plus, Le dieu ailé pris son envol et alla se poser discrètement sur le rebord de la fenêtre de la salle de musique, prenant pour l’occasion l’apparence d’un enfant d’une dizaine d’année, car tel était l’effet que la musique avait sur son esprit, il se trouvait dans une forme de contemplation enfantine de la belle mélodie. Une fois installé sur le rebord, Eros s’intéressa à l’interprète, reconnaissant la déesse Astrée, fille de Zeus et de Thémis. Sans bruit il prit une position confortable sur l’appui de fenêtre, assis contre l’encadrement, la jambe droite pendant dans la pièce, la gauche repliée contre sa poitrine et enlacée de ses bras, le menton posé sur son genou; ses ailes repliées venaient l'entourer comme un cocon duveteux. Et il écouta le récital en silence, ne cherchant pas particulièrement à se manifester, tout simplement heureux de profiter de la musique en cet instant de calme tout à fait divin.
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Mer 29 Mai - 11:40




Ouvert aux dieux

Petit intermède musicale du matin
“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”




La brise du vent venait faire voleté doucement les mèches de la divinité assise au piano qui continuait de jouer dans un mélange de calme et de sérénité. Ses doigts couraient gracile sur les touches noires et ivoires alors que ses yeux clos ne lui permettaint pas de voir le visiteur venu écouter son petit récital improvisé. La mélodie dura longuement avant que la dernière note ne s'envole dans l'azur. Rouvrant les yeux elle tourna son visage vers le jeune spectateur bien calé dans ses ailes et le reconnue sans problème. Inclinant légèrement le tête en guise de salutation respectueuse, Astrée était l'une des rares à ne pas le craindre. Les facéties d'Eros se portaient souvent sur certains dieu mais il fallait qu'il y est un potentiel au départ alors pourquoi craindre une flèche lorsqu'elle ne s'intéressait à personne. Se levant de son siège, elle rajusta sa tenue et s'étira un peu ses ailles apparaissant dans son dos pour s'étirer un peu elles aussi avant de revenir à leur place dans so dos donnant l'image de l'un de ses anges décrit chez les mortels.

- Bonjour Eros, tu es bien matinal en cette matinée douce. L'envie de te dégourdir les ailes je suppose. C'est vrai que la temps s'y prête ce matin j'avoue que cette enviie m'effleure 'esprit depuis ce matin égallement.

Souriant à l'apparence enfantine du dieu, elle fit de nouveau disparaitre ses ailes, plus par habitude lorsqu'elle était à l'intérieur que par réelle nécessité. Si elle aimait étonnement ses ailes bien pratique pour s'envoler dans le ciel et observer le monde avec un peu de hauteur elle n'en restait pas moins que ses ailes n'avait pas grande utilité lorsqu'elle était sur la terre ferme dans un temple me direz-vous. D'ailleurs l'envie de se faire un petit vol d'agrément lui venait en tête de plus en plus tant qe les autres dieux étaient encore à paresser dans leurs lits. Elle avait toujours été du genre lève tôt aussi cette manie de paresser 'nétait pas vraiment quelque chose de connue pour ladite demoiselle mais après tous chacun  son choix non?


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Eros
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Mar 11 Juin - 21:44
Les yeux mi-clos dans une attitude presque féline, Eros se laissait bercer par la mélodie fluide et aérienne qui s’élevait de l’instrument sur lequel la Déesse de la Voûte Etoilée faisait courir ses doigts agiles. Bien rares étaient les musiciens suffisamment doués pour faire vagabonder de la sorte son esprit au gré des notes et des accords. Mais Astrée était de ceux-là. Aussi le Dieu de l’Amour laissa son esprit s’évader dans un monde semi onirique, parcourant la rivière mélodique, appréciant autant le tumulte de ses rapides que la lente progression de ses eaux plus calmes. Bien trop tôt au goût de l’enfant Dieu, la dernière note de la mélodie s’éleva puis se dispersa dans les airs, emportant avec elle les fugaces visions que son esprit avait générées. Battant des cils pour chasser le reste de la torpeur qui s’était emparée de lui, il focalisa à nouveau son attention sur Astrée, lui rendant son signe de tête avec un sourire béat comme seuls les enfants savent les faire. Descendant de son perchoir Eros s’étira lui aussi, déployant toute l’envergure de ses ailes dorées. Puis, avec un petit sourire facétieux, il se projeta à travers la pièce d’un coup d’aile, et sans crier gare atterrit auprès de la déesse dont il enserra la taille de ses bras en une étreinte affectueuse.

« Bonjour Astrée ! Merci pour cet intermède musical, c’était magnifique ! Tu recommenceras hein ? Dis,dis, dis, dis ? »

Le Dieu de l’Amour sous sa forme d’enfant relâcha son étreinte et recula d’un pas, regardant la déesse avec les yeux grands ouverts et une petite moue boudeuse sur le visage, image parfaite de l’enfant suppliant un adulte de lui faire plaisir. C’est ce genre d’attitudes qui faisait que la majeure partie des autres Dieux se méfiaient de lui, car la forme et le comportement majoritairement enfantins du Dieu de la Puissance Créatrice leur faisaient craindre une tendance à l’inconséquence d’Eros. Eros n’agissait que rarement de manière inconséquente, bien moins que la majeure partie des Olympiens qui le lui reprochaient. Ses flèches n’avaient de pouvoir que lorsque les amants visés présentaient tous deux un potentiel intérêt mutuel. Et malgré toutes ses facéties, le Dieu de l’Amour prenait son rôle très au sérieux. Il n’était pas toujours facile de recevoir les regards condescendants de Dieux qui étaient pour la plupart bien plus jeunes que lui qui naquit jadis du Chaos en même temps que Nyx, Gaïa et Tartare.

« Je ne suis pas plus matinal que toi d’abord, et puis ce n’est pas un défaut que je sache. Mais tu as raison, c’est une matinée à aller se dégourdir les ailes. Tu viens ? »

Eros attrapa la main d’Astrée et commença à la tirer doucement vers la fenêtre avec dans l’idée de s’envoler, oubliant dans son entrain enfantin que la porte existait également pour sortir de la pièce de musique.
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Mar 11 Juin - 22:28




Ouvert aux dieux

Petit intermède musicale du matin
“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”




A l'image même de sa mère Thémis, la jeune femme de 18/19 ans d'apparence qu'était Astrée, était la tempérance même à ses heures et si elle restait à l'écart de beaucoup de Dieux c'était aussi parce qu'elle n'aimait pas forcément le comportement qu'ils adoptaient. En cela elle différait de beaucoup de ses congénères en ayant aucunement peur du pouvoir de l'Eros qui, elle le savait ne pouvait intervenir que là où il y avait quelque chose à faire épanouir ce qui n'était clairement pas son cas d'ailleurs. Lorsqu'elle vit le jeune dieu la rejoindre elle fut quelque peu surprise et gênée lorsque celui-ci l'enlaça et elle posa à la manière d'une mère sa main dans les cheveux du petit dieu en un geste affectueux avant de le voir se détaché. La mine qu'il affichait avec son air enfantin était clairement craquante surtout vu la beauté angélique du dit bambin. Néanmoins elle esquissa un léger sourire à sa demande et elle ne put que lui répondre de ùanière doucereuse et avec tendresse ce qui pouvait s'avérer rare venant de la fille-étoile au vu de son caractère.

- Je viens tous les matins jouer un peu ici au calme avant que tous ne se réveillent rien ne t'empêche de venir me retrouver pour m'écouter si cela t'agréer. Je ne suis pas contre de la compagnie non plus, mais vu que la plupart des dieux sont pas des lèves tôt forcément je reste souvent seule à ses heure-là. Mais je serais ravie d’avoir une compagnie qui apprécie ma musique pleinement autre qu’Apollon.

Souriant à la réflexion d'Eros , elle dû reconnaître qu'il n'avait pas tort, mais la manière boudeuse  et enfantine utiliser restait des plus adorable et elle ne put donc s'empêcher d'ébouriffer les cheveux du jeune dieu pour l'embêter un peu. Elle se laissa par la suite entrainer vers la fenêtre par la main de l'Eros qui lui proposait une ballade dans les airs matinale ce qui ne lui déplaisait aucunement il fallait bien le reconnaître. Déployant ses ailes d'un blanc immaculé, notre fille-étoile gagna la voûte céleste en tenant affectueusement la main du petit Eros. Bien que peu tactile avec les autres dieux, l'apparence juvénile de ce dieux là et son caractère facétieux lui donnait l'envie de le protéger et d'agir un peu en grande sœur sans pour autant le croire sans défense loin de là, elle le savait bien plus âgée qu'elle, mais son apparence enfantine le rendait bien plus attachant que d'autre à ses yeux. Elle ne comprenait pas pourquoi tant de dieux le craignait là où il ne faisait après tout qu'enflammer des passions réels il ne manipulait pas les sentiments ou autres après tout il n'était là que pour aider les sentiments à s'épanouir, à l'instar de la déesse Aphrodite. Tenant donc sa main elle volait tranquillement avec lui parmi les nuages laissant sa main libre caresser ceux-ci.  

- La vue est toujours aussi belle vue du ciel surtout lorsque les autres ne sont pas dans les parages pour perturber de leur disputes les paysages de l'Olympe...

Astrée avait laissé passer cette réflexion sur le ton de la confidence d'un secret un léger sourire mutin sur les lèvres. Elle n'avait rien contre les autres dieux appréciant sa famille, mais il n'en restait pas moins que les incessantes querelles des uns et des autres  la poussaient à les fuir pour avoir du calme d'ailleurs cela fut l'une des raisons de son exil de l'Olympe des siècles durant par le passé.



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Eros
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Sam 15 Juin - 23:06
A l’évocation du nom d’Apollon, Eros réprima une légère grimace de dégoût. Il faut dire que les relations entre ces deux dieux n’étaient pas au beau fixe. Le dieu de l’Amour n’avait que peu de patience envers les gamineries du dieu du Soleil, qui lui se moquait des compétences d’archer du premier qu’il considérait comme un amateur. Si Eros faisait de son mieux pour éviter et ignorer le dieu des Arts, ce dernier ne manquait jamais une occasion de le rabaisser, ce qui avait amené plus d’une fois le dieu de l’Amour à maudire les amours d’Apollon. En toute discrétion bien sûr.

« Je viendrais t’écouter chaque fois que je le pourrais, promis ! »


Eros réagit comme tout enfant à qui l’on ébourifferait les cheveux : il lança à Astrée un regard outré tout en essayant de remettre un semblant d’ordre dans ses boucles blondes. Puis attrapant la main de la déesse ailée, il l’entraîna joyeusement vers la fenêtre et s’éleva à sa suite dans les airs, soutenu par ses larges ailes dorées qui, pleinement déployées, lui permettaient de se maintenir à la hauteur d’Astrée, qui ne lui avait pas encore lâché la main. En quelques battements d’ailes, les deux compères atteignirent les nuages sous la douce caresse des rayons de l’astre solaire. Ni l’un ni l’autre n’avaient à craindre de connaître le funeste sort d’Icare, car d’une part leurs ailes étaient réelles et bien attachées à leur corps ; et d’autre part tous deux étaient immortels, quelle que soit la dureté de la chute, ils finiraient tôt ou tard par s’en relever.

« Je suis heureux de voir que je ne suis pas le seul à apprécier ces matins calmes où tous les dieux dorment. Au moins quand ils dorment ils cessent de se chamailler pour des broutilles. Quand je pense qu’ils se méfient de moi parce que je préfère me présenter sous ma forme enfantine… La plupart de ces jeunes blancs-becs se comportent de manière plus enfantine que des enfants qui ont l’âge de ma forme actuelle. Entre Zeus et ses multiples caprices, Apollon l’éternel adolescent, et j’en passe, il n’y en a presque pas un pour rattraper l’autre. Et ne je ne parlerai même pas de Poséidon et Athéna, rien que d’y penser j’en ai les flèches qui me démangent… »


Le dieu de l’Amour s’interrompit dans sa tirade avec un petit sourire embarrassé. Le sujet était pour lui assez passionné. Lui qui était plus âgé que tous les olympiens, était tenu à l’écart parce qu’on craignait qu’il se comporte comme l’enfant dont il adoptait la forme. C’était l’hôpital qui se moquait de la charité.

« Toi tu es bien l’une des rares à te conduire en adulte, ma tirade ne t’était pas destinée Astrée. »
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Dim 16 Juin - 15:44




Ouvert aux dieux

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“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”




Tout en ayant suivis le dieu de l'amour sous sa forme enfantine, Astrée avait été amusée de la moue de dégoût lorsqu'elle avait évoquée son frère Apollon. Esquissant un léger sourire à l'évocation d'un petit spectateur lors de ses petits récitals, elle  ne rajouta rien cependant cela ne la gênant guère après tout. De plus elle devait bien reconnaître que la compagnie d'Eros n'était pas désagréable comparé à d'autres dieux. Du moins de son avis à elle ce qui 'était pas vraiment un avis partagé de tous. Puis entendant sa réflexion elle acquiesça.

- En effet j'aime le calme de l'endroit lors de ses matinées. Si j'ai quitté l'Olympe il y a des décennies ce n'était pas par caprice, mais bien car j'avais du mal à les supporté pour la plupart... Je suis revenue ici car je ne pouvait plus rester sur terre certes, mais pour autant je n'ai pas changé d'avis sur le fait que je préférais le calme à toute cette agitation puériles qui règne ici le plus souvent.

Volant tranquillement en compagnie d'Eros à qui elle n'avait pas lâché la main au départ, elle soupira secouant doucement la tête pour se sortir ses vieux souvenirs dérangeant. Profitant du vent effleurant ses ailes blanches, elle écoutait son compagnon de vol tranquillement et sourit un peu amusée à ses propos.  

- Il est vrai que mon oncle Poséidon et ma sœur Athéna passe leur temps à se chamailler comme des gamins, on pourrait presque croire que ses chamaillerie serve à masquer leurs véritable sentiments par moment. Après connaissant le vœu d'Athéna cela ne m'étonnerais pas que je sois dans le vrai pour elle, mais après tout c'est leur problème. Et ne t'en fais pas je sais très bien que tu ne me visais pas avec ta dernière remarque va. Je ne me suis pas sentie visée si cela peut te rassurer.

Astrée savait parfaitement bien que certains comportement pouvait en caché un autre. Le jeu des apparences était monnaie courante sur l'Olympe après tout les hommes prenaient exemple sur eux les dieux et quel exemple leurs donnait-ont par moment. Si elle avait enseignée la justice aux hommes avec sa mère Thémis, Astrée n'était guère dupes sur le fait que les hommes reproduisait ce que les dieux avaient plus ou moins enseigné et montré lors de leurs rare descente sur terre.

- Les querelles incessantes et puériles de l'Olympe sont épuisante à force... Nous sommes sensé donner l'exemple, mais je ne vois pas quel exemple on donne aux hommes et aux demi-dieux avec de tel comportement puérils... Et Rien que mon père Zeus est l'un des pires sur ce terrain là à mon grand regret d'ailleurs... Certes il n'engendre plus autant d'enfant que durant les siècles précédents depuis ce pacte avec mes oncles, mais tout de même, je trouve que tante Héra à du courage de le supporter avec toute ses frasques permanentes... 

Profitant de la brise elle entraîna le petit dieux dans une ascension pour profiter de la brise un peu plus en accélérant un peu le vol d'agrément afin de jouer un peu en slalomant dans es nuages comme elle le faisait déjà étant enfant.


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Eros
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Jeu 3 Oct - 22:57
« C’est pour la même raison que toi que je me suis mis en retrait de l’Olympe ces derniers siècles. Bon cela et j’avais également quelques projets sur terre dont une paire de flèches au résultat des plus intéressant… Contrairement à bon nombres d’Olympiens, je me préoccupe un minimum des conséquences de mes actes. Et contrairement à ce que l’on veut bien croire, je ne tire jamais mes flèches au hasard. »

Ce qui était vrai. S’il ne choisissait pas toujours rationnellement ses cibles, les flèches d’Eros n’étaient jamais tirées au hasard. Le Dieu de l’Amour, né du Chaos primordial, était un agent du chaos qui maintient le monde en mouvement. Et c’était cette force qui animait le bras du Dieu lorsqu’il tirait ses flèches. Bien plus que tout autre Dieu ou Titan, Eros se fiait à ses instincts profonds et à son intuition. Il était très en phase avec la trame cosmique du destin, et agissait en fonction de ce qu’il ressentait. C’est ainsi qu’il était devenu l’instrument de la prophétie qui avait jeté Poséidon et Athéna dans les bras l’un de l’autre. Leurs regards noirs à son encontre dans les jours qui avaient suivis étaient largement compensés par la gêne palpable qui s’installait entre les deux Dieux chaque fois qu’ils étaient forcés d’être en présence l’un de l’autre.

« En tout cas je suis heureux que tu sois revenue parmi les olympiens Astrée, sans cela je n’aurai pas eu la chance de t’écouter jouer. J’apprécie la musique au-delà de toute autre forme d’Art. Mais malheureusement, aussi doué que soit Apollon je ne m’entends guère avec lui. Et les Muses lui obéissent au doigt et à l’œil… Bref sans toi je serai forcé de descendre plus souvent parmi les humains pour assister à des concerts. Pas que cela me gêne outre mesure, mais ma présence a tendance à les perturber quelque peu si je ne contrôle pas mon aura, ce que j’ai du mal à faire si je me laisse porter par la musique… »

Le Dieu de l’amour ne releva pas l’allusion aux nombreuses frasques du Roi des Dieux, étant lui-même à l’origine de certaines de ces infidélités. Jamais sans raison certes, mais tout de même. Il était bien conscient du mal causé à Héra par ces écarts de conduites, mais il n’était que l’instrument d’une force à laquelle même les Dieux étaient soumis : le destin. Et puis Zeus se débrouillait très bien par lui-même la plupart du temps. En fait la plupart des Dieux n’avaient pas vraiment besoin de son aide pour créer de nouvelles vies, plus souvent mortelles qu’immortelles d’ailleurs.

« Oui le fameux pacte interdisant aux trois Grands d’avoir des enfants mortels… Il était temps qu’ils diminuent le nombre de leurs descendants, la destruction causée par ces enfants devenait inquiétante. Mais il nous faut être lucides, ni Zeus ni Poséidon ne tiendront bien longtemps avant de rompre leur serment. C’est dans leur nature, ils sont incapables de résister à la tentation. A croire que la parole donnée n’a plus de sens pour la plupart des Olympiens. »

Lâchant la main d’Astrée, Eros suivit la Déesse dans son slalom entre les nuages, profitant de cet instant de liberté pour exécuter quelques figures acrobatiques. Depuis combien de temps n’avait-il pas volé pour le simple plaisir de voler ? Le Dieu l’ignorait. Après tout quel intérêt y avait-il à faire du vol acrobatique si l’on n’avait personne avec qui partager ce plaisir ? Et rares étaient les Dieux, ailés ou non, qui venaient volontairement passer du temps en sa compagnie. Tout aussi rares étaient ceux qui ne le jugeraient pas de se comporter comme l’enfant qu’il était resté au plus profond de son être mais qu’il ne pouvait que rarement laisser sortir. Mais la Déesse de la Voûte Céleste était de ceux-là. Un sourire espiègle se dessina sur son visage de chérubin. L’air de rien il s’approcha d’Astrée, et lui toucha doucement le bras.

« Chat ! »

S’exclama-t-il avant de filer à tire d’aile entre les nuages.
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Ven 4 Oct - 12:15




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La fille étoile, avait écouter je jeune dieu Eros, enfin jeune juste d'apparence car il était aussi ancien que les titans si ce n'est plus car enfanté par Chaos et Gaïa. cependant Astrée devait reconnaître qu'il n'avait pas tort. Avec la stupide loi de son père interdisant au dieu d'avoir un contacte avec leur progéniture mortel, les dieux en devenait presque égoïste sans se soucier des conséquence de ce qu'ils ont enfantés et qui n'est pas divin. Certes certains surveille de loin leurs enfants, comme Poséidon, Athéna et d'autres sans doute mais... certains les laisses à l'abandon ayant juste créer un refuge pour eux au camps, mais ne prenant pas la peine de les reconnaître c'était à n'y rien comprendre.

- Je te le concède volontiers sur ce point j'avoue que tous cela me dépasse. Ils engendrent des enfants mais... Peu se soucie de les savoir à l'abris c'est à n'y rien comprendre. Et quelque part  je comprends mieux le vœu d'abstinence d'Artémis cela lui évite bien des tracas elle qui 'occupe déjà de ses chasseresses qui sont comme des filles pour elle.

Plus qu'amusée Astrée laisser filtrer un léger rire cristallin mais pas moqueur loin de là juste que l'image des humains perturber par l'aura duc chérubin était tout simplement amusante voilà tout. Reprenant son sérieux tout en écoutant toujours avec beaucoup d'attention son vis-à vis elle ébouriffa gentiement les cheveux de l'apparence adolescente du dieu pour l'embêter un peu.  

- Comme je te l'ai dit tu peux venir m'écouter comme bon e semble je ne suis pas ennemi d'un auditoire et ta compagnie est bien plus apaisante et profitable que celle de bien des dieux alentour donc tu ne me dérangera jamais. Et certes que se soit mon père ou mon oncle je doute qu'ils s'arrêtent d'enfanter des demi-dieux ainsi cependant oncle Poséidon lui les surveille pas mon père.... Ce que j'espère c'est que m'agitation du à l'empoisonnement de l'arbre de Thalia ne laisse pas sans défense le camps trop de demi-dieux à l'intérieur sont novice. Je sais que Chiron cherche un moyen de soigner l'arbre et qu'Artémis à envoyer ses chasseresses en renfort mais je t'avoue que cela m'inquiète un peu.

Astrée se souciait bien plus des hommes et des progénitures à demi-mortels de ceux-ci que leur parents cela était sans doute dû à ses nombreuses années où elle avait vécu auprès d'eux sans doute. Puis  sans doute pour lui changer les idées elle vit un sourire espiègle venir s'afficher sur le visage de chérubin du petit Eros présageant u jeu où une farce dont-il avait le secret ce qui lui arracha malgré tout un sourire lorsqu'il la toucha et cria "Chat!" Rentrant dans le jeu elle se mit à le courser ans les airs.

- Attends que je t'attrape toi tu vas voir ! 

Profitant de la brise elle accéléra son allure pour rattraper le dieu et jouer avec lui amusée retrouvant un peu l'insouciance de ses jeunes années et puis faire l'enfant pour quelques heures n'avait rien de mal pour elle. Elle était ainsi il fallait s'y faire un point c'est tout. ce n'est pas parce qu'elle était fille du souverain des dieux qu'elle allait rentrer dans un moule fallait pas rêver non plus. Usant de son pouvoir sur le ciel elle s'aida de ceux-ci pour se maquer et contourner les nuages dans lesquels il s'était sauvée jusqu'à lapperçevoir de dos, mutine elle le toucha pour signifier qu'elle l'avait trouvée.

- Trouvez  ! 



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