Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
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Dim 26 Mai - 19:13
Eros, Dieu de l’Amour et de la Puissance Créatrice, était à l’origine de bien des naissances, de par sa propension à enflammer chez les Humains comme chez les Dieux un désir créateur au moyen de ses flèches. D’un naturel facétieux et plutôt insouciant, Eros aimait à attiser des sentiments qu’il sentait préexister ou en passe de se développer chez ses « victimes ». S’il se désintéressait la plupart du temps du résultat de ses interventions divines, certains couples retenaient son attention, et il suivait de loin en loin l’évolution du couple et de sa progéniture.
Un de ces couples était celui formé par Poséidon et Athéna. Un jour où ces deux Olympiens se disputaient pour la énième fois, Eros qui passait par là avait décidé de leur donner une petite leçon. Ayant senti un potentiel et beaucoup de tension non résolue entre les deux Dieux, il s’était rendu invisible et avait décoché deux de ses flèches d’or dans le cœur du Dieu de la mer et de la Déesse de la sagesse. Ce qui aurait dû arriver depuis longtemps arriva, et de leur union naquit il y a de cela 350 ans une jeune Déesse. Bien que n’ayant aucun pouvoir de prophétie, le Dieu de l’Amour sentait bien que cette naissance avait une importance particulière. Aussi décida-t-il de veiller de loin sur la demoiselle.
Durant 350 ans, Eros observa la vie de Melinoë, sans jamais intervenir davantage que pour écarter certains monstres avant qu’ils ne s’approchent de trop près de sa… protégée ? Oui on pouvait le voir comme cela. C’est du moins ainsi que le Dieu de l’Amour le voyait. Car il aimait cette jeune Déesse un peu comme un oncle aime sa nièce ou un grand-père sa petite-fille. C’est cette relation qu’il entretenait avec tous les enfants fruits de ses flèches. La seule fois où il fut tenté d’intervenir de plus près fut lorsqu’une chasse tourna mal et que la demoiselle perdit la mémoire. Malheureusement comme il ne pouvait justifier d’interagir de la sorte avec elle, et qu’il ne voulait pas attirer sur elle l’attention d’autres Olympiens, il se contenta d’observer à distance.
C’est ainsi qu’un soir nous retrouvons le Dieu ailé assis sur une haute branche d’arbre le dissimulant partiellement à la vue de ceux qui se trouvait au sol. Il s’était posé là pour observer Melinoë qui s’était isolé à quelques distances du camp des chasseresses.
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Melinoë de Kent
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Dim 26 Mai - 19:31
Une rencontre fortuite... ou pas!
Melinoë ou Mëlie comme elle aimait à être appelée de manière affectueuse de temps à autre avait choisie d'aller chercher de l'eau pour le camp durant leur périple vers le camp des sang-mêlés. Munie de deux seaux la jeune déesse partie vers un ruisseau et déposa ses seaux avant de faire usage de ses pouvoirs pour manipuler distraitement l'eau et remplir les seaux avec une facilité déconcertante certes mais en bonne fille du dieu des océans, l'eau était comment dire une seconde nature chez elle si l'on puis dire. Soupirant en pensant à son père qu'elle n'avait revue depuis un moment la jeune fille d'apparence adolescent se laissa tombée près de ses seaux,les pieds dans l'eau en sachant que de toute les façons elle ressortirait sec de là.
Mëlie d'aussi loin qu'elle se souvenait s'était toujours sentie inexplicablement surveillée. Non pas une de ses surveillances qui vous paraisse mauvaise loin de là, plus une présence protectrice veillant dans l'ombre sans oser réellement intervenir dans la lumière. Elle s'était toujours demander de qui il pouvait s'agir, mais cela ne pouvait être qu'une créature mythologique et pourtant... pourtant personne ne connaissait son existence non? Alors qui... Peut-être qu'au final un autre dieux avait découvert son existence mais pourquoi la protéger en secret là était le mystère à élucider et elle savait qu'il était encore là à veiller quelque part non loin d'elle.
- Vas-tu te décider à te montrer au moins une fois ? Je ne mords pas tu sais.
Notre petite déesse de l’eau sourit mutine à sa boutade avant de se redresser et se tourner en direction de l'endroit où elle sentait la présence attendant de voir le dieu ou la déesse apparaitre une bonne fois pour toute dans la lumière de l'astre du jour qui déclinait progressivement afin de laisser place à la lune naissante. Melinoë n'était pas inquiète sachant que cette présence était un peu à l'image d'une marraine la bonne fée chez les humains dans les contes pour enfant. Certes c'était très imagée, mais c'était un peu le principe non? Voyant enfin une silhouette descendre de l'arbre elle fut surprise en voyant qu'il s'agissait tout au plus d'un adolescent et un seul dieu revêtait cette apparence enfin non 2 plus exactement. Apollon et Eros, mais les ailes dans le dos du jeune homme eurent raison de ses doutes quant à l'identité de son protecteur.
- Eros …
Sur l’instant Melinoë ne sut souffler autre chose que le prénom de la divinité se demandant bien ce qu'un dieu aussi ancien que lui pouvait faire à la surveiller dans l'ombre. Enfin si il c'était montré peut-être lui expliquerait-il cela elle pouvait toujours espérer un peu non?
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Mar 28 Mai - 0:27
Perché sur sa branche, Eros observait distraitement la jeune Déesse Melinoë s’éloigner du camp pour aller puiser de l’eau à la rivière toute proche. Aucun monstre ne rôdant dans les environs, l’entreprise ne présentait aucun risque particulier. En digne fille de son père la demoiselle se servit de ses pouvoirs divins pour soulever de l’eau hors de la rivière et directement dans les seaux qu’elle avait amenés avec elle. Puis elle s’assit au bord de l’eau, laissant ses pieds y tremper, contemplative.
C’est bien la digne fille de son père dans son contact avec l’eau. D’aussi loin que je l’ai observé, elle a toujours eu cet amour du milieu aquatique. Ce n’est pas qu’elle n’ait pas non plus hérité de la sagesse maternelle, c’est juste que cette caractéristique est moins voyante la plupart du temps. De tous les enfants dont j’ai encouragé la conception elle est de loin la plus intéressante, et pas seulement parce qu’elle est une déesse. Ni non plus parce qu’elle est le fruit des amours contrariées de deux Olympiens contrariants. En parlant de ces deux-là, ils recommencent leurs chamailleries, va-t-il falloir que je m’en mêle à nouveau ? L’idée n’est peut-être pas si mauvaise après tout… Je suis certain que Melinoë sera ravie d’avoir un petit frère ou une petite sœur. Enfin si c’est pour qu’ils l’abandonnent aussi à Héra et Artémis…
Tout à ses pensées, le Dieu de l’Amour ne s’apercevait qu’une de fois de plus il laissait filtrer une infime partie de son aura divine. Et si cela n’avait aucune conséquence en présence de mortels ou même de Demi-Dieux, une Déesse de plein droit était parfaitement capable de le ressentir. Et comme Eros n’était pas des plus attentifs à ce genre de détails il avait bien souvent au fil des ans laissé sa présence lointaine transparaître à Melinoë. C’était cependant la première fois cependant qu’elle osait s’adresser à lui directement à haute et intelligible voix. De surprise, le Dieu ailé faillit tomber de sa branche. Décidant qu’il n’y avait pas de mal à se montrer Eros déploya ses ailes et se laissa descendre en douceur et de se poser sans bruit au sol. Comme à son habitude il avait maintenu son apparence adolescente, ayant eu la décence de se vêtir, mais gardant les pieds nus, inutile de s’encombrer de sandales quand on marchait les pieds dans l’herbe. La fille de l’Eau et de la Sagesse eut l’air surprise de le voir lui, ne pouvant que souffler son nom. Eros choisit de le prendre comme une salutation et répondit poliment.
« Bonjour Melinoë. Je ne pensais pas que tu sentirais ma présence. J’espère que je ne te dérange pas.»
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Melinoë de Kent
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Mar 28 Mai - 0:49
Une rencontre fortuite... ou pas!
Mëlie avait eue un arrêt de surprise en faisant face au dieu de l'amour et de la puissance créatrice. Il faut dire qu'à sa décharge, bien qu'elle connaissait de nom tous les dieux elle n'avait guère pu les approcher, trop dangereux au vu de la prophétie, mais surtout car tous ignorais son existence. Donc il était normal qu'elle soit un minimum stupéfaite en sachant que ce dieu la suivait depuis ses premiers pas elle l'avait ressentie tous au long des ses 350 ans non loin d'elle. Par ailleurs à les voir l'un face à l'autre ni l'un ni l'autre ne faisait leur âge. Puis reprenant ses esprits à sa salutation elle rougie légèrement de son égarement et secoua la tête pour faire signe que non.
- Non du tout, mais... Je suis juste surprise de savoir que c'est le dieu de l'amour et de la puissance créatrice qui me suit depuis mon enfance dans l'ombre. J'ai toujours ressentis cette ombre qui m'accompagnait même lorsque je vivais avec grand-mère Héra, cependant je n'imaginais pas qu'un autre dieu puisse connaître mon existence.
Notre petite déesse de l’eau qu'était Melinoë s'approcha d'Eros sans crainte, après tout elle ne risquait rien en sa présence sinon depuis le temps il aurait vendu la mèche aux autres dieux non? En outre elle ne pouvait nier que le mythe de sa beauté n'était en rien usurpée, certes c'était un dieu, le dieu de l'amour en personne, mais si d'aucun pensait qu'Apollon était la beauté personnifié c'est sans doute que ses personnes n'avait jamais entraperçue le dieu de l'amour. N'aller pas croire que Mëlie en pinçait pour Eros non plus hein, les garçons ce n'était pas sa tasse de thé, elle avait plutôt tendance à les détester. Non, mais quelque chose de fort existait avec Eros elle le sentait en elle sans pouvoir le définir réellement, une sorte d'attraction étrange, familial peut-être ? Il était un peu comme un grand frère un oncle vu la parenté de tous les dieux entre eux et pourtant elle ne pouvait s'empêcher de songer que si son apparence à elle faisait jeune contre sa volonté, certes Eros lui avait choisis de garder son apparence juvénile. A les voir l'un à coté de l'autre ainsi d'aucun penserait à un couple de légende là où il y a juste une simple conversation courtoise. Sortant de sa contemplation qui pouvait sembler étrange d'un autre point de vue elle repris la parole.
- Pourquoi me surveilles-tu dans l'ombre depuis toujours ? Je sais bien que je n'ais rien à craindre de toi car sinon tu aurais vendue la mèche de mon existence. Quoique je me suis toujours demandé si c'était si dramatique que cela que les autres dieux apprennent que ma mère avait rompu son serment de rester chaste… La moitié des dieux passe leur temps à rompre les serments Zeus le premier mais bon...
Il est vrai que Melinoë, si elle comprenait largement qu'en vers la prophétie ses parents s'inquiétait de sa sécurité, en vertus aussi du fait que figée à 14 ans prendre sa véritable apparence et faire usage de sa véritable puissance surpassant celle de ses parents réunie étaient dangereux pour son corps et son existence même. Elle souffrait d'être éloigné d'eux et de ne pas être reconnue comme leur fille ouvertement surtout que certes sa mère avait rompu son serment, mais ce n'était pas dramatique tout de même ! certains dieu passait leur temps à rompre leur serment ils n'en faisaient pas tout un plat après tout.
- C'est vrai quoi je n'ai pas demander cette stupide prophétie et ses soucis moi... Je voulais juste rester avec eux et au final je passe mon temps à me cacher et si je rentre sur l'Olympe j'ai trop peur de provoquer une catastrophe et de les inquiéter à mon sujet encore plus… Déjà qu'en présence des autres ils font comme si ils se détestaient toujours et joue un jeu...
Prenant une mine boudeuse de petite fille sans trop y penser, mais qui pourtant la rendait adorable au vu de ses traits angélique et enfantin elle soupira fatiguée de tous cela. Par moment même entourée des chasseresses et de sa tante Artémis elle se sentait seule... Seule car son secret était trop lourd et même si elle en avait partagée un peu avec Sophie cela ne suffisait pas. Melinoë aurait aimé pouvoir vivre parmi les autres dieu et oublier cette stupide prophétie, d'un autre côté elle avait la sensation qu'on la prenait toujours pour une enfant par moment... alors qu'elle ne l'était plus depuis longtemps, elle savait ce défendre... Non si elle obéissait à ses parents c'était pour ne pas les décevoir elle en serait trop malheureuse voilà tout.
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Mar 28 Mai - 23:46
Eros se doutait bien que la demoiselle devait se poser nombre de questions. Sachant que leur conversation pourrait durer quelques temps, le Dieu fit usage de ses pouvoirs et modifia la forme de l’arbre sur lequel il s’était perché. La base de l’arbre s’élargi, et dans le tronc se creusa une alcôve avec un siège assez large pour abriter trois personnes confortablement. Un coussin de mousse se forma tandis que les branches de l’arbre se réarrangeaient pour former un rideau masquant partiellement l’alcôve. Romantique n’est-ce pas ? Mais en tant que Dieu de l’Amour on ne se refait pas. Effaçant ses ailes pour plus de confort, Eros s’assit sur le siège moelleux qu’il venait de créer. D’un geste il invita la demoiselle à s’asseoir.
« Viens, assieds-toi. Les explications risquent de prendre un peu de temps. Autant discuter confortablement. »
Une fois Melinoë assise, le dieu à visage d’adolescent pris quelques instants pour réfléchir à sa réponse. Car s’il n’était pas omniscient, Eros en savait plus que la plupart des autres dieux sur la fille de l’Eau. Il faut dire qu’il avait suivi son existence pratiquement de la conception jusqu’à ce jour. Enfin, n’étant pas un voyeur il n’avait pas assisté réellement à la conception de la demoiselle, cela aurait été inconvenant. Mais après avoir tiré les flèches qui avaient allumé dans les cœurs de Poséidon et Athéna le Désir Créateur, il avait ressenti que son œuvre avait porté des fruits, et décidé de suivre l’évolution de l’enfant à naître.
« Eh bien étant donné que je suis en quelque sorte à l’origine de ton existence, il me semble normal que je sois au courant de ta naissance. Après tout ce sont mes flèches qui ont allumé dans le cœur de tes parents la passion qui t’a créé. Pour tout te dire ça leur pendait au nez, depuis le temps qu’ils nous cassaient les oreilles à constamment se disputer parce que la tension sex… euh… sentimentale montait entre eux. Je n’ai fait qu’accélérer un processus naturel.»
Expliqua le Dieu de l’Amour avec un clin d’œil et un sourire malicieux. Il ne comptait plus le nombre de couples auquel il avait joué ce plus ou moins innocent petit tour. Mais en l’occurrence sa main avait été guidée par une force à laquelle nul ne pouvait se soustraire, pas même les immortels : le destin. Car Melinoë était sujette à une prophétie, et le destin avait décidé du moment où elle devrait être conçue.
« Si j’ai choisi de veiller de loin sur toi c’est tout simplement parce que dès le jour de ta conception j’ai senti que tu avais un destin extraordinaire. C’est une force bien plus grande que moi qui a guidé mon bras ce jour-là. Il y a eu plusieurs êtres pour lesquels j’ai eu un faible et sur lesquels j’ai plus particulièrement veillé ainsi au cours des siècles, tous fruits d’une de mes interventions, et tous ayant connu une destinée exceptionnelle. Et en tout bien tout honneur, tu es de loin celle des personnes que j’ai participé à faire venir au monde pour laquelle j’ai le plus de tendresse, et pas simplement parce que tu es une déesse. Tu n’as pas à craindre que d’autres Dieux apprennent ton existence par ma bouche, ton secret est bien gardé avec moi. Tu es un peu comme une nièce pour moi, et je ne ferai rien qui puisse te nuire. »
Et Eros pensait vraiment ce qu’il disait. En même temps, peu de Dieux interagissaient avec lui, méfiants qu’ils étaient à l’égard du pouvoir qu’il avait sur eux. Même les déesses vierges, sur lesquelles son pouvoir était bien moindre du fait de leur serment de chasteté, gardaient leurs distances la plupart du temps à l’exception d’Hestia, mais la Déesse du Foyer se montrait accueillante avec tous sans distinction. Cependant, même le roi incontesté des dieux, Zeus, ne prenait pas le risque de se mettre Eros à dos. Aussi les secrets connus du Dieux de l’Amour ne seraient révélés que s’il le voulait bien.
« Les prophéties n’entrant pas dans mes attributions, j’ignore quelles seraient les conséquences si les autres Dieux apprenaient ton existence. Seul Apollon pourrait nous le dire. Mais je comprends ton envie de te débarrasser de la lourde chape de secret qui pèse sur toi, et de vivre au grand jour avec tes parents. Cela te le sera permis en temps et en heure. Et puis le petit jeu de tes parents est plutôt amusant à observer. Je sais de source sûre qu’Hermès tiens les paris des différents Olympiens à propose de quand tes parents finiront par succomber à toute la tension qui s’accumule entre eux. »
Termina le Dieu sur le ton de l’humour. Il était d’autant plus amusé que lui et deux autres Déesses savaient qu’Athéna et Poséidon avaient déjà succombé.
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Melinoë de Kent
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Mer 29 Mai - 11:19
Une rencontre fortuite... ou pas!
Mëlie sous l'invitation d'Eros était aller s'asseoir près de lui et écoutait ses explications de manière attentive. Certes, elle fut étonnée de savoir qu'il avait contribuer à accélérer les choses dans la relation de ses parents et sa naissance, mais fut rassurée de savoir que les facéties du dieux n'avait qu'enflammer un sentiment déjà bien présent.
- Il est vrai qu'ils aiment à se chamailler de ce que je m'en rappelle du moins. Père et mère venaient dès qu'il le pouvait s'occuper de moi sur l'Olympe en douce pour que les autres ignorent tout.
Notre petite déesse de l’eau qu'était Mëlie eue le bon goût de rougir un peu plus au parole d'Eros, gênée un peu de cela car peut habituée. Néanmoins elle devait lui reconnaitre qu'il n'y avait eue dans son comportement rien de mal venue et elle n'allait pas non plus imaginer autre chose qu'une bienveillance à son égard. Amusée de sa réflection comme quoi il la considérait comme une nièce elle sourit mutine.
- Alors je peux t'appeler tonton Eros ?
Il est vrai que Melinoë, plaisantait quelque peu en disant cela néanmoins elle avait toujours sentie ce lien particulier avec cette ombre bienveillante, qu'elle savait être le dieu de l'amour et de la puissance créatrice à présent. Il fallait entendre par là que sans doute son intervention dans sa conception pour une part avait du contribuer à forger ce lien qu'elle ressentait. Puis amusée en apprenant les derniers potins chez les dieux.
- Il est vrai que plus d'un serait surpris d'apprendre que mes parents s'aiment en secret depuis 350 ans et qu'ils ont une fille depuis autant de temps. Il y aurait de quoi en choquer plus d'un je crois. Père et mère me manque il est vrai, mais je... Je ne veux pas les décevoir et j'ai l'impression que je leur cause que des soucis depuis ma naissance... Cette prophétie, le fait que je sois coincée depuis des lustres dans le corps d'une enfant de 14 ans qui ne peut utiliser son plein potentiel sans risquer de détruire son propre corps et qui si... elle peut prendre un temps son corps adulte, peu en perdre le contrôle de ses pouvoirs si elle reste trop longtemps dans celui-ci car un mal étrange l'empêchait de tout conrtôler longtemps avec l'instabiliter de ses pleins pouvoirs.
Mëlie adorait ses parents, littéralement seulement voilà elle pensait ne leur créer que des problèmes et que c'est pour cela qu'ils l'avaient en quelques sortes confiée à sa grand-mère Héra puis sa tante Artémis. N'aller pas croire qu'elle pensait que ses parents ne l'aimaient pas non plus loin de là, mais elle avait l'impression ou plutôt la sensation qu'avec la prophétie elle ne leur créait que des problèmes tout simplement.
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Mer 2 Oct - 0:02
« Eh bien techniquement je suis ton arrière grand-oncle puisque tu es la fille du petit-fils de ma sœur Gaïa. Donc si cela te fais plaisir tu peux m’appeler Tonton Eros. »
Répliqua le dieu de l’Amour sur un ton amusé. Il est vrai que son lien de parenté avec Gaïa faisait des titans et des dieux du panthéon Olympien ses neveux et petits-neveux, voire arrière petits-neveux selon la génération. Il était fort heureux que l’essence même des Dieux leur garantisse une immunité totale face aux risques inhérents à la consanguinité, car les unions consanguines étaient plus la norme que l’exception, et ce dans la totalité du Panthéon depuis Gaïa jusqu’aux plus jeunes Dieux. Mélinoë elle-même était la descendance de l’union d’un oncle avec sa nièce.
« J’imagine bien la tête de tes parents lorsque tu m’appelleras de la sorte devant eux. Heureusement que les regards ne tuent pas et que je suis immortel de toute façon. Connaissant ta mère, elle a déjà dû faire le rapprochement, elle est presque trop intelligente pour son propre bien. Et puis elle s’est montrée plus distante qu’à l’accoutumée avec moi ces derniers siècles. Et Poséidon m’a lancé quelques regards noirs aussi maintenant que j’y pense. Moi j’ai fait ça pour leur bien pourtant ! »
Le sourire amusé du Dieu ôtait tout le mordant de la remarque, tout autant que la moue adolescente un peu rebelle qui se dessinait sur son visage à la fin de sa tirade. Sentant l’humeur de sa protégée s’assombrir, Eros posa délicatement une main rassurante sur l’épaule de la jeune fille, capturant le regard de la demoiselle avec le sien dans un de ses rares moments de sérieux total.
« Tes parents t’aiment plus que tout au monde ma puce. Crois-en le Dieu de l’Amour, ils t’aiment et tu es leur plus grande fierté, la lumière de leur vie. Tout ce qu’ils veulent c’est protéger ton existence jusqu’à ce que tu puisses prendre la place qui te revient sur l’Olympe. »
En tant que Dieu de l’Amour, Eros était l’individu le plus à même de rassurer Melinoë. En effet, l’Amour qui était son domaine ne se cantonnait pas à sa simple expression charnelle et passionnée. Non, Eros régnait sur l’amour sous toutes ses formes, celle d’un amant pour sa maîtresse, celle de deux amis unis par un lien indéfectible, mais aussi celle qui prenait la forme de l’affection d’un parent pour son enfant. La certitude énoncée par le Dieu était donc absolue, et par l’intensité de son regard il cherchait à transmettre cette certitude à sa protégée.
Les récriminations de la demoiselle sur son corps bloqué à l’étape de l’adolescence firent monter un sourire aux lèvres d’Eros. Profitant de ce qu’il était dans une forme le lui permettant, il tendit une main et ébouriffa légèrement les cheveux de Mélinoë. Un petit geste d’affection destiné autant à rassurer qu’à exaspérer la jeune Déesse, mais surtout à la sortir de ses noires pensées.
« Tu grandiras bien assez tôt jeune Déesse. Profites de ta jeunesse tant que tu le peux c’est un don précieux que la vie ne t’offre qu’une fois. Crois-en mon expérience. »
Disant cela Eros fit un clin d’œil malicieux à son interlocutrice et se mit à rétrécir et rajeunir, prenant l’espace de quelques secondes son apparence coutumière d’un espiègle petit garçon d’une dizaine d’années. Puis il revint à sa forme initiale pour poursuivre la conversation.
« Tes pouvoirs se stabiliseront bientôt, je peux le sentir. Encore un peu de patience et tu pourras apprendre à te servir de ton plein potentiel sans risquer ta vie ou celle de ton entourage. Mais cela ne se fera pas en un claquement de doigt, même les dieux doivent apprendre à contrôler leurs pouvoirs. Si ma mémoire est bonne au début Poséidon ne pouvait pas éternuer sans déclencher un raz de marée, Hadès déclenchait des tremblements de terre dès qu’il se mettait à ronfler, et moins nous parlerons du tonnerre de Zeus mieux cela vaudra si tu vois ce que je veux dire… »
Des anecdotes de la sorte, Eros en avait beaucoup à partager lui qui existait depuis bien avant la naissance des Titans et des Dieux. Chacun des immortels était passé par une phase de sa jeunesse où il avait connu quelques difficultés à contrôler ses pouvoirs avec des conséquences bien souvent comiques. Lui-même avait eu son lot de déboires, bien qu’il se refusât à en parler trop ouvertement.
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Melinoë de Kent
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Mer 2 Oct - 11:32
Une rencontre fortuite... ou pas!
Mëlie avait beau avoir 350 ans d'existence elle n'était encore qu'une enfant sur certains point, trop tôt arrachée à ses parents, elle n'avait pas eue la vie d'une enfant normale si on n'oubliait un temps soit peu son statue de déesse bien entendue. Elle avait malgré toute l'affection de sa grand-mère et de sa tante besoin de ses parents encore aujourd'hui. Lorsque Eros lui releva la tête et lui parla elle sourit doucement rassurée par les propos du dieu de l'amour en personne, dans son regard elle voyait bien qu'elle ne pouvait douter de ses mots et cela lui fit beaucoup de bien.
- Oui tu as sans doute raison c'est juste que je pense sans doute trop que je leur créer des problèmes avec tous ça. Cela ne doit pas être plus facile à vivre pour eux que pour moi.
Notre petite déesse de l’eau qu'était Mëlie après reflexion se disait fortement que ses parents faisait ce qu'ils pouvaient pour la protéger après tous elle était leur enfant et que la situation ne devait pas forcement être mieux vécu par eux simplement ils avaient parmi es dieux un rang à tenir et ne pouvait pas s’apitoyer sans éventer leur secret. Puis aux anecdotes d'Eros elle sourit mutine des ses informations qui lui changeait les idées la sortant de ses sombres pensées passées.
- Oui je l'imagine assez bien on ne peut pas dire que grand-père Zeus soit discret là-dessus... Il a souvent été mentionné ses pertes de contrôle de pouvoir plus que pour d'autre dieu il me semble.
melionë n'ignorait pas que tout à chacun des dieux avaient dû apprendre à contrôler sa puissance mais comme son cas était à part car elle cumulait une association de deux grandes puissance il n'était sans doute pas anormale qu'elle soit en difficulté en soi mais... Le problème lié à son corps lui ne facilitait encore moins la tâche de la demoiselle autant le dire clairement..
- Oui je suppose que je dois être patiente pour mes pouvoirs mais c'est juste frustrant... De savoir que je ne peux utiliser ma puissance véritable sans risque de déclencher une catastrophe. Comment dire lorsqu'il y a du grabuge dans les chasses et que tante Artémis n'est pas là si jamais je suis incapable de me servir de mes pouvoirs mes sœurs chasseresses risqueraient gros et je m'en voudrais je crois de ne pas avoir su les protéger... Elles sont un peu ma famille et pour la plupart elles ne sont que à demi-déesse alors en tant que déesse pure en quelque sorte je me sens responsable d'elle même si c'est sans doute idiot.
Après tout Mëlie n'ignorait pas que chaque chasseresse ayant prêtée serment savait les risques qu'elles encourrait mais Mëlie se sentait responsable d'elles en l'absence de sa tante. Et elle avait à cœur de toutes les protégées car malgré son apparence elle était une vrai déesse et puissante qui plus ait vu sa parenté.
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Dim 1 Déc - 23:42
Du haut de ses quelques millénaires d’existence, Eros ne se lassait jamais de voir grandir et mûrir les enfants que ses pouvoirs avaient engendrés. Bien qu’il n’ait que rarement lui-même eu d’enfants, et seulement une qui soit immortelle, chacune des vies que ses pouvoirs avait créées lui était précieuse. Et cette jeune déesse qu’il réconfortait de son mieux ne faisait pas exception
« Tu sais Mélie, tu n’es pas la cause des problèmes de tes parents, ils s’en sortent très bien tous seuls pour s’en créer. Maintenant que j’y pense, il n’est pas impossible que j’eusse pu leur donner un petit coup de main de ce côté-là de temps en temps… Et pas juste en tirant mes flèches. Après tout on ne se méfie guère des enfants, même sur l’Olympe. Et puis Hermès n’est jamais contre une participation à l’un ou l’autre coup fourré… Tiens je me souviens de cette fois où nous avions dissimulé des coussins péteurs sur tous les trônes de la salle du conseil sauf celui de Poséidon… Enfin je digresse, il leur est certes aussi difficile qu’à toi de n’avoir que des contacts fugaces avec leur fille, mais ils tiennent le coup en se disant que dans un avenir relativement proche la prophétie se réalisera, et tout ira mieux. La patience est une vertu que peu de Dieux possèdent, mais que je t’encourage à cultiver. Tout va bientôt s’arranger, tu verras. »
Si le Dieu de l’Amour parlait avec assurance, il était bien loin de la ressentir. L’issue de la prophétie demeurait en effet incertaine, et les évènements récents ne se prêtaient guère à l’optimisme. Des forces se mouvaient dans l’ombre, Tartare, son frère, s’agitait dans le monde souterrain, et Eros pressentait l’arrivée d’une guerre telle qu’on n’en avait vue depuis les temps mythologiques. Les Dieux et leur descendance mortelle allaient au-devant de jours sombres sans même en être conscient, et Mélinoë serait, au même titre que les autres, prise dans la tourmente.
Si Eros était d’une nature plutôt pacifique et totalement opposé à toute forme de destruction de par ses attributs, il était aussi fermement protecteur à l’égard de ceux auxquels il tenait. Sous-estimé de la plupart des Dieux de par son apparence habituelle et son caractère enfantin manifeste, le Primordial n’en restait pas moins un être puissant et un adversaire redoutable. Rares étaient les occasions où Eros avait pris sa forme adulte et libéré la pleine puissance de son aura divine, et encore plus rares ceux qui s’en souvenaient. Mais ceux qui s’en souvenaient en parlaient encore avec beaucoup de respect et une bonne dose de crainte. La colère du Dieu de l’Amour, aussi rare qu’elle fut, n’en était pas moins dévastatrice. Si quiconque menaçait sa protégée, Monstre, Titan ou Dieu, alors il verrait de quel bois se chauffait l’une des plus vieilles entités de ce monde.
« Je comprends ton sentiment. Après avoir grandi avec les chasseresses tu les considères comme une seconde famille et tu désires les protéger. Cela n’a rien d’idiot, c’est même très louable de ta part. Si tu vraiment cela t’inquiète, et si tu le souhaites, je suis prêt à t’aider à apprendre à contrôler tes pouvoirs. Bien des Dieux sous-estiment mes pouvoirs, mais je n’en suis pas moins l’un des plus anciens Dieux et également en toute modestie l’un des plus puissants. Si tu devais perdre le contrôle, je serais tout à fait à même de limiter les dégâts. »
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Melinoë de Kent
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Dans les Bois... Parents Divins : Poséidon
Mar 3 Déc - 17:15
Une rencontre fortuite... ou pas!
Si malgré ses 350 ans d'existence Mêlie était si peu sur d'elle dans le fait de l'affection que lui portait ses parents où plutôt dans le fait d'être source de tous leur problème, les paroles de son oncle Eros lui firent un bien fou il est vrai. Notre jeune déesse n'avait qu'une peur c'était de perdre ses parents qu'ils ne veulent plus la voir même si cela était bête car si il l'avait éloigné c'était bien pour la protéger après tout mais voilà elle restait une enfant d'apparence mais aussi du point de vu des sentiments de ce côté là du moins.
- Oui tu as sans doute raison tonton Eros, je me fais sans doute trop de soucis à ce sujet mais il me manque et avec l'inquiétude que je leurs est à mon sens créer je doute toujours.
Notre petite déesse de l’eau écouta son oncle tranquillement acquiesçant à ses propos au sujet de sa relation avec les chasseresses. Oui c'était de cela qu'il s'agissait elle se sentait responsable un peu comme une grande sœur. De plus oui elle devrait apprendre la patience enfin du moins disons qu'elle devrait la cultiver un peu plus que ce qu'elle ne la fait durant ses 350 dernières années.
- Oui je sais bien que je devrais la cultiver un peu plus tante Artémis me le dit régulièrement. Cependant j'avoue que je ne suis pas contre un peu d'aide pour l'entraînement car je trouve que je stagne un peu seule puisque tante Artémis à bien trop d'occupation pour le moment.
Melinoë lui offrit un sourire de reconnaissance face à sa nouvelle proposition et prise d'une impulsion se serra dans ses bras quelques instant bien qu'au vu de leurs apparence la situation aurait pu être prise pour tout autre qu'elle n'était.
- Tu sais ils sont bête à l'Olympe de se méfier de toi tonton Eros. Parce que tu es très gentil et puis même si ton pouvoir est puissant toi au moins tu n'en use pas pour blesser les autres tu les réunis tu aide et tu créer des choses.
Melinoë avait dit cela de manière très sincère persuadée que c'était injuste qu'il soit mis à l'écart sous prétesque que son pouvoir n'étais pas de même niveau que les autres, mais bien plus puissant car à l'origine de beaucoup..
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Autres... Parents Divins : Autres
Mar 24 Mar - 22:51
Bien que pris par surprise par l’étreinte de Mélinoë, Eros la lui rendit de bon cœur, laissant filtrer ses sentiments protecteurs à travers son aura afin que la jeune Déesse se sente rassurée au maximum. Plaise aux Moires qu’Artémis ne choisisse pas ce moment pour se mettre en quête de sa nièce/cousine, le Dieu de l’Amour ne souhaitais pas particulièrement risquer de déclencher l’ire de la Déesse de la chasse. Ses flèches avaient l’air suffisamment douloureuse de loin, Eros ne tenait pas à vérifier d’expérience la réalité de cette supposition. Déjà que la jumelle d’Apollon le tolérait à peine sous sa forme enfantine, alors si elle le surprenait sous la forme d’un adolescent serrant une de ses protégées dans ses bras… Coupant net le fil de ces morbides pensées, Eros relâcha Mélinoë et reprit sa place bien adossé au tronc de l’arbre qui leur servait d’alcôve.
« Je serai ravi de t’aider avec tes pouvoirs, dès que tu auras obtenu l’autorisation de ta tante Artémis. N’hésites pas à lui révéler mon rôle dans cette affaire au besoin. Et si elle veut me parler, elle saura où me trouver, je ne me permettrai pas d’entrer dans son camp sans son autorisation. »
L’affection sincère et innocente de la jeune Déesse à son égard réchauffait le cœur d’Eros, qui était peu habitué à ce genre de sentiments à son égard de la part de ses parents divins. Au fil des âges, rares étaient les êtres à avoir portés une réelle affection au Dieu de l’Amour. Son épouse Psyché et leur fille Cassandre étaient de ceux-là, mais toutes deux avaient disparu il y a de cela plusieurs siècles. Astrée était l’une des rares déesses à ne pas le regarder avec défiance. Et maintenant Mélinoë.
« Je suis touché de ta haute opinion de moi Mélie. Rares sont ceux qui la partagent à l’heure actuelle. Ta cousine Astrée est bien la seule qui m’adresse encore normalement la parole sur l’Olympe ces derniers temps. »
Eros jeta un œil à la position du char d’Apollon dans le ciel. Le temps passait à une vitesse folle en bonne compagnie. Mélinoë allait bientôt devoir rentrer au campement des chasseresses faute de quoi son absence allait être remarquée. Et le Dieu de l’Amour lui-même finirait par être remarqué s’il restait trop longtemps dans le monde des mortels pour une autre raison que l’accomplissement de ses devoirs divins. A regret il se leva, et posa doucement une main sur l’épaule de sa protégée.
« Il se fait tard jeune déesse. Il est temps pour moi de retourner sur l’Olympe et pour toi de rentrer auprès de ta tante avant que ton absence ne devienne suspecte. Ne désespères pas, les choses ne tarderons pas à s’améliorer. »
D’un geste de la main Eros bénit l’arbre et ses environs, faisant de l’endroit un sanctuaire dédié aux amoureux et aux créateurs, protégé de tout monstre, aussi longtemps que le Dieu serait de ce monde. « Cet endroit est à présent un sanctuaire protégé des monstres et abrité de la vue des Dieux. N’hésites pas à y venir quand tu en ressentiras le besoin. Et qui sait, si mes devoirs me le permettent peut-être viendris-je te visiter à nouveau... »
Termina le Dieu de l'Amour avec un clin d'oeil complice.
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Melinoë de Kent
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Dans les Bois... Parents Divins : Poséidon
Mer 25 Mar - 11:19
Une rencontre fortuite... ou pas!
Si Mëlie, toute jeune déesse qu'elle soit n'aimait pas forçément déppendre de quelqu'un, sur certains point elle savait reconnaître d'elle-même qu'elle devait se faire aider. Elle était donc ravie et afficha un sourire lorsque son tonton Eros lui affirma qu'il serait ravie de l'aider. Notre jeune déesse de l'eau et de la sagesse l'écouta tranquillement après avoir quitter l'étreinte réconfortante qu'il lui avait donné. On aurait pu alors croire à un couple de jeunes enfant là où il n'y avait en fait qu'un geste d'affection entre deux membres d'une même famille même si de prime abord on ne pouvait le savoir. Et à l'vocation de sa tante Melinoë pouffa légèrement amusée de la réflexion.
- Certes je ne peux nier qu'elle soit très protectrice avec moi et qu'elle n'aime guère les hommes, cependant je suis sûr que c'est juste pour s'assurer de notre bien être à toutes qu'elle agit ainsi. Il n'y a pas qu'avec moi même si là encore elle force plus avec a personne car on 'a confiée à elle. Je lui e parlerais dès qu'elle rentrera au camp pas qu'elle ne s'inquiète c'est préférable en effet.
Si la jeune déesse montrait sincèrement en privé son, affection à autrui cela ne concernait que les êtres cher à son cœur, elle ne savait mentir la dessus où ne le voulait pas au choix. Aussi elle fut tout de même surprise d'apprendre qu'à l'Olympe très peu s'approchait de lui, mais se rappelant de ce que sa grand-mère Héra lui avait expliquée autrefois elle compris mieux bien que trouvant cela idiot. Il n'tait pas un danger pour les Olympiens, le mettre à l'écart était ridicule..
- Je ne vois pas pourquoi ils ont si peur de toi. Tu n'est ps un danger pour les Olympiens, lorsque tu décoches tes flèches c'est que tu le dois tu nele fais pas juste pour faire des farces ta tâche à une raison d'être tu es le gardien de la puissance créatrice et de l'amour.
Melinoë lui offrit un sourire réconfortant contente qu'il apprécie son attitude et puis il l'avait tout de même bien réconforté et elle en avait grandement besoin. Elle ne pouvait pas s'épancher devant ses sœurs de chasse alors il fallait qu'elle s'isole généralement. Revenant à la réalité quand il lui fit prendre conscience de l'heure, Melinoë sursauté un peu en voyant la course descendante du soleil.
- Mince je n'avais pas vu qu'il était si tard... J'ai laisser bien trop longtemps les autres sous le commandement de Zoé. Tu as raison tonton Eros je dois retrouver mes sœurs de chasses au plus vite sinon elles vont se poser des questions sur ma trop longue absence.
Melinoë avait dit cela de manière un peu désolée de devoir partir si vite, mais il fallait être raisonnable et ne pas créer d'interrogations inutile il est vrai. Observant son oncle faire, Melië vit avec ravissement l'arbre se métamorphoser en un magnifique sanctuaire fleuris et elle sourit de toute ses dents émerveillée comme le serait sans doute une enfant.
- C'est... magnifique tonton Eros ! merci pour ce précieux cadeaux je serais ou venir pour souffler à présent et j'espère te revoir bientôt c'est certain. On à encore plein de chose à se raconter et j'ai envie d'en savoir plus sur la vie dur l'Olympe... Même lorsque j'y étais, grand-mère Héra me gardait dans son palais pour ma propre sécurité, alors je ne connais pas vraiment bien.
Melinoë déposa un léger baiser sur la joue de son oncle puis sourit et lui fit un signe de la main avant de s'enfuir en courant rapidement dans les bois tel un félin pour regagner rapidement le camps des Chasseresses. Bientôt elles arriveraient à bon port et s'installerais dans le Bungallow de leur déesse chasseresse qui leur servait à toute un peu de mère .
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