Les enfants de l'Olympe
Je n'ai rien à offrir que du sang, de la sueur et des larmes.
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Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
Les enfants de l'Olympe
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L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
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Je n'ai rien à offrir que du sang, de la sueur et des larmes.
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Lun 9 Mar - 21:25

Horvath Morgan Wolfson

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness


Nom & Prénom(s) : Horvath Morgan Wolfson
Âge : 26 ans
Date de naissance : 24 juillet 1992
Origine : Anglaise, Israélienne du côté de sa mère & essence divine du côté de son père
Parent Divin : Arès, enfanté pendant le conflit israelo-palestiniens
Age d'entrée à la colonie : 14 ans quand il a appris son essence divine.
Groupe : Demi Dieux
Pouvoir : Armokinésie (il suffit qu'il en ai une dans les mains pour savoir comment s'en servir) ○ Dolokinésie (il ressent moins la douleur et pas du tout pendant les combats) ○ Manipulation Phobique (quand il est en colère, il n'hésite pas à utiliser ce don sur autrui et c'est d'autant plus vrai en combat).
Avatar : Kit Harington

Anecdotes
Il a hérité des traits physiques de son père ϟ Il parle trois langues ϟ Il est un enfant de la guerre, né dans un pays qui n'est pas le sien ϟ Il a failli mourir à sa naissance ϟ Il a tué son beau père quand il était enfant ϟ Il n'abandonne jamais ϟ Il déteste l'ananas.

Caractère
Horvath a grandi avec pour unique parent, sa mère. Elle a tenté de lui inculper des valeurs qui semblait juste pour elle. Ce qui a fait de Horvath un enfant curieux, joueur et optimiste. Il n'hésite pas à aider son prochain et est très protecteur envers les êtres qu'il aime. Les valeurs de respect et de loyauté lui sont familières et ce qui en fait quelqu'un de fier, de droit et de travailleur.

Mais le naturel revient vite au galop et à l'école il se montre impulsif avec les autres enfants et direct. Il ne passe pas par quatre chemins pour dire ses vérités à quelqu'un et surement pas un adulte si il ne reconnait pas son autorité. Il est assez impatient en général et est quelqu'un de spontané et naturel. Ne vous attendez pas à de belle parole venant de lui. Si il ne vous aime pas, il n'hésitera pas à vous le dire.

L'adolescence qui commence avec les coups de son beau père en fait un être renfermé et colérique. Toute la haine qu'il ressent pour cette figure que sa mère lui a imposé explose dans des bagarres, souvent avec des plus grands que lui. Extrêmement bagarreur, il devient vite insolent et peut être trop audacieux. L'âge fait qu'il devient carrément arrogant et sarcastique, pour lui n'étant que de simple moyen pour se sortir d'une situation qui le met mal à l'aise. Mais le ressentiment qu'il perçoit en fait quelqu'un de rancunier et qui n'abandonne jamais. Entêté, il se relèvera toujours lorsqu'il faut se battre. Ou lorsqu'il faut protéger les êtres qu'il aime. Car Horvath est peut être le fils du dieu de la guerre, mais il est aussi et surtout éduqué par sa mère. La générosité qui déborde de la jeune femme a fini par déteindre sur son fils qui n'hésite pas à aider les plus faibles. Volontaire et indépendant assez tôt, sa générosité se ressent à travers de beaucoup de petits actes même si peu de personnes savent que c'est lui qui commet ces actes. Il est créatif également que se soit dans la vie de tous les jours que aux entraînements. Aucuns de ses combats ne se ressemble et lorsque l'humeur est au beau fixe, il n'hésite d'ailleurs pas à être taquin. La joie de vivre quand il était enfant était revenu avec le camp car il se sentait de nouveau chez lui et accepté. Et cela valait tout l'or du monde.

rainmaker




Derrière l'écran
Pseudo : Paddy ou Siry
Âge : 28 ans
Pays : France
Fréquence de connexion : Autant que je peux
Inventé ou scénario : Inventé
Code caché dans le règlement : Hermès il vole avec des petites chaussures ailées !
Mot de la fin ? Hadès il kiffe déjà ce gosse.
rainmaker
Invité
Invité
Lun 9 Mar - 21:26

La cruauté est affaire de perspective



Loin de sa terre d'origine, loin de sa patrie et de sa famille, Elizabeth était ici en tant que volontaire. Elle n'avait jamais compris la guerre ni même comment ce conflit s'était déclenché et comment ils en étaient venus aux armes. La seule chose dont se souciait la jeune femme reniée, c'est que des enfants, des femmes et des hommes étaient dans le besoin. C'était pourquoi elle était présente. Donner un but à sa vie. Après tout, batarde d'un adultère dans un mariage arrangée, elle détestait sa propre famille. La femme de son père la haïssait plus que tout et ne lui avais jamais fourni d'amour. Et pourtant, elle en avait à revendre, de l'amour. C'est pourquoi, elle avait fait une école d'infirmière. Elle voulait donner de l'amour aux autres, un amour qui débordait de son cœur. Et elle y était arrivée. Elle était devenue infirmière, puis médecin et maintenant, elle parcourt les zone de guerre pour soigner ceux qui manquait d'amour et de soins.

Mais le destin en avait décidé autrement pour la jeune femme aux long cheveux blonds et aux yeux bleus océans. Un soir, le conflit avait atteint l’hôpital de fortune et les grenades avaient frappées directement dans les lits des blessés. Elizabeth s'était réveillée en sursaut cette nuit là. Elle avait tentée d'aider les plus démunis, d'aider à évacuer les tentes et c'est là, qu'elle le vit. Cet homme. Grand, fort. Il respirait la puissance et la force et pourtant, il n'avait rien des autres hommes qui les attaquaient. D'ailleurs, personne ne semblait le voir alors que son âme dégageait un charisme immense. Il ne semblait pas atteint par ce qui se passait à côté de lui et la guerre semblait même émaner de lui. Comme si toute cette violence l'amusait.

Tout son être lui disait de fuir cet homme. Mais elle en avait été incapable. Captivée par un regard, c'est la première fois qu'un homme la regardait comme lui, la regardait. Alors elle n'avait pas résisté cette nuit là. De toute façon, à quoi bon, il aurait pu la briser d'une simple main tellement il semblait fort. Alors quand les fracas des grenades avait cessées, qu'elle avait soigné le reste de ses patients, l'homme l'attendait toujours. Elle s'était amusée de la façon de l'homme d'agir et porter ce collier si étrange autour du cou. Un collier avec une tête de bélier sculptée dans de l'argent. Les traits saillants, son corps était recouverts de cicatrices comme si il avait vécu toute sa vie dans des endroits en conflit. Le regard charbonneux qu'il posa sur elle la faisait sentir particulière, unique. Il avait ce don d'être un bel homme avec beaucoup de charme. Et Elizabeth qui n'en avait connu que très peu, n'hésita pas à tomber dans les bras de l'inconnu. Après tout, il semblait aussi intéressé qu'elle et n'avait elle pas le droit de succomber pour une fois ? Elle qui avait un cœur qui débordait d'amour.

Il lui avait dit son nom ce soir là mais elle ne l'avait pas cru. Il le savait aussi. Mais elle avait fait comme si. Après tout, cela lui allait bien. Arès. Elle lisait énormément. Elle aimait particulièrement les romans fantastiques et les légendes. Alors évidemment, elle connaissait l'Odyssée et l’Iliade. Elle connaissait les dieux par les écrit et la description qui avait été faite de Arès était à des milles de l'homme qui se retrouvait allongé à côté d'elle. Des yeux de sang et de feu... Oui, ça elle n'en doutait pas, il avait un regard ardent.

Après cette nuit, il était revenu plusieurs fois pendant quelques semaines. Et puis les visites se sont espacées. Pour que finalement, il disparaisse de sa vie. Elle avait porté son enfant. Mais elle n'as jamais parlé du père à qui que se soit. Elle n'es jamais repartie dans sa famille non plus. Elle refusait qu'il soit considéré comme un bâtard comme elle, elle fut considéré. Non ça, jamais. Alors elle l'as élevée en le reconnaissant comme son fils et sans père.

La grossesse s'était bien passée, mais elle était toujours médecin et même enceinte, elle n'hésitait pas à occuper sa fonction. Elle donnerait naissance à son fils ici à Israël. Elle n'avais pas d'autres choix. Et c'est sous les bombes des ennemis qu'elle mis au monde son fils. Elle avait failli mourir sous l'assaut de l'ennemi et son nouveau né aussi. Mais un territoire en guerre n'était pas fait pour un être aussi fragile que cette petite créature enveloppée dans une couverture contre ses bras chaud. Alors, elle a fui. Aussi loin que possible. Avec l'héritage et la somme qu'elle avait accumulée pendant ses années de baroudeuses et d'aide aux prochains. Elle avait tout mis de côté et finalement, tout serait pour son fils. La chair de sa chair. Le sang de son sang.

Elle avait fui aux Etats Unis et avait ouvert son propre cabinet dans une petite ville. Elle gagnait bien sa vie pour son fils car c'était tout ce qu'il comptait. Plus il grandissait, plus il ressemblait à son père. Des cheveux noirs de jais, et des yeux marrons chocolats qui semblait parfois refléter ses émotions avec force. Il était un petit garçon curieux mais l'absence de figure paternel pesait sur lui. Elizabeth le savais bien. Alors un jour, quand elle le ramena de l'école, il s'était enfermé dans sa chambre sans même la saluer. Elle avait beau l'appeler mais pas de réponse. Ses yeux en larmes lorsqu'elle était rentrée dans la chambre de son fils lui brisa le cœur.

-Maman, il est où mon papa à moi ? Tous mes copains en ont un sauf moi...

Elizabeth l'avait pris dans ses bras sans rien dire. Elle semblait tellement peinée de voir son fils dans cet état qu'elle se dit que trouver un père de substitution pourrait aider son fils à aller mieux. Après tout, elle pouvait toujours aimer. Et pour Elizabeth s'était tombée encore une fois comme la main du destin sur elle. Un patient à la clinique qui semblait aussi fatigué et blessé qu'elle par la vie. Il semblait tous les deux marcher dans la même direction et l'histoire avait démarré entre les deux adultes. Cela avait duré secrètement jusqu'à la rencontre avec Horvath. Horvath l'avait beaucoup aimé au début. Sa mère lui avait appris à être poli, optimiste, toujours le sourire aux lèvres et surtout toujours aussi audacieux et curieux.

Et les années qui suivirent furent idyllique pour la famille recomposée. Et il y a eu le premier assaut contre l'enfant. Une première gifle. Et puis la première fessée. Souvent quand sa mère n'était pas là. Mais pour ne pas l’inquiéter, Horvath n'avait rien dit. Il avait pris sur lui du haut de ses dix ans. La fierté et la loyauté qu'il avait envers sa mère n'étaient jamais ébranlées. Et puis les gifles sont passés aux coups. Et l'enfant s'était renfermé sur lui même. Il revenait couvert de bleus, se battant encore à l'école, sachant pertinemment qu'il recevrait une correction digne de ce nom en rentrant aussi. Il avait trouvé sa force d'exister dans la bagarre et les coups. Il avait supporté ça pendant quatre ans. Quatre longues années. Jusqu'à ce qu'il réalise que les coups qu'il recevait de la part de son beau père, sa mère les subissait aussi.

Il a vu rouge. Lui, il s'en foutait, que se soit sur lui. Tant que sa mère était en vie et protégée. Mais là, c'était différent. Il avait ce senti un poison couler dans ses veines. Un poison redoutable. La colère, la haine, et l'adrénaline qui avait parcouru son corps en un quart de seconde à la vue du coup sur la joue de sa mère. Et tout fonctionna au ralenti. Un brasier ardent au fond de ses tripes lui donna des ailes alors qu'il arrêta sans même sourciller le deuxième coup de son beau père. Et il attrapa la première chose qui lui passait sous la main. Le couteau posé sur la table à manger. Et il avait frappé. Plusieurs fois. La violence de son acte, il ne s'en souvenait pas. Il se souvenait juste du gout du sang qui avait giclé sur son visage, du son de la gorge de son beau père qui agonisait dans une marre de sang. Et il avait encore frappé bien après que son dernier souffle de vie soit partie, rendant coup pour coup tout ce qu'il avait subi.

Il y avait eu une arrestation. Horvath n'opposa aucune résistance. Elizabeth dont sa vie qui n'était qu'une tragédie et qui pourtant débordait d'amour tenta d'expliquer au policier ce cas si banale de vie de famille. Une mère seule, isolée, un conjoint violent, un enfant qui voulait simplement protéger. L'impulsivité de son geste et la violence avait fait la page des faits divers dans le journal local. Un adolescent de quatorze ans tue son beau père avec une violence et un acharnement digne de Jack l’Éventreur lui même.

-Sais tu qui je suis mon garçon ?

Il fut déposé sur une chaise dans une salle d'interrogatoire. Et depuis, il n'avait pas levé les yeux depuis des heures, toujours posés sur la table en inox brillante. Le néon au dessus vrillait et lui donnait mal à la tête et n'avait même pas remarqué la présence d'un homme dans la pièce. Un homme en fauteuil roulant. Il avait un visage couvert de barbe et faisait clairement penser à un vieux sage. Horvath haussa un sourcil, insolent comme à son habitude quand il se sent menacé.

-Le psy qui est censé dire si je suis fou ou pas ?
-Ce n'est pas loin. Mais tu n'es pas fou, rassures toi. Je comprends parfaitement ton geste. Et je suppose que l'adrénaline que tu as ressenti ne t'étais pas étrangère, je me trompe ?

Horvath ferma la bouche pour la rouvrir sans émettre le moindre son. Combien de fois il avait ressenti l'envie folle d'écraser la tête de son beau père contre le mur ? Combien de fois il avait envie de courir un marathon. Tout était si surréaliste à y penser. Cette sensation qui le prenait au trippes. Ses sens qui semblait faire ralentir le temps. C'était comme si il était capable d'anticiper le moindre mouvement de son adversaire, comme si son corps entier se préparait à un combat à mort. L'homme devant lui posa un médaillon orné d'une tête de bélier devant lui. Il n'avais jamais vu ce symbole.

-Sais tu ce que c'est ?

Horvath hocha la tête de gauche à droite. Non, il ne savait pas. Sa mère entra alors dans la pièce pour s'installer au milieu. Le symbole devant elle, elle attrapa le médaillon et caressa la tête en relief qui l'ornait. Un doux sourire passa sur ses lèvres. Elle semblait si fatiguée.

-Maman ?
-Horvath, mon ange, il faut que je te parle de quelque chose. Cela a un rapport avec ton père.

Elle expliqua alors à son enfant la vérité. Toute la vérité sur l'homme qu'elle avait croisé il y a quatorze ans de cela. L'homme qu'elle avait aimé et qui n'avais jamais vraiment quitté son cœur. L'homme qui était son père. Un dieu. Qui avait pour symbole une tête de bélier. Arès. C'était impossible. Lui ? Un enfant d'un dieu ? Et pourtant, tout semblait s'éclairer dans son esprit comme si une brume immense venait d'être levée sur ce qu'il était réellement. Il pouvait sentir la colère affluer dans son être. Une colère sourde, aveuglante. Il en voulait subitement à la femme à ses côtés. Mais sa colère s'arrêta subitement. Il comprenait pourquoi elle n'avait rien dit. Le protéger. Comme il avait tué pour la protéger. Horvath ne pouvait la croire. L'homme lui expliqua qu'il connaissait beaucoup de demi dieux et que tous, vivait dans un camp caché dans la forêt dont lui seul connaissait l'existence. Non, il ne sera jamais séparé de sa mère. Il ne la laissera pas seule.

Il hurla alors contre l'homme faisant tressaillir la femme à ses côtés. Il s'était levé et avait tiré sur les menottes qui le retenait prisonnier de la table. Il avait tellement tiré que la chaîne se brisa marquant ses poignets du fer des menottes. Il avait reculé à l'autre bout de la pièce en hurlant sur l'homme et sa mère

-JE N'IRAI PAS DANS VOTRE MAISON DE FOU ! PARCE QUE C'EST CA HIN ? AVOUEZ QUE C'EST UN HÔPITAL PSYCHIATRIQUE !!! DES DEMI DIEUX ! MON CUL OUI !

Sa mère n'hésita pas une seconde pour le rejoindre et prendre son visage en coupe, forçant l'adolescent à croiser son regard. Un regard doux et aimant. Elle débordait toujours d'amour pour son fils, malgré qu'il venait de tuer un homme.

-Horvath, je t'en prie. Tu ne seras jamais plus en sécurité dans notre monde. Tu est le fils d'un dieu et j'en suis convaincue maintenant. Ton père portait ce symbole autour de son cou et quand je l'ai connu, il m'as dit comment il s'appelait mais je ne l'ai pas cru à l'époque et maintenant je réalise qu'il n'avait fait que me dire la vérité. Tu es un garçon intelligent et gentil mais tu dois apprendre à contrôler tes pouvoirs et lui peut t'aider. Je t'en prie mon fils. Me séparer de toi sera une chose difficile mais tu sais que tu pourras toujours compter sur moi. Je ne te laisserai pas.

Un sourire doux et rassurant et sa colère s'était soudainement évanoui. Il l'avait serré si fort dans ses bras. Et il se laissa alors emmener avec l'homme au camp des demi dieux. Et il ne fut pas déçu du voyage. Caché en plein milieu d'une immense forêt, il fut stupéfait de voir autant de monde. Les dieux engendrait il réellement autant d'enfants ? Ça il ne le savait pas.

C'est là qu'il a découvert qu'il avait une demi sœur du nom de Clarisse et des demi frère aussi. Tous engendrés de mère différente. Ils ont grandi ensemble mais il n'aimait pas sa sœur. Trop brutale, trop entêtée, trop impulsive. Elle lui rappelait sans cesse ce qu'il était. Un fils du dieu de la guerre et ce qui avait fait chavirer son esprit et qui lui a valu le titre de meurtrier. Et puis il a grandi jusqu'à ce qu'une rumeur circule. Le fils d'un des trois grands dieux était en vie et était parvenu à la colonie. Percy Jackson. Bien sur, cela semblait un événement rare et effectivement, il semblait énergique et hyperactif malgré ses bras de gringalets. Les yeux d'un bleu pur était sans nul doute un héritage comme lui, avait hérité des traits de son père. Il y a eu la fête, Hadès, la disparition de Percy et deux de ses amis et la menace de Zeus de mener une guerre contre son frère Poséidon.

C'était comme si la guerre ne faisait que le suivre. Où qu'il allait, elle était omniprésente. La violence, la cruauté, la guerre. Il était tellement prêt à se battre, tellement prêt à tuer. Il le savait au fond de lui qu'il aurait pu décimer un bataillon à lui tout seul. Personne n'avait réussi à le battre en combat rapproché. C'est pourquoi il se promit de ne plus jamais porter les armes, quitte à enfermer dans son esprit et son cœur ce qu'il est vraiment.

rainmaker
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Messages : 232
Date d'inscription : 23/07/2019
Hadès
Hadès
Codeur

Le parchemin des Olympiens
Bungalow : Autres...
Parents Divins : Autres
Ven 13 Mar - 0:51

Félicitations !
Tu es validé !



Bienvenue parmi les enfants de l'Olympes !

Ta fiche respecte le modèle donné  et  est complète. Tout y est alors je ne peux que te valider et te souhaiter un bon jeu chez nous ^^

Je t'invite cependant à recenser dès à présent ton avatar en passant par ce lien ici, puis de faire un petit tour pour créer ta fiche de lien et de parcours, ta fiche de parcours[url=l%C3%A0]là[/url],et aussi ta fiche technique de pouvoir afin d'achever ton processus d'inscription par .

A très vite au détour de l'une de nos contrée. L'histoire ne fait que commencer...

Que le jeu commence pour vous !

code (c) rainmaker

Invité
Invité
Dim 15 Mar - 7:56
Bienvenue parmi nous Smile
Invité
Invité
Lun 16 Mar - 15:20
Merci !
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