Les enfants de l'Olympe
Invitation aux enfers | PV Perséphone & Hadès
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Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
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L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
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Invitation aux enfers | PV Perséphone & Hadès
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Féminin
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Astrée
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Sam 21 Mar - 0:52
Une invitation aux enfers
“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”

FT Persephone & Hadès


Chose dit chose faite, en ce matin d'Automne avait reçus une lettre d'invitation de la main de son oncle Hadès, seigneur du Tartare. Aussi, c'est déployant ses ailes qu'elle quitta la demeure des dieux vers la terre pour rejoindre la furie Alecto qui devait la mener à ses maîtres au royaume des enfers. Astrée était véritablement heureuse de revoir sa cousine et Tante Perséphone qu'elle n'avait pas vu depuis un moment. Pénétrant dans le monde souterrain escortée de d'Alecto, servante des enfers, la fille étoile  volait tranquillement vers le palais des enfers, résident dans la partie que l'on nomme Elysion. Une fois annoncée devant les maîtres des lieux elle s'inclina respectueusement..

[- Oncle Hadès, Perséphone  je suis heureuse de vous revoir. J'espère que je ne vous dérange pas trop.

Oui Astrée était révérencieuse et mettait les formes, mais tous simplement par respect envers des membres de sa famille et non pas comme certains par crainte de représailles. Elle attendit pour se redresser un accord des maîtres des lieux qu'elle reçus peu de temps après d'ailleurs. Alecto avait depuis longtemps rejoint ses sœurs à présent et Astrée ne se trouvait donc qu'en compagnie des souverains des enfers. A Elysion, Astrée devait reconnaître que c'était bien plus reposant que l'Olympe et qu'il y ferais presque bon vivre si le soleil pouvait y entrer. Ce jardin d'Eden que par amour Hadès avait créer pour Perséphone était magnifique elle ne pouvait guère le nier.

[- Elysion est encore plus beau que ce que j'en est entendu à l'Olympe et au moins ici c'est reposant et calme

Astrée se souciait peu en présence de certains de ses pères des convenances banale de mettre des pincettes dans ses propos et ils en avaient l'habitude après tout. Elle ne craignait guère de les offenser par ses propos savant que i l'un ni l'autre n'était réellement des fervents amateurs du bruit ambiant de l'Olympe. D'une Perséphone vivait sur terre 6 mois de l'année et d'Autre part son oncle Hadès y allait le moins souvent possible et pour cause.

En attendant  Astrée observant de manière calme le paysage qui s'étalait sous ses yeux  sans pour autant en oublier les personnes qu'elle était venue voir en cette journée bien sûr. Oui venir passer des heures ici devait être agréable au vu de ce qu'elle en voyait. Et si cela ne tenait qu'à elle, largement elle préférait passer des jours ici en leur compagnie qu'auprès de l'agitation de l'Olympe. Certes cela ne pouvait se faire, mais venir de temps à autre elle le ferait sous leur invitation et seulement si elle y était invité n'aimant pas s'imposer d'une part et d'autre part tous simplement car en tant que Dieux chacun avait ses obligations tous simplement.





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Hadès
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Sam 21 Mar - 1:41

Invitation aux Enfers
Astrée & Perséphone & Hadès | Automne



I won't pretend that I resist temptation
I think it's funny when you preach damnation


Je préparais sa venue depuis quelques temps déjà. Je profitais des moments où je jouais mon rôle de juge pour tout faire dans le dos de ma femme. Car évidemment, je lui avais organisé une surprise. Même si elle était aux Enfers six mois dans l'année, cela ne l'empêchait pas de vivre comme à la surface et de voir ses amis. Et une de ses amies et membre de la famille, il s'agissait bien sur de Astrée. Elle était douce et assez intelligente pour ne pas me jeter la pierre. Je l'avais vu pendant l'été alors que j'étais monté sur l'Olympe pour une affaire urgente à régler. Aussi, je lui avais dit que je l'inviterai une fois que Perséphone serait aux Enfers. Et nous y voilà.

Alors, quand un matin je décidais de m'installer sur le trône au côté de ma femme, en vérité, c'était pour recevoir la jeune déesse. J'avais envoyé Alecto, une de mes fidèle harpie pour la conduire jusque là. Mon... notre palais était situé au delà des Champs Elysées, entourés de magnifique jardin somptueux grâce à ma douce Perséphone et enroulé dans une lumière artificielle imitant les rayons du soleil. Je pianotais sur l'accoudoir du trône, impatient.

Et le bruissement d'aile arriva, accompagné de Alecto et sur son dos de la jeune déesse. Aussitôt posée sur le sol, Astrée pris la parole en s'inclinant. Toujours aussi formelle. Elle s'adressa à nous solennellement. Aussi, je ne me fis pas prier pour me lever de mon siège, aussi détendu que possible et lui indiquant qu'elle pouvait se relever. On était pas sur le mont Olympe ici. Alors je descendis les marches de l'estrade et arriva face à Astrée qui semblait éblouis par les jardins qui entouraient le palais. Je m'inclinais brièvement devant elle avant de la prendre par les épaules.

-Cela fait du bien de te voir Astrée. Tu peux féliciter Perséphone pour les jardins. Sans elle, il ne serait pas aussi beau.

Je m'écartais d'elle pour me retourner vers Perséphone qui était derrière moi et lui indiqua de nous rejoindre en tendant ma main vers elle, un doux sourire aux lèvres. Je lui affirmais alors, d'une voix aussi douce que je le pouvais.

-Je pensais qu'inviter une de tes vieilles amies te ferait plaisir. J'espère avoir vu juste.

Je l'espérais réellement du fond du cœur. Perséphone était devenue au fil du temps ma source vitale. Elle était ce que j'avais de plus chère à mes yeux et son bonheur donc, était tout ce qui m'importait. Astrée l'avait compris et pour cela, elle méritait de venir voir Perséphone. Les autres dieux, -incluant mes frères -, eux, ne voyait que son enlèvement et j'avoue ne pas être fier de cet épisode. Mais cela allait au delà de ça. Combien de fois, avant de me décider à la capturer, je l'avais vu pleurer dans les jardins de Déméter. Combien de fois, je l'avais vu souffrir de ne pas pouvoir sortir ? Elle aurait pu, avec moi. Si là encore, Déméter n'avait mis son grain de sable, obligeant Perséphone à opérer entre la terre, et les enfers. J'aurais aimé lui dire tout ça. Mais à chaque fois, une culpabilité grandissante était née. Peut être que je n'aurais pas du. Mais le sourire sur le visage doux de la déesse du printemps me rappelait que j'avais eu raison de le faire.

J'avais la plus belle femme du monde olympiens. Et elle n'était que pour moi.
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Dim 22 Mar - 1:13
Invitation aux Enfers912 mots
Perséphoine
Hadès
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Cela faisait quelques temps que tu trouvais que Hadès semblait bizarre. Mais au final tu n'y avais pas prêté plus attention que cela, il y avait bien d'autres choses pour s'occuper l'esprit ici bas. Alors tu t'étais occupée de tes petites affaires lorsqu'il devait s'occuper de juger les âmes. Tu lui laissais d'ailleurs volontiers ce travail. Autant par moment il n'y avait pas de problèmes à ce que tu lui portes main forte, autant pour ce qui était d'émettre un jugement. Tu pouvais le remplacer sans aucun problème, mais tu trouvais la tâche compliquée, et pas du tout à ta hauteur, même s'il t'avait déjà dit que tu te débrouillais pas trop mal. Tu avais toujours peur de faire une erreur, et tu avais beau essayer de te mettre à sa place, ce n'était pas évident. Car bien que tu avais le Dieu des Enfers dans la peau, tu restais bien différente de lui et tu ne te sentais que peu capable de penser exactement comme lui.

C'était donc songeuse que tu t'étais installée auprès de ton époux, à ta place sur le trône. Cela te faisait encore bizarre, d'être sur un trône, d'être appelée "Ma Reine" par les sujets de Hadès. Et malgré le temps passé à ses côtés, il y avait encore des choses qui te perturbaient un peu. C'était sans doute normal après tout, pas de quoi s'en faire. Un bruissement d'ailes te fit sortir de tes pensées, alors que tu te redressais sur ton siège pour observer la harpie Alecto venir. Ton fronças légèrement les sourcils à sa vue, que voulait-elle ? Mais derrière elle tu vis une autre paire d'ailes, et celles-ci ne t'étaient pas inconnues. Alors, ton visage regagna sa douceur originelle, et un sourire vint maquiller ton visage.

Tu eus un très léger rictus, un non que dessinait ta tête alors que tu voyais ta demie-sœur courber l'échine pour faire une révérence. A cause de ta vie sur Terre, tu avais fini par trouver ces formalités un rien dépassées, mais tu respectais cela, bien entendu. Et les Olympiens gardaient ces coutumes, très bien. Hadès la fit se relever, et tu le suivis des yeux alors qu'il quittait son trône pour descendre les quelques marches afin de la rejoindre. Tu posas un instant ton coude sur l'accoudoir pour poser ton menton sur tes doigts. Ah, donc c'était cela qu'il te cachait depuis un moment ? Tu finis par te lever, époussetant la magnifique robe que ton mari t'avait offerte. Tu descendis ensuite les quelques marches en souriant alors que Astrée complimentait le lieu. Oui, Elysion était parfait. Hadès l'avait créé à ton image et avec tout l'amour qu'il pouvait ressentir à ton égard. Et rien que de te promener ne serait-ce qu'un instant dans l'Elysée, tu le sentait. Tu attrapas enfin la main qu'il t'offrait pour rejoindre votre invitée.

« Les Olympiens ne racontent jamais la vraie beauté des choses. Et sans toi ils n'existeraient pas du tout. » fis-tu à Hadès, te rapprochant de lui pour venir poser ta tête contre son épaule un instant, t'accrochant à son bras. Puis redressant ta tête, tu souris à Astrée. « Je suis ravie de te voir ici Astrée, j'espère que tu as fais bon vol. » Pourtant, il y avait quelque chose qui te gênait, sans savoir exactement quoi. Tu n'étais sans doute pas dans ton assiette ce matin, il te fallait quelques temps pour redevenir ce bout de Printemps en plein Automne.  Puis Hadès te fis part de ses espérances, et tu souris d'avantage. Tu le trouvais adorable, d'essayer à tout pris de te contenter, de te faire plaisir. Et il y arrivait ! Peut être que tu ne lui montrait pas assez, que tu étais réellement heureuse à ses côtés. Alors tu eus un léger rire avant de venir déposer un tendre baiser sur ses lèvres. « C'est parfait, mon amour. » lui chuchottas-tu, avant de t'écarter de lui dans une dernière caresse contre sa joue.

Tu t'approchas alors de Astrée, tendant les deux mains afin d'attraper les siennes, toujours avec cette douceur qui te caractérisait. « Viens ! Si Elyseon te plait tant, je vais te le faire visiter ! Et j'espère ne pas me tromper en te disant que tu peux venir en profiter tant que tu veux. » lui dis-tu sur un ton assez enjoué. Oui, si elle voulait venir, étant donné ses ailes et maintenant qu'elle connaissait la route, rien ne pouvait l'empêcher de venir. Tu invitas donc Astrée à te suivre, toujours en lui tenant une main pour ne pas la perdre. Tu voulais d'abord l'emmener dans cet immense champ de fleur, dans lequel on pouvait disparaître en s'y allongeant. Aussi, tu sifflas et peu de temps après le chien à trois têtes gardiens des Enfers déboula. Tendant la main vers lui, tu lui fis changer de forme, et Cerbère si imposant devint trois malinois joueurs.

Tu jetas tout de même un œil malicieux à Hadès, te mordant la lèvre inférieure, espérant qu'il vous suivrait. Pourquoi ne le ferait-il pas ? Cela lui faisait toujours du bien de passer un moment parmi les fleurs. Fleurs que tu avais laissées de couleurs très vives et printanières.
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Astrée
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Dim 22 Mar - 9:58
Une invitation aux enfers
“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”

FT Persephone & Hadès


Astrée respectait les convenance, plus par respect que par peur comme certains, mais l'attitude accueillante de son oncle Hadès puis celui de sa demi-sœur et tante, l'avait permis de se détendre et de laisser de côté les convenances qui semblait bien moins présente au sein des enfers. Se redressant à l'approche de son oncle elle lui sourit à ses propos et acquiesça doucement.

- Je suis certaine oncle Hadès que ses jardins sont le fruit de votre travail à tous les deux et surtout il reflète bien vos sentiments l'un envers l'autre.

Et puis Astrée s'était tournée vers sa demi-sœur et tante à savoir Perséphone, reine des enfers et épouse de son oncle Hadès. celle-ci les avaient enfin rejointe en joignant sa main à celle tendu de son époux. Adressant un sourire en retour à sa demi-sœur.

[- Moi aussi Perséphone, cela fait bien trop longtemps qu'on ne sait vu avec nos obligations et tes voyages entre la terre et les enfers tous les 6 mois. Et rassure toi le vol fut excellent de plus si c'est pour venir visiter des personnes de ma famille, qui ne sont pas des imbéciles finit comme ceux que je vois tous les jours à l'Olympe avec leur stupide querelles incessantes, c'est un vol des plus agréables. Heureusement que tous ne sont pas ainsi à l'Olympe, sinon crois-moi je retournerais directement vivre sur terre...

Il était vrai que beaucoup sur l'Olympe agissait de manière immature après cela comment montrer l'exemple au mortel? SI Astrée était la déesse de la justice des hommes et veillait particulièrement sur l'apprentissage de la justice à ceux-ci depuis les temps antiques, elle savait reconnaître les problèmes présent sur l'Olympe et elle savait que son oncle Hadès partageait son point de vu sur la chose et elle ne doutais pas que sa demi-sœur soit du même avis quelque part.

Puis, Perséphone anciennement Corée s'était approchée d'elle pour lui prendre ses mains tout sourire et l'entraînée à sa suite sans qu'elle ne lui oppose une quelconque résistance d'ailleurs. Il faut dire, Perséphone était la douceur du printemps fait femme. Attention cela ne voulait pas dire qu'elle ne savait pas etre ferme où se mettre en colère non plus ou encore se faire obéir non, juste que son caractère était doux et avenant avec ses proches voilà tout.


- Une petite visite de ce lieu magnifique ne sera pas de refus. Et puis je suis venue ici pour passer du temps avec vous non? Alors je suis la maîtresse de maison pour une visite guidée.

A l'évocation de Perséphone de renouveler une invitation lorsqu'elle le désirait puisqu'à présent elle connaissait le chemin vers Elysion au cœur de l'enfer, Astrée ne put s'empêcher d'esquisser un léger sourire. Elle ne se laisserait pas dire deux fois. Déjà parce que fut l'Olympe ne lui déplaisait guère, ensuite il ne fallait pas oublier qu'elle avait grandit avec Perséphone une partie de leur temps avant que celle-ci ne se fasse jadis enlever par son époux actuel.

Mais si Astrée jugeait que son oncle aurait pu faire autrement autrefois elle reconnaissait bien volontiers que les sentiment pouvait faire perdre un certain bon sens dans les actes sur le coup. Mais Hadès c'était fait pardonné et aimé par Perséphone et d'ailleurs Astrée regrettait pour eux cette séparation qui leur était imposé à cause d'une mère qui trop possessive.


- L'invitation est retenue Perséphone, et je ne manquerais pas de passer vous voir lorsque  mon devoir me le permettra et que je serais sur de ne pas déranger car vous avez tout de même fort à faire ici tous les deux. Il ne serait pas bon de m'imposer avec si peu d'égard pour vos tâches dans votre royaume.

Souriant et continuant donc la visite en compagnie de Perséphone qui n'avait guère lâcher ses mains pour s'assurer sans doute qu'elle la suivait, la déesse de la justice des hommes appréciait grandement la visite. Au bout d'un certains temps, Perséphone se stoppa et Astrée se tourna en même temps qu'elle pour voir ce qui avait attirer son attention derrière elle et c'est là qu'elle vit que son oncle Hadès était resté un peu en retrait et tout en jaugeant d'un œil sa compagne de ballade, elle voyait bien que Perséphone, du regard invitait son époux à les rejoindre ce qu'il fit d'ailleurs alors que la fille étoile s'exprimait sur le fait qu'il  était resté en retrait un peu plus longtemps.

- Vous ne venez pas oncle Hadès ? Je suis sur que Perséphone serait ravis que vous nous accompagnez dans notre visite de ses somptueux jardin et je suis du même avis pour une fois que je viens vous voir j'espère votre compagnie à tous les deux.

Attendant donc avec l'épouse de son oncle  que celui-ci les rejoignent, la fille-étoile observait le magnifique parterre de fleurs, digne de la déesse du printemps à ses côtés. Hadès ne tarda d'ailleurs pas à les rejoindre ne se faisant jamais prier au demande de sa femme. Elle voyait bien qu'auprès de lui Perséphone était heureuse alors pourquoi sa tante Demeter ne le voyait pas et surtout ne l'acceptait pas. N'était-elle pas censée vouloir le bonheur de sa fille unique ? C'était un mystère pour elle d'ailleurs les réactions de sa tante. heureusement pour elle sa mère n'avait jamais été aussi accrochée avec elle une chance. Même si elles étaient fusionnelle sur certain point il y avait des limites tout de même.

Sortant de ses pensées pour se reconnecter avec le monde qui l'entoure Astrée vit enfin son oncle prendre place de l'autre côté de son épouse. satisfaite sans doute bien moins que l'épouse de se dernier elle leur sourit et les suivis. C'est alors qu'elle vit Cerbère accourir et amusée vie Perséphone le changé en trois petits chiens tous plus mignons les uns que les autres autrement dit parfaitement identique cela va de soi et elle semblait fière et amuser en regardant son époux de sa petite farce. Il faut dire que cela n'était rien de bien méchant, certes le gardiens de l'enfer qu'était ce chien à 3 tête était à présent plus mignon qu'effrayant et bien moins grand surtout.


-  Voilà une ballade qui sera des plus agréable en compagnie des maîtres des lieux. Tous le monde ne peut pas se venter de l'avoir fait car je suppose qu'il n'y a que peu de visite ici ce qui est fort dommage c'est tout de même un bel endroit.





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Invitation aux Enfers
Astrée & Perséphone & Hadès | Automne



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Je ne prêta pas attention aux propos de Astrée quand aux sentiments l'un envers l'autre. Les démonstration d'affection à l'eau de rose, ce n'était juste pas ma tasse de thé. Les actions avaient bien plus de valeurs à mes yeux qu'un poème et la bouche en cœur. On était le roi des enfers, ou on ne l'était pas. Alors quand je me retournai pour tendre ma main vers Perséphone, elle avait déjà descendu à son tour les marches du piédestal et s'était dirigée vers nous. Le regard le plus doux, que je pus avoir, elle prit enfin ma main. Son regard ainsi que son sourire me fis souffler intérieurement. Bon, l'initiative semblait lui plaire. Elle garda sa main dans la mienne alors qu'elle me complimentai à son tour. Oui, effectivement. Mais sans elle, je n'aurais jamais eu l'idée de les créer. Alors, peut être que Astrée avait raison. Il aurait fallu qu'on se rencontre pour créer l'Elysion.

Elle pose sa tête sur mon épaule puis elle se redressa pour parler à Astrée. La chaleur de la jeune femme à mes côtés me rappela que j'avais de la chance mais je sentait une retenue chez elle, aussi, je ne pus qu'exprimer mon inquiétude. Et si cela ne lui avait pas plu ? Alors pour toute réponse, elle m'embrassa la joue pour me murmurer que c'était parfait. Mon inquiétude se stoppa immédiatement alors qu'un sourire franc se dessina sur mes lèvres. Astrée avait pris la parole également expliquant qu'elle était contente de venir comparé aux imbéciles sur l'Olympe. Je croisais les bras, tout à fait d'accord à ses propos. Une exclamation dédaigneuse plus tard, je finis par lui répondre, le regard sincère.

-C'est bien pour ça que je ne monte plus sur l'Olympe qu'en cas d'extrême nécessité.

Puis Perséphone attrapa les deux mains de Astrée dans les siennes et lui parla des jardins. Un sourire bienveillant passa sur mes lèvres alors qu'elle ne laissa pas le temps à Astrée de répondre calmement et les deux jeunes filles finirent par se diriger à l’extérieur du palais. Je restais un moment à l'intérieur alors que Astrée finit par répondre à Perséphone. Puis ma femme tourna son regard vers moi comme pour m'inviter à les rejoindre. Astrée semblait l'avoir remarqué aussi, elle mit en parole ce que, silencieusement, ma femme m'avait demandé. Je roulais des yeux mais les suivit avec un sourire. Je me plaçais au côté de ma femme et garda mes mains dans le dos, profitant de ce moment de paix et de calme.

Perséphone siffla alors et Cerbère en profita pour débarquer. Le faux soleil réveilla les plantes aux couleurs du printemps. Les fleurs semblaient terriblement vivante quand Perséphone était là. Elles semblaient revivre comme si leurs force vitale leurs étaient rendus et déjà, le grenadier au fond du jardin fleurissait. Toujours sans rien dire, Cerbère s'approcha, content de nous voir comme à chaque fois et Perséphone tendit le bras vers lui, le transformant en trois malinois parfaitement identique. La seule chose qui les différenciaient étaient leurs caractère. Aussi, Thanatos était toujours le plus calme alors que Zoï était le plus dynamique. Toujours à demander, caresse, jeu, débordant de vie. Il portait bien son nom. Et il préférait Perséphone qui était bien plus dynamique que moi.

Je pus voir Astrée, du coin de l’œil alors que Perséphone tourna un regard espiègle à mon encontre. Je lui rendis le même regard, amusé qu'elle prenne sa place aussi facilement ici. Elle était tellement altière. J'étais fier d'avoir Perséphone pour femme et rien n'aurait pu me combler de bonheur. Puis Astrée reprit la parole alors que je tournais mon regard vers elle. Un regard boudeur certes, enfantin.

-N'allez pas croire cela Astrée. Mon imbécile de petit frère avec sa fourchette n'hésite pas à venir me déranger pendant que je bosse.

Evidemment, Poséidon n'hésitait pas à venir et ce, à l'improviste, me provocant ouvertement. Puis je tournais mon regard vers les deux jeunes déesses. Gennisi, Zoi et Thanatos jouaient ensemble dans les parterre de fleurs et d'herbe alors que l'on tournait à un angle pour continuer la visite des jardins. Plus haut, surplombant le palais et les jardins, se trouvaient une petite place. Tout en cercle, entouré de colonne, se trouvaient un immense bassin circulaire en son centre. Au milieu, une statue de marbre y étaient posée. Les moires. Elles prenaient forme de statue mais elles étaient bien vivante. Elles possédaient l'entrée du puits des âmes. Possédant la connaissance du passé, du présent et du futur. Peut être que j'irais les voir, à l'occasion. J'avais quelques questions à leurs poser.

Retournant mon regarder vers Astrée et Perséphone, je rattrapais le fil de la conversation alors que je m'abaissais pour ramasser un disque par terre et le lancer pour les malinois. C'est vrai que cerbère était bien moins menaçant sous cette forme mais il prenait son rôle très au sérieux. Mais dans cette intermède idyllique, lui aussi, avait le droit à une petite pause.
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Lun 23 Mar - 13:08
Invitation aux Enfers1088mots
Perséphoine
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Les plaintes quant aux Olympiens faites, tu eus tout de même un léger sourire gêné. Qu'il était étrange de se moquer ainsi, ou presque d'insulter la majorité. Celle même qui ne voyait en le monde souterrain que des terres esseulées et ravagées par le feu. Alors qu'il n'en était rien, exception faite pour le Tartare cependant, parce qu'il fallait bien un endroit pour punir les âmes qui le méritaient. Et alors que tu quittais ton amour et amant de yeux pour reprendre ton chemin, tu regarda du coin de l'oeil Astrée qui contractait tes mots, alors qu'ils étaient mutins. Tu savais pertinemment qu'il avait compris ton regard, à force il y avait des moments où seul un regard suffisait pour que vous vous compreniez. Vous aviez développé une belle complicité. Alors, il n'avait pas besoin d'invitation à les suivre. De plus, il était le Roi des Enfers, il pouvait bien faire ce que bon lui semblait, et cela incluait aussi laisser sa Reine seule en compagnie d'une vieille amie. Tu voulus faire part de ton avis à ta demie soeur, mais cela te semblait dépassé, alors tu n'en fis rien. Oui, par moment il y avait des choses que tu ne supportais pas, mais que tu préférais taire par crainte de blesser le monde. Sauf quand il s'agissait de punir une âme, fait rare, alors là tu pouvais te lâcher. Et c'était comme si un hiver glacial s'abattait sur le fautif. Enfin, tu eus un léger rire alors qu'il semblait vous suivre par obligation.

« Tu sais Astrée, Hadès sait parfaitement que je préfère jouer avec Cerbère dans les jardins, plutôt que lui. » lui dis-tu, assez fort pour que ton mari puisse l'entendre. Ton rire parti de plus bel. Le pic lancé, tu étais plutôt satisfaite. Puis tu tournas la tête vers le concerner pour lui tirer la langue furtivement. C'était tout de même dingue d'observer le nombre d'émotion à la seconde que tu pouvais ressentir. Tu pouvais passer d'un air grave et sévère à un air joueur et rieur en un rien de temps. Une fois arrivés en dehors de la demeure, tu finis par lâcher la pauvre Astrée, en prenant une grande inspiration et en fermant les yeux un instant. Les bras le long du corps, tu sentis la langue de Zoï venir te chatouiller les doigts. Oui, même Cerbère avait le droit de profiter d'un peu de repos. Il retournerait bientôt à sa place, lorsque son maître le lui ordonnera.

Ouvrant à nouveau les yeux, tu regardas autour de toi. La vallée, les cours d'eau, les collines fleuries et les monts qui abritaient là bas les demeures des héros et érudits. Puis sur le côté, une place qui te fit froid dans le dos. S'il y avait bien une chose que tu n'appréciais pas dans l'Elysée, c'était cela. La place des Moires, qui te faisaient réellement peur. Mais là étaient leur place, alors tu n'avais jamais rien dit à ce sujet. Respectant le choix qui avait été fait. Montrant le lieu du doigt à Astrée, tu commenças : « Tu m'excuseras, mais j'évite d'aller là bas. Il s'agit de la place des Moires, et je préfères les laisser tranquilles. Si tu veux bien me suivre. » Tu tendis une main devant toi, indiquant le chemin à ta demie-soeur. Elle ne pouvait pas se tromper, il y avait un chemin pavé de blanc qui évitait que l'on vienne abîmer les fleurs, longeant les différents champs colorés. Une douce odeur émanait de ceux-ci d'ailleurs. Si bien que, inconsciemment, une couronne de fleur rouge-rosées vint habiller celle, peut être un peu dure, des Enfers.

Et comme pour répondre aux dires d'Astrée, tu fis, l'air triste : « Je ne veux pas que l'Elysée, ni les Enfers, soient une attraction. Je veux que les Champs Elysées gardent leur tranquillité. Et je craints que s'ils deviennent populaire, nous ne pourront plus travailler correctement. » Tu restas un instant le regard rivé dans le vide. Tu avais dit cela comme s'il s'agissait d'un refrain appris par coeur, alors qu'il n'en était rien. Tu ne voulais pas que tout l'Olympe descende ici bas. Tu voulais être égoïste, garde Hadès pour toi seule pendant six mois de l'année, une fois par ans. Par moment tu voulais oublier vos obligations, pour n'avoir que lui. Le dialogue n'était pas obligatoire, tu voulais seulement sa présence. Car tu pouvais passer des heures à seulement l'observer travailler. Et lorsqu'on te l'arrachait pour qu'il vienne à l'Olympe... Une fois tu avais failli faire cramer votre demeure, de colère. Même Cerbère avait eu peur de toi ce jour là, et c'était en voyant sa réaction que tu t'étais calmée. Quoiqu'il en fut, tu passas tes pouces sur ton visage, comme pour vérifier qu'aucune larmes n'avaient couler, ce qui était bien le cas.

Tu te retournas, cherchant des yeux Hadès, ne serait-ce que pour un peu de réconfort. Le voyant alors non loin de toi, tu tendis une main vers lui, tu le voulais tout près de toi. Il pouvait bien continuer à jouer avec Cerbère ainsi. Et comme une illumination qui traversa ton esprit, tu eus un sursaut avant de poser ton regard sur Astrée, un doux sourire accroché aux lèvres. « Il y a bien un endroit que j'adore ici, nous allons y aller. Mais avant tout, là bas sur les monts, sont les habitations des hommes qui ont terminé leur vie sur terre. » annonças-tu, presque excitée par ton idée. Il t'en fallait vraiment peu pour changer d'émotions, vraiment peu. L'idée que tu avais eut était ce petit îlot, comme ton jardin secret. Celui qui abritait le grenadier, qui avait été aménagé pour être à l'ombre du faux soleil. Un endroit ravissant, que tu te complaisais à visiter de temps en temps. Surtout lorsque tu venais prendre soin du grenadier, et que tu savais que Hadès ne pouvait pas être déranger par tes histoires égoïstes. « D'ailleurs, n'hésite pas à me dire s'il y a un coin en particulier que tu voudrais visiter. L'Elysée est plein de petits détails et recoins. Il est complexe. » finis-tu par dire, un sourire en coin sur le visage.



Je voulais aussi vous partager ma vision de l'Elysée, complètement biaisée par le jeu xD:
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“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”

FT Persephone & Hadès


Astrée  notre fille étoile ne put qu'esquisser un sourire amusée à la ouse d'Hadès lorsqu'il lui dit qu'elle se trompait et que Poséidon ne se gênait pas pour venir ennuyer son aîné sans  s'annoncer. Et elle devait lui reconnaître cela, son oncle souverain des ers dès qu'il s'agissait d'ennuyer ses frères n'étaient certainement pas le dernier là-dessus. Oh bien sur c'était sans doute sa façon à lui de montrer qu'il tenait à son frère où alors juste un moyen subtile de le faire enrager. Cette option lui sembla plus probable, plus véridique en fait.

- Je peux le comprendre oncle Hadès, il est vrai qu'oncle Poséidon n'est pas le dernier à aimer vous faire enrager  que se soit vous ou mon père. Cependant j'ignorait qu'il venait vous ennuyez ici sans se faire annoncer avant . Mais après tout  je ne suis pas du genre à tous connaître et j'évite  les ragots qui peuvent s'entendre sur le mont Olympe plus possible. Tout comme ma mère je me dois de garder les idées claire et rester partiale dans la mesure ou j'enseigne au mortel la justice.Ou serait la justice sije prêtait fis à de simple rumeur lorsque je pèse une âme. Et je suis sur que vous pouvez le comprendre mon oncle car vous juger tout aussi impartialement que moi ceux qui entre dans votre territoire.

Il est vrai qu'Astrée savait parfaitement bien ce que l'on disait de son son oncle sur l'Olympe mais aussi elle avait pu observer et ce avec justesse le sort des âmes qui pouvait passer les enfers. SI Elysion était un endroit magnifique le tartare lui, portait bien son nom d'enfer. Sortant de ses pensées en continuant son cheminement guidée par sa demi-sœur, Astrée l'entendit lui parler et lui montrer l'endroit en question, la place des moires lui apprit-elle et rien qu'au nom elle en frissonna. Soyons claire, les moires étaient une trinité sombre au seins du panthéon grec et elles étaient craintes car elle avait les fils de vies des mortels entre leur mains et un pouvoir qui  allait du passé au futur c'était forcément effrayant. Et si elle ne redoutait pas grand chose en étant immortelle, Astrée n'avait que peu envie de croiser les 3 sœurs dont les yeux étaient des orbites vides se partageant pour elle trois un sœur et unique œil.

- Je ne tiens pas vraiment à m'en approcher non plus tu as raison autant aller plus loin. Je te suis Perséphone je suis sûr qu'il y a bien mieux à voir qu'une place où se trouves ses trois-là... Sans être offensante envers elle je trouve qu'elles font peur à pouvoir voir
le passé, présent et le futur...


Astrée en frissonna quelque peu et secouant la tête pour chasser cette sensation elle suivit donc ses hôtes s'éloignant ainsi de cette place sordide. L’oppression s'éloigna comme la place ce qu'elle apprécia grandement il faut le reconnaître. La jeune déesse ailée, profitait de ses trop rares moment en compagnie de sa demi-sœur et de son oncle dans un cadre magnifique , et surtout d'une conversation saine et instructive. Bien sur ils ne parlaient pas travail, mais au moins la conversation ne tournait pas autour de futilités. elle convenait volontiers qu'un tel spectacle ne devait être connue de tous au risque qu'il soit engloutis quelque part. Elle comprenait donc les propose de sa demi-sœur sur le sujet en question et quoi de plus naturel non?  

- Je te comprends Perséphone, et je dois dire que je suis de ton avis. Un tel endroit doit-être gardé pour quelques rares personnes  dont toi et mon oncle Hadès et puis... je dois admettre que si il y avait des allés et venu vous ne seriez jamais plus tranquille tous les deux. Cela ne donnerait vraiment rien de bon et puis être importunés chez soit pour un oui ou pour un nom par quelqu'un qui n'y a pas été invité n'est pas quelque chose d'agréable je suppose.

Il était vrai que si Astrée jugeait de la situation avec justesse dans ses mots cela n'état qu'un reflet de ce qu'elle avait toujours pu observer. S'étant toujours isolé des autres elle n'avait jamais vraiment eue ce type de situation elle ne parlait donc pas vraiment en connaissance de cause mais plutôt en témoins de choses qu'elle avait observée chez les humains plus que chez les dieux. En outre, elle ne comprenait pas ceux qui agissait de la sorte mais peut-être était-ce  juste car elle était que par trop solitaire après tout.

- L'invitation est retenue Perséphone, et je ne manquerais pas de passer vous voir lorsque  mon devoir me le permettra et que je serais sur de ne pas déranger car vous avez tout de même fort à faire ici tous les deux. Il ne serait pas bon de m'imposer avec si peu d'égard pour vos tâches dans votre royaume.

Souriant et continuant donc la visite en compagnie de Perséphone qui n'avait guère lâcher ses mains pour s'assurer sans doute qu'elle la suivait, la déesse de la justice des hommes appréciait grandement la visite. Au bout d'un certains temps, Perséphone se stoppa et Astrée se tourna en même temps qu'elle pour voir ce qui avait attirer son attention derrière elle et c'est là qu'elle vit que son oncle Hadès était resté un peu en retrait et tout en jaugeant d'un œil sa compagne de ballade, elle voyait bien que Perséphone, du regard invitait son époux à les rejoindre ce qu'il fit d'ailleurs alors que la fille étoile s'exprimait sur le fait qu'il  était resté en retrait un peu plus longtemps. Et comme par enchantement l'humeur si triste de sa demi-sœur changeant instantanément sans doute à cause de l'idée qu'elle venait d'avoir, cela fit sourire quelque peu Astrée toujours amusée de voir à quel point Perséphone pouvait passé du rire au larme selon l'expression des mortels bien que là ce n'était pas vraiment cela, mais du moins cela exprimait bien qu'elle passait d'un sentiment à un autre comme on sautait du coq à l'âne.

- Je te suis cela doit vraiment être très beau tu semble très enjouée d'y aller. Non je n'ai pas vraiment d'envie particulière  juste visiter est déjà bien plaisant rassure toi. Néanmoins si durant la ballade un endroit éveille a curiosité je ne manquerais pas de te le faire savoir tu peux compter là-dessus.

Astrée sourit à Perséphone et pris donc à sa suite le chemin de marbre blanc qui traçait une allée qu'ils empruntait et qui permettait de protéger ce magnifique parterre florale. Il fallait dire que cela aurait été dommage de marcher sur de tel merveille aux risques de les abîmer. a nature était à respecter et remplis de temps de beauté qu'Astrée s'était toujours dit que les humains  devrait plus souvent regarder ce qu'ils ont autour d'eux et profiter, mais il ne faisait que détruire la nature souvent par orgueil et désir de richesse... de pouvoir c'était triste quelque part. Sortant une fois de plus de ses pensées pour se reconnecter avec le monde qui l'entourait, Astrée observait ce paysage magnifique qui semblait hors du temps dans ce lieux ou le soleil ne pouvait être qu'artificiel et pourtant... les fleurs sous l'influences de la déesse du printemps n'avait rien à envier à celle qui baignait dans le soleil, loin de là.

-  C'est vraiment magnifique et reposant ici. je ne regrette pas d'être venue vous voir. Cela me change de ma routine habituel et la balade est très plaisante.






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Lun 23 Mar - 21:20

Invitation aux Enfers
Astrée & Perséphone & Hadès | Automne



I won't pretend that I resist temptation
I think it's funny when you preach damnation


Astrée me répondit sur Poséidon, qu'elle ignorait qu'il venait à l'improviste. Elle me rapelle sa fonction, aussi je haussais les épaules pour clôturer ce discours. Je n'avais pas envie de parler de mes frères et je n'avais pas envie de parler de mes fonctions ici. Alors, quand Perséphone prit les mains de Astrée dans les siennes et l'avait traînée dehors avec toute la ferveur dont elle disposait, je ne pus que sourire face à tant d'entrain.

Perséphone avait vérifié si je les suivait d'un regard ce qui avait alerté Astrée et qui l'avait conduit à me dire que je pouvais venir. Je n'avais pas besoin d'une invitation puisque j'étais LE propriétaire des lieux mais en vérité, une petite intermède ne pouvait pas me faire de mal. Alors, je m'avançais pour les rejoindre, me posant au côté de ma femme qui avait déjà tourné son visage vers son amie et qui lui annonçait qu'elle préférait se balader avec Cerbère plutôt qu'avec moi.

Elle tourna son visage vers moi et me tira la langue et aussi mutin qu'espiègle, j'annonçai aussi calmement que possible, toujours en gardant ce sourire insolent en coin de lèvres.

-Je confirme les dires de Perséphone. Il y a bien d'autres jeux auxquels je préfère jouer. N'est ce pas ?

Moi ? Poser un malaise ? Absolument pas mon genre ! Un bref regard amusé à ma femme, je continuais à les suivre sortant du palais pour nous retrouver dans les jardins. Un regard vers les moires, je me rembrunis aussitôt en même temps que Perséphone qui avait pointé du doigt le temple pour le montrer à Astrée. J'étais de l'avis de Perséphone sur ce point là. Mais je savais bien que bientôt, je devrais aller les voir. La question sur cette déesse chasseresse était toujours dans mon esprit et il était temps que j'en ai finalement le cœur net.

Astrée semblait du même avis que ma femme ce qui était une bonne chose. Elle lui indiqua le chemin blanc à travers les parterre de fleurs je les suivis alors que Cerbère s'amusait à sauter, courir et se coucher dans les champs. J'avais attrapé un disque et jouait avec eux quand je sentis Zoï passer entre Perséphone et moi pour venir se frotter tel un chat contre sa maîtresse. Perséphone lui caressa le dos alors que je continuais de jouer avec Thanatos et Gennisi. Et là, les paroles tristes de Perséphone résonna au plus profond de moi.

Je m'arrêtais, fixant le dos de la jeune femme, réalisant qu'elle avait exactement les mêmes envies que moi. Si Astrée n'était pas là, je l'aurais prise dans mes bras pour la prendre là, dans le parterre de fleurs et lui montrer tout mon amour. C'était déroutant de se rendre compte qu'une autre personne regardait dans la même direction que soi. Alors, je préférai jeter une autre fois le disque pour reprendre une certaine contenance. Puis je vis ma femme s'arrêter une nouvelle fois pour me chercher du regard. Je pouvais y lire de la tristesse et une pointe d'espoir. Je n'attendis pas qu'elle pointe sa main vers moi pour commencer à m'avancer alors que Astrée ne sembla pas remarquer la peine soudaine de Perséphone. Comme un non dit, encore une fois, un regard avait suffit pour nous comprendre. Je finis par tendre ma main vers elle entrelacer nos doigts entre eux. Je la pressais doucement pour lui dire que j'étais là. Que je serais toujours là pour elle.

Perséphone sembla avoir alors une idée en tête car d'un coup, elle se mit à sourire. C'était l'un des traits de caractère de la jeune déesse. Passer d'un état à un autre, aussi changeante que le vent de printemps. Gardant ma main dans la sienne, elle montra à Astrée l'endroit où les hommes bons pouvaient passer une deuxième existence après la mort. Ce à quoi la déesse étoile lui répondis qu'elle sera ravie de voir ce lieu et ne manquera pas de l'interpeller de toute manière si quelque chose l'intriguait. L'avantage des jardins des Champs Elysées c'était la grandeur des parcs. Evidemment, possédant tout le monde souterrain, c'était comme un monde dans un monde. Alors, évidemment, les jardins étaient immense. Et ayant l'éternité pour vie, il était facile à chaque année de les faire grandir et évoluer.

Alors quand Astrée termina expliquant que la ballade était plaisante et que les jardins était magnifique et reposant, je ne pus que gonfler le torse, fier de l'initiative que j'avais eu de les créer. Je laissais les jeunes femmes parler entre elle, n'intervenant pas dans leurs discussions, me laissant simplement guidé par ma femme, nos mains liés alors que les trois malinois s'amusaient à nous suivre, se pourchassant, et jouant. La douceur de vivre était présente ici et il est vrai que cette promenade était relaxante mais je mettrais un terme à cette réunion pour les laisser seules. J'avais tout de même du travail à accomplir et je ne pouvais me permettre de lever le pied toute la journée.

Je levais ma main vers les trois malinois et les changèrent en Cerbère et un seul regard vers l'animal qui compris qu'il fallait qu'il retourne à son poste. C'est à dire, surveiller l'entrée des Enfers. Thanatos qui était au milieu était la tête pensante. Il s'éloigna alors que je me retournais vers les déesses qui continuais de parler entre elles.

Perséphone sembla nous guider vers le grenadier. C'était son endroit préféré. Son jardin. Je respectais toujours son intimité quand elle s'y rendait tout simplement parce que c'était pour moi normal de lui laisser tout l'espace dont elle avait besoin. Sans compter, le nouveau jardin que je lui avais créé cette année. Un nouveau lieu pour elle.
n°3 | 1007 mots
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Jeu 26 Mar - 14:50
Invitation aux Enfers1214mots
Perséphoine
Hadès
Astrée
Serrant la main d'Hadès dans la tienne, tu réfléchissais a ce que tu pouvais lui montrer réellement, à Astrée. En vérité, tu n'avais aucune envie d'aller dans la petite citadelle humaine, tu n'aimais devoir aller les voir alors que tu avais de la visite. Bien que les visites ne soient pas régulières et nombreuses, ce qui ne te dérangeais aucunement étant donné que tu arrivais tout de même à trouver des occupations, tu ne voulais pas déranger les humains. Enfin, même si déranger était un grand mot, tu ne voulais juste pas les voir quand tu avais de la visite, un point c'est tout. Et tu n'avais pas d'explications à donner, que ce soit à tes invités ou à toi même. Du coin de l'oeil tu observas tout de même les trois chiens s'amuser dans les fleurs, jouant avec le disque que leur maître leur lançait. Tu eus un sourire. Toi aussi tu aurais bien pris le temps pour marcher un peu dans les parterres floraux. Qu'est-ce qui t'en empêchait après tout ? Cela ne faisait sans doute pas assez Déesse, ou Reine. Seulement campagnarde. Mais en vérité tu t'en moquait bien. Tu pouvais bien faire ce que tu voulais après tout, l'Elysée était devenu ton domaine. Gentiment offert par ton tendre époux. Tu t'arrêtas alors un instant, comme perdue dans tes pensées. Regardant la route de marbre, tu réfléchis.

Tu eus un léger gloussement avant de tourner la tête vers Hadès, l'air totalement espiègle et joueur. Tu fronças les sourcils, cherchant encore un instant le ton sur lequel tu voulais lui parler. Tu lâchas alors sa main pour venir lui caresser la joue. « Tu voudras bien enlever tes chaussures, mon amour ? » lui chuchotas-tu, peu de temps après qu'il ai fait retourné Cerbère à sa juste place. Il était le maître des Enfers, par définition meilleur juge que toi lorsqu'il s'agissait de mettre en pause ou non le Gardien de la porte des Enfers. Puis tu te tournas vers Astrée, un doux sourire sur les lèvres, pointant à nouveau l'endroit vers lequel vous alliez vous diriger. De loin, on voyait une petite colline, surplombée par le grenadier géant. Des colonnes serties de lierres grimpants entouraient la place ombragée. « Nous allons couper par les champs. Par moment je ne trouve pas le marbre très agréable à marcher. Oh ! Et ne t'en fais, tu peux garder tes chaussures, elles t'éviteront. » dis-tu à ton inviter, alors que tu étais toi même en train de quitter les tiennes en essayant de maintenir ta robe au niveau des chevilles, tant bien que mal. Puis tu t'arrêtas en court de route, tu venais réellement de demander à ton amant de quitter ses chaussures et d'assurer à ton inviter que les fleurs s'écarteraient sur son passage ? Tu cherchas un instant le pourquoi de tes propos incohérents, avant de hausser les épaules et de poser tes pieds nus dans la terre douce et chaude du parterre.

Tu t'avanças de quelques pas, enfonçant légèrement tes orteils dans la terre, ce qui te fis lâcher un léger gémissement de bien être. Il t'en fallait peu, même la sensation de terre sur ta peau pouvait te faire oublier tout tes tracas. Tu te tournas vers Astrée et Hadès, les invitant à te suivre d'un coup de tête, le sourire aux lèvres. D'une main, tu tenais ta robe ainsi que tes chaussures, de l'autre tu effleurais du bout des doigts les fleurs qui semblaient s'ouvrir davantage sous ton passage. Ton passage dans la terre était clairement revitalisant, si bien que tu te sentais pleine d'une énergie nouvelle. Comme si les traquas que tu avais pu avoir plus tôt avaient tout bonnement disparut, laissant place à une douce et bonne énergie. C'était sans doute pour cela que tu avais demandé à Hadès de quitter ses chaussures, tu espérais sans doute qu'il puisse percevoir ce que toi tu pouvais percevoir. Tu te sentais si légère... Si bien que tu en avais presque finit par oublier que tu n'étais pas seule. Tu ne t'étais pas retourner pour voir si ton mari et ta demie-soeur te suivaient, ils avaient tout intérêt à le faire de toute façon. Mais l'Elysée était ton monde, ta bulle. Et gérer tes émotions et tes façons de paraître t'étaient bien plus compliqué qu'à la normale. Surtout si tu te mettais à traverser la terre, comme là. Marchant donc en silence, sentant les émanations des fleurs et tu écoutais. Tu écoutais le bruissement des fleurs à votre passage, celui de l'eau qui pouvait couler non loin.

Tu marchais mécaniquement, tu aurais pu fermer les yeux et tes pas t'auraient tout de même guidée à bon port. Cependant, arrivant au pied de la colline du grenadier, tu quittas le champ pour retrouver le marbre froid. Tu ne voulais pas monter par les champs, tu avais trop peur de glisser et d'abîmer le sol. Tu frottas machinalement tes pieds, qui étaient pourtant propres, comme si tu ne voulais pas tâcher le marbre de terre. Ne prenant pas la peine de remettre tes chaussures, tu montas les quelques marches pour te retrouver à l'ombre de l'immense tonnelle végétale qui couvrait le lieu. Le grenadier, entouré d'un bassin, régnait au centre de la petite place. Et tu souris à sa vue. Tu t'approchas de l'arbre, pour t'asseoir sur le bord du bassin, venant poser une main sur une des racines qui s'était faite la malle. posant tes chaussures à côté de toi, tu observas tes deux invités. Car dans ce lieu, même Hadès lui-même devenait ton invité. « J'espère que la balade t'as plu. Excuse mon silence... Au fait, tu m'en vois navrée, mais personne n'est autorisé à toucher à ses fruits, pas même les invités de marque. » fis-tu à l'intention d'Astrée. Te voilà qui rejouais les égoïstes. Mais ce fruit n'existait que pour Hadès et toi, et tu refuser catégoriquement que quiconque, sans ta permission, n'y touche. Tu avais peu de règles, mais celle qui concernait le grenadier t'étaient sacrées.

Puis tu grimaças légèrement, tu avais oublié quelque chose qui te semblais important. Voilà un moment déjà que ta demie-soeur était présente, mais tu ne lui avait pas encore proposé à boire. Tu mordant la lèvre, te sentant idiote, tu posas ton regard dans celui de ton aimé. Encore une fois tu te mis à chercher tes mots, tu ne savais jamais trop comment l'appeler en public. Si tu devais utiliser les petits surnoms que tu lui donnais, ou bien l'appeler par son juste titre. Alors tu hésitas : « Hadès... Il... Il devrait y avoir des coupelles ou autre près de toi, si tu veux bien... ». Tu lui avais montré l'endroit où elles pouvaient se trouver, c'était vraiment tout proche, à côté d'un des piliers, sur une table garnie de feuilles et de fleurs. Vous n'auriez qu'à vous en servir pour boire directement l'eau du bassin, qui était parfaitement seine.



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Ven 27 Mar - 17:51
Une invitation aux enfers
“ La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.”

FT Persephone & Hadès


Astrée notre fille étoile, avait regardée avec une légère curiosité la partie dédiée aux hommes quelques instant. Elle pouvait cependant  reconnaître que cela ne devait pas être l'endroit à visiter  dans les enfers surtout lorsque l'on voyait Elysion et ses champs de fleurs tel des pierres précieuses. Lorsque sa demi-sœur Perséphone lui dit qu'ils allaient traversée elle la vit retirer ses chaussures t fit de même esquissant un sourire quand elle lui à dit que c'était inutile.

- Je pourrais ainsi sentir la terre sous mes pieds et puis cela ne me gène as et je réfère éviter le risque de piétiner ses magnifiques fleurs même si  elles  s'écartent à mon passage je préfère ne prendre aucun risque elles sont si magnifique.

Il est vrai qu'Astrée était très respectueuses des choses et surtout de la nature qu'elle appréciait. Et puis lorsque l'on était invité quelque part il ne serait pas polis de défigurer le paysage même si cela n'était que peu probable autant éviter tout risque n'est-il pas? Enfin pour elle en tous les cas. Suivant dans les fleurs ses hôtes, la fille étoile sourit de toute ses dents heureuse de ce moment profitant d'être loin de l'Olympe et de ses histoires, de pouvoir respirer un peu à l'extérieur de l'ennuie qui y régnait. Par ailleurs, à la vu de la place et du grenadier qui se rapprochait la jeune déesse curieuse fit le tour de la place du regard. A la remarque de Perséphone sur les fruits de l'arbre elle ne releva pas jugeant que cela n'était guère utile.

D'une part elle se doutait que Perséphone disait cela au regard des conséquence d'un tel acte et puis d'autre part, il ne lui serait jamais venu à l'esprit de se permettre de cueillir un de ses fruits sans permission où même tout court. Les fruits des enfer, était spéciaux et mal serait aviser d'en manger lorsque l'on était pas résident. Après tout c'était à cause du fait qu'elle avait manger quelque chose des enfers que Perséphone fut contraint de se partager 6 mois de l'année auprès de sa mère et 6 mois en enfer. Quoique sa demi-sœur aurait été sans doute plus heureuse  de vivre tous son temps avec son époux, mais la possessivité de sa mère avait contribué à cette détestable situation pour eux deux cela e devait guère être facile à vivre.


- Ne t'inquiète pas va, la promenade fut fort agréable et cela me change des promenades sur l'Olympe en solitaire. Pas que je n'aime pas la solitude, mais un peu de compagnie est toujours fort agréable à mon sens.

Astrée pris le temps de faire apparaître ses ailes pour les dégourdir un peu
avant de les laisser apparente, reposant dans son dos pour sentir l'air passer au travers. Si avec Eros, Astrée était la seule autre déesse ailée connue sur l'Olympe, elle appréciait grandement les laisser apparente lorsqu'elle n'était pas en intérieur bien sûr, aussi les jardins était l'endroit rêver pour les dégourdir un peu non ? Observant les alentours pensive, la jeune déesse se prit à imaginer la vie que pouvait avoir ici les humains qui avait atterrit à Elysion. En tant que déesse de la justice des hommes, Astrée tout comme sa mère Thémis, pesait l'âme des mortels sur la balance de la justice décidant
si ils avaient été vertueux ou non et ce premier jugement en soi était un pas de plus vers les enfers pour certains. D'ailleurs seul les âmes ayant de quoi payer leur passeur pouvait rejoindre les demeures des juges puis Elysion où les terres du tartare selon la sentence des juges infernaux. En y repensant les âmes n'ayant pas de quoi payer errait sur terre indéfiniment cela ne devait être guère joyeux non plus.

Les dieux n'avait pas ce problème, seul une blessure mortelle pouvait les plonger dans ce que l'on appel un sommeil éternel sinon passé un certains temps tous comme les monstres et autres créatures ils se reformaient tous simplement et un nouveau cycle de vie était enclencher et ainsi de suite. Puis Perséphone sembla demander à son époux des coupes pour se rafraîchir. Prenant la coupe vide que lui tendait Hadès, elle fit usage de ses pouvoirs pour la remplir de nectar, pensive elle n’oubliait pas les règles. Ne jamais rien boire ou manger venant des terres infernales


Entendons-nous bien, elle n'avait nullement la prétention de penser que l'on puisse vouloir l'empoisonner surtout qu'elle avait été conviée en ses lieux, mais les règles étaient les règles et elle se refusait à y déroger sachant pertinemment les conséquences dans le cas contraire. Elle ne voyait aucun mal à venir les visiter mais vivre ici même si cela était fort agréable ne serait guère pratique pour faire son devoir parmi les mortels pensez-vous. Juger les mortels depuis l'enfer n'était pas forcément la meilleurs idée de l'année cela dit cela pourrait être cocasse comme idée mais non elle laissait cela au seigneur des lieux après tout. Elle ne faisait que juger les âmes elle ne rendait aucune sentence directe pour sa part.

- Je trouve qu'il est dommage que vous ne veniez pas plus souvent sur l'Olympe on s'y ennuierais moins... Bien que je comprenne que l'endroit ne donne guère envie d'y vivre où d'y venir de façon sommes toutes régulière. Mais cela aurait le mérite qu'il y ais plus de bonne compagnie avec qui converser sans prise de tête aucune. Cela manque cruellement  là-bas en fait. Pour être honnête on les comptes sur les doigts de la mains...

Les doigts de la mains c'était tout à fit cela en y réfléchissant. Il y avait tout d'abord son altesse Héra, Artémis lorsqu’elle était là, Eros, Athéna, Apollon lorsqu'il conversait musique, Hestia, Poséidon lorsqu'il ne se fritait pas avec son frère où ne partais pas dans un débat avec Athéna et quelques autres occasionnellement mais c'était bien tout.




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Invitation aux Enfers
Astrée & Perséphone & Hadès | Automne



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Alors que je renvoyais Cerbère vers la porte des Enfers, je me sentis plus serein sur l'instant sachant que la porte soit enfin gardée. Je me détendis un instant alors que Perséphone me ramena à la réalité en me chuchotant gentiment un ordre qui me fit hausser un sourcil, interrogateur. Mais c'était dit d'une façon tellement douce et langoureuse, que cela fit naître un sourire sur mon visage. Et alors qu'elle était encore vers moi, je m'autorisais une caresse sur sa joue chaude.

-Bien évidemment.

Elle semblait vouloir descendre part les près plutôt que de suivre le chemin de marbre blanc, éclatant sous le faux soleil. Aussi, je m’exécutais et retira mes chaussures et remonta le bas de mon pantalon dévoilant mes mollets. Je pourrais paraître négligé dans cette tenue. Mais en vérité, j'étais surtout serein. C'était un sentiment que je n’éprouvais que lorsque Perséphone était à mes côtés. Alors quand elle affirma à notre hôte qu'elle pouvait garder ses chaussures, un sourire reconnaissant se dressa sur mon visage. Perséphone retira ses souliers également. Comme une connexion à travers la terre, je pouvais sentir son pouvoir traverser chaque brin d'herbe. Je me mis à observer la déesse prendre un soupir d'aise. Elle était magnifique entouré de toute ces fleurs et dans ce champ. J'aurais pu la prendre là, sur ce parterre si la voix de Astrée ne m'avait pas réveillé de ma transe visuelle. Un regard vers la déesse étoile m'apprit qu'elle avait retiré ses chaussures aussi. Un sourire passa sur mes lèvres alors qu'un sentiment profond de mépris me traversa. C'était quelque chose de mauvais que je ne voulais pas ressentir mais il m'envahit avec force. C'était pourtant si bête. Un petit détail de rien du tout, mais j'aurais préféré qu'elle garde ses chaussures pour garder notre lien avec Perséphone. C'est comme si, sur l'instant, elle s'était permise de s’immiscer entre ma femme et moi. Je fis taire ce sentiment stupide au plus profond de moi et reprit contenance. Un peu plus et j'aurais tout brûlé autour de moi. Je repris le chemin que Perséphone traçait. Les herbes hautes et les fleurs fouettaient mes poignets mais tout autour de Perséphone semblait se réveiller. Les moins fleurs qu'elle caressait s'ouvraient à son passage nous offrant un spectacle magnifique. Toute la terre semblait s'ouvrir et s'animer à son passage. J'aurais pu être à ses pieds sans problème alors qu'elle semblait nous oublier dans sa bulle de bonheur et de floraison. Elle était si belle.

Nous marchions en silence, seulement coupé par le son du peu de nature qu'il y avait ici. L'eau qui coulait en contre-bas. Le bruissement des herbes à nos passages, la terre qui semblait épouser la forme de nos pieds. J'en oubliais presque mes problèmes personnels et mon investissement dans ce lieu. Presque. Et le charme se rompit quand Perséphone toucha le chemin de marbre qui montait vers le grenadier. J'en fis de même tout en gardant le silence. Je repris contenance en passant une main dans mes cheveux alors que nous arrivions à destination. Je venais rarement en ce lieu. C'était le jardin secret de Perséphone même si je l'avais créé pour elle. Le grenadier était là depuis un moment, bien avant elle. Mais toute la place, les grillages de bois qui cachait la vue, tout ça, c'était mon oeuvre pour lui laisser un jardin secret. C'était peut être cette place qui a permit à Perséphone de ne pas se sentir si mal les premières années aux Enfers. Alors, même dans cet endroit, je me sentais comme sur une terre sacrée que je profanais de ma simple présence.

Je préférais pour l'instant rester en retrait alors que Astrée en profita pour sortir les ailes de son dos. Elle traînait presque par terre tellement elle semblait grande. Perséphone s'assit au pied du grenadier et parla de nouveau à Astrée. Un petit sourire traversa mes lèvres alors que je croisais les bras. Le grenadier avait une symbolique tellement importante pour nous deux que la savoir si protectrice avec cet arbre me rappela le lien qui nous unissait. Alors quand Astrée lui répondis poliment, lui affirmant que la balade avait été plaisante, je me permis moi aussi de prendre la parole avec dédain, confirmant ses dires.

-Je me demande bien ce que peuvent faire les olympiens à part siffler du vin et se prélasser sur leurs fauteuil en attendant que quelque chose leurs tombent dans le bec tout cuit.

Je n'aimais pas le Mont Olympe. Je n'aimais pas mon frère. Surtout. Il était vaniteux, trop fier et trop stupide pour comprendre quoi que se soit. Malgré cela, je le respectais car il est celui qui m'avait sauvé de Cronos et je le lui serait reconnaissant à vie éternelle. Perséphone reprit la parole, m'adressant la parole. Hadès. Pff, autant m'appeler Sire, cela revenait au même. Mais je comprenais sa gêne avec Astrée à nos côtés. Elle n'allait certainement pas m'appeler par l'un de ses surnoms dont elle avait le secret devant elle. Je me retournais pour voir la table et les coupelles et en tendis une à Astrée et j'en gardais une pour moi et Perséphone. Peu de personne pouvait se vanter d'avoir été servi par moi. Puis je me rapprochais de la fontaine pour prendre de l'eau et tendis alors la coupe pleine à ma femme. Et finalement rempli la mienne alors que Astrée remplissait la sienne de nectar olympien. Evidemment. Personne ne pouvait manger ou boire ce qui venait d'ici sous peine d'être à jamais enfermé ici. Je finis par boire ma coupe d'eau fraîche en m'asseyant sur en banc, près d'une colonne, en face de ma femme. Je me sentais de trop dans ce trio. Peut être devrais je les laisser seuls ? Je posais la question à ma femme silencieusement, à travers un regard. Peut être comprendra t-elle ma question ? Ou ma gêne ? Si il lui fallait de l'espace, je pouvais lui laisser. Puis Astrée prit la parole affirmant qu'on s’ennuierait moins sur le mont olympe si nous étions présent. Une exclamation dédaigneuse et méprisante naquit alors que je posais la coupe et croisa les bras de façon nonchalante. Je reportais mon regard froid et arrogant sur Astrée.

-Ah oui ? On est le couple le plus controversé de l'Olympe et pourtant le plus solide. Suffit de voir Zeus et Hera, elle même qui est quand même la déesse du mariage ! Et je doute que ma présence soit vraiment la bienvenue là bas. Zeus ne supporterais mes remarques à longueur de journée.

Un souvenir grisant de notre dernière intervention me fit soudainement sourire avec méchanceté et fierté alors que je m'étais clairement comporté comme un sale gosse face à lui.
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Invitation aux enfers | PV Perséphone & Hadès

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