Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Dans les Bois... Parents Divins : Apollon
Mer 9 Jan - 20:01
Etat Civil
Marisol de la Serna
Age : 10 ans Date de Naissance : 31 août Origine: argentine Parent Divin: Apollon Age d'entrée à la colonie: 10 ans Groupe : demi-dieu Pouvoir : Peut actuellement suggérer par la musique aux gens et monstres de faire ce qu’elle souhaite qu’ils fassent (et les endormir), à terme pourra les persuader d’agir comme elle le souhaite à travers le pouvoir d’audiokinésie. Développera le pouvoir de biokinésie, mais l’ignore (il ne s’est pas encore révélé)
Avatar : Shannen Doherty
ce que je vois...
Marisol était fine et élancée. En effet, elle était plutôt grande pour son âge. Elle nouait le plus souvent ses cheveux soyeux en de longues tresses d’un noir profond, encadrant un visage aux traits doux et enfantins. Cependant, il était marqué par le poids des épreuves qu’elle avait traversées. C’était particulièrement manifeste dans son regard. Ce dernier, aussi noir que de l’encre, donnait l’illusion qu’elle était plus vieille que son âge. D’autant que son visage et son regard étaient naturellement très expressifs. Elle savait néanmoins se composer un visage impassible, ne montrer aucune émotion, aucun sentiment. Quant à son teint, il était pâle. De sorte qu’associé à la couleur de ses cheveux et de ses yeux, on eût dit Blanche-Neige. Lorsqu’elle daignait sortir du mutisme pour chanter, on pouvait remarquer qu’elle avait une jolie voix, mélodieuse. Elle aimait à se vêtir de bleu. Dans le peu d’affaires personnelles qu’elle avait avec elle, lorsqu’elle arriva à la colonie, il n’y avait que des haillons ou des vêtements surannés (et c’était là le moins qu’on pût dire). Elle portait également tout le temps le pendentif en onyx vert qui lui venait de sa mère.
Ma psyche
Marisol était une enfant d’un grand courage, mais aussi téméraire. De sorte que si elle avait appris à toujours faire de son mieux devant l’obstacle, à ne jamais baisser les bras en situation difficile, elle avait également développé une tendance à foncer, sans réfléchir, en dépit du danger que pouvait représenter une situation. Dotée d’un sens aigu du bien et du mal pour son âge, la justice était une valeur fondamentale à ses yeux. Vive, dotée d’un fort caractère, elle entrait assez facilement dans des colères noires. Le cœur sur la main, elle volait volontiers au secours de ceux qui en avaient besoin. Naturellement très réservée, sensible et émotive, tout était tout blanc ou tout noir pour elle, elle vivait ses émotions dans toute leur ampleur (si ce n’était plus) et avait toujours eu tendance à peu partager les choses difficiles. Sa vie avait accentué sa réserve, qui était devenue extrême. Elle s’était d’ailleurs profondément enfermée dans un mutisme obstiné. D’autant que les épreuves qu’elle avait traversées lui avaient fait perdre toute confiance dans le genre humain. De ce fait, elle avait également acquis la tendance à se montrer sur la défensive. Elle ne sortait du mutisme que pour chanter des airs qui avaient marqué son enfance, quand elle en avait envie. Elle se révélerait sans doute douée dans ce domaine si elle avait l’occasion de développer sa technique vocale. De par sa sensibilité, elle lisait également assez facilement en autrui. Timide, elle n’était jamais allée facilement vers les autres. Intelligente et curieuse, elle pouvait se révéler touche à tout. Elle se montrait d’ailleurs avide de découvertes et ne demandait qu’à apprendre. Elle était d’ailleurs dotée d’une mémoire d’éléphant. Pendant ses premières années, la petite fille s’était montrée joviale, enjouée, dotée d’humour, autant de traits de caractère qui peinaient à ressortir après toutes les épreuves qu’elle avait endurées. De même, elle s’était montré très affectueuse dans ses premières années, mais il faudrait percer sa carapace pour le découvrir. Ses passions ? Entendre des histoires, regarder les étoiles – même si elle était incapable de les reconnaître ou d’identifier une constellation de l’hémisphère nord, en dehors d’Orion (l’autre constellation qu’elle connaissait bien étant la Croix du Sud) -, la musique, et plus particulièrement le piano qui lui manquait. Elle jouait également de la flûte de pan. La lecture n’était pas le moindre de ses centres d’intérêt non plus. Elle était d’ailleurs passionnée de mythologie grecque, qu’elle connaissait sur le bout des doigts.
ce qu'il y à a savoir...
1 * Suite à ce qu’elle a vécu, Marisol s’est enfermée dans le mutisme, mais ce n'est que temporaire. 2 * A la phobie de l’eau 3 * A également la phobie des avions 4 * Est passionnée de lecture 5 * Aime les animaux et se promener dans la nature 6 * Connait quelques mots d’anglais et a un fort accent argentin 7 * Joue du piano et de la flûte de pan, et est douée 8 * N’accordera que très difficilement sa confiance 9 * Ne se sépare jamais du pendentif en onyx vert qui appartenait à sa mère 10 * Ne se sépare pas davantage de sa flûte de pan
Mon histoire ma vie...
Isabel de la Serna était une jeune étudiante italo-argentine en musicologie, à l’université de Jujuy lorsqu’elle rencontra celui qu’elle croyait être un étudiant en musicologie, lui aussi. Il prétendait être américain et intéressé par la culture, la musique du pays. Il était passionné par les Arts, très solaire, doué en soins…. C’était Apollon qui avait pris la forme d’un jeune homme. Il séduisit la jeune Isabel, fut présenté à la mère de la dite jeune femme, car elle était persuadée que c’était là une histoire sérieuse. De leur union naquit Marisol. Pourquoi de la Serna, me direz-vous ? Parce qu’Apollon disparut des environs bien avant sa naissance, elle naquit donc « de père inconnu » et de ce fait, prit le nom de jeune fille de sa mère, qui, peut-être rendue méfiante par cette aventure, ne se maria jamais. Marisol grandit entourée de femmes. La seule figure masculine qu’elle connut fut son grand-père maternel. Et sa mère étant fille unique, elle n’eut ni oncle ni cousin. Ses grands-parents, Felipe et Analia, lui donnèrent une image négative de son père, car ils en pensaient du mal. Elle passa les premières années de son enfance dans les montagnes andines, à Purmamarca, au pied de la montagne aux sept couleurs. Elle gambadait dans la nature, admirait les animaux. Comme elle aimait à écouter sa mère jouer du piano et à pianoter sur les touches de l’instrument, Isabel décida d’enseigner à sa fille à en jouer. Elle eut donc une petite enfance heureuse. Jusqu’à ce jour où sa vie changea radicalement. En effet, ses grands-parents avaient décidé de déménager et de partir vivre en Patagonie, à Puerto Madryn. Ils s’étaient déjà installés là-bas et Isabel et Marisol devaient les rejoindre en avion. Seulement, après le décollage, alors qu’ils survolaient déjà la Patagonie – ils étaient aux alentours de Viedma – le pilote perdit le contrôle de l’avion – du moins était-ce là ce que les mortels prétendraient par la suite – et qu’il s’écrasa au milieu de nulle part (enfin, de la campagne déserte). Isabel périt dans « l’accident ». En fait, ce n’en était pas un, c’était juste ce que la brume faisait croire aux mortels. Marisol avait alors six ans. Les secours étant parvenus à sortir les vivants des décombres de l’appareil et Marisol en faisant partie, elle se réveilla à l’hôpital de Viedma, entourée de ses grands-parents. Elle avait complètement oublié les moments précédant la chute de l’avion. Elle découvrirait plus tard, quand elle retrouverait ses souvenirs de ce moment, la réalité. Elle apprit également à son réveil, de Felipe et Analia qui ne savaient trop comment le lui annoncer, qu’elle ne reverrait plus jamais sa mère. Et que l’enterrement était déjà passé durant son séjour à l’hôpital. Elle vécut donc ensuite avec ses grands-parents, qui l’entouraient de tout l’amour qu’ils pouvaient, favorisant ses goûts et ses dons. Ils possédaient une grande et belle bibliothèque et ce fut à ce moment-là, qu’ayant appris à lire avec sa mère, puis avec sa grand-mère, elle développa le goût de la lecture et de la mythologie grecque. Ils lui firent également donner des leçons de piano. En fouillant dans les affaires de sa mère, la petite fille retrouva une flûte de pan, fabriquée à Humahuaca. Quelques mois après l’accident qui avait coûté la vie à sa mère, et qui valut une phobie des avions à l’enfant, Felipe – qui était déjà âgé – mourut à son tour. De « mort naturelle », de « chagrin » d’avoir perdu sa fille unique. Ce fut là ce qu’on dit. Ce qui était sûr, c’est que son cœur avait lâché. Et c’était l’enfant qui avait découvert l’homme étendu au sol dans sa bibliothèque, sans vie. Elle n’était pas encore remise de la mort de sa mère et conçu un vif chagrin de la perte de son grand-père. Mais, la vie devait continuer. Et elle continua à vivre avec sa grand-mère. Cette dernière, pour les sept ans de sa petite fille, lui offrit un pendentif – qui avait appartenu à Isabel – en onyx vert. Bijou trop précieux pour une enfant de son âge ? Peut-être. Mais, elle tenait à ce qu’elle eût ce souvenir de sa défunte mère. Et peut-être devinait-elle que ses jours étaient comptés. En effet, à quelques mois de là, durant le mois de novembre, les deux argentines allèrent sur la plage d’El doradillo, afin de permettre à l’enfant de se baigner. Analia avait visiblement rejoint Marisol dans l’eau. Les actualités, les mortels qui raconteraient ce qui s’était passé, dirent qu’Analia avait été prise dans un rouleau et s’était noyée. La réalité était qu’elle s’était certes noyée, mais à cause de monstres mythologiques qui les avaient attaquées, sa petite-fille et elle. Mêmes monstres responsables de l’accident d’avion qui avait été fatal à Isabel. Dès lors, l’enfant conçut une peur panique de l’eau, qui tenait elle aussi de la phobie. Comme elle n’avait plus de parents proches, elle fut confiée à un orphelinat, perdu dans la campagne patagonne. L’établissement saturait, les responsables n’avaient cure des enfants, qui à leurs yeux n’étaient que main d’œuvre gratuite. Sous couvert de responsabiliser les enfants, de les rendre autonomes, ils en avaient fait des esclaves. Par ailleurs, les petits étaient entassés dans des dortoirs insalubres et la nourriture qu’on leur fournissait n’en méritait pas le nom. Par ailleurs, l’hiver avait beau être frais, pas de chauffage pour les enfants, ou rarement. Bref, des conditions inadmissibles, mais ignorées des autorités. Malgré ces conditions, les adultes avaient une télévision. Et tous les jours, les enfants pouvaient entendre ou voir – selon ce qu’ils faisaient – les informations du jour et les catastrophes qui avaient eu lieu de par le monde, qui avait été bien souvent causées par des êtres humains. Enfin, telle fut en tous cas l’idée que Marisol se fit des informations télévisées et cela contribua à l’opinion négative qu’elle se fit de l’être humain. Dans cet endroit, Marisol se rapprocha de deux personnes. D’une part, un adulte, une femme, qui était l’institutrice. Puisqu’il fallait bien que les enfants fussent instruits. Cette dame, Clara, n’osait guère se rebeller contre les responsables de l’établissement, mais tentait de son mieux, discrètement, d’améliorer le quotidien des petits orphelins dont elle avait la charge. Amatrice de musique et de lecture, elle donnait en douce des cours de piano et de flûte de pan à Marisol. De même, elle lui prêtait des livres qui pourraient l’intéresser. En effet, un jour, elle l’avait vue relire pour la énième fois le même livre de mythologie. Elles en avaient discuté et c’est ainsi que le trafic de livres avait commencé entre elles. Peu à peu, Clara gagna la confiance de la demie-déesse, s’y attacha, et réciproquement, Marisol s’attacha à son institutrice. C’était parmi les seuls moments agréables que la petite passait. L’institutrice avait, au hasard d’un livre qu’elle avait prêté à l’enfant, que la gamine savait lire et comprendre le grec ancien, sans jamais l’avoir appris. Ce qui pouvait paraître pour le moins étrange. Tout comme elle s’était aperçue, en donnant des cours de musique à la dite petite fille, que celle-ci était capable de reproduire n’importe quel air qu’elle avait mémorisé sur un instrument, sans avoir besoin de partition. Marisol se rapprocha également d’un petit garçon de huit ans. Il s’appelait Juan. Quand par hasard, ils en trouvaient le loisir et l’énergie, ils jouaient ensemble. Ils parlaient aussi, beaucoup, se racontaient leurs vies. Juan vint à tout savoir de sa camarade et celle-ci croyait bien le connaître. Au bout d’un an de cette vie, ils commencèrent à parler d’évasion. Six mois plus tard, ils commençaient à organiser des plans pour y parvenir. Ce qui fut vite réglé et mis en place. Et finalement, elle faisait le mur de l’orphelinat avec Juan. Ils marchèrent, marchèrent, mangeant comme et quand ils le pouvaient. Arrivés à Trelew, ils furent séparés par un mouvement de foule. De temps en temps, la gamine trouvait une personne bien intentionnée, qui lui offrait gîte et couvert. Elle faisait chemin vers le Nord, cherchant à s’éloigner de ce maudit orphelinat. Elle ignorait que Clara avait été renvoyée de son poste – considérée comme responsable de l’évasion des deux orphelins – et qu’elle la suivait, souhaitant veiller sur cette enfant à laquelle elle s’était attachée et qu’elle aurait voulu adopter. A force de marche, de stop, Marisol arriva à Viedma. Elle avait joué sur la corde sensible des gens en leur interprétant des morceaux à la flûte de pan et avait obtenu ainsi de quoi se nourrir, où dormir ou de l’aide pour avancer dans son périple. Elle s’était écroulée de fatigue et de chagrin sur le pas d’une porte lorsqu’elle fit une rencontre improbable. Juan était arrivé là, lui aussi, par ses propres moyens. Il était arrivé quelques jours avant elle et lui proposa gîte, tenue (elle était en haillons) et couvert. La proposition était pour le moins tentante et elle avait une confiance aveugle en son aîné. Elle le suivit donc. Pour se retrouver dans un taudis, rempli d’enfants. Le premier soir, l’homme qui tenait la maisonnée lui parut accueillant. Les autres enfants, eux, étaient curieux. Là, ce qu’elle obtint pour « nouvelle tenue » fut une robe, semblant tout droit sortie du fond des âges, ou plutôt du XIXème siècle. L’enfant ne pouvait dater aussi précisément la chose, mais était bien consciente qu’elle était vêtue d’une manière qui ne correspondait pas à l’époque à laquelle elle vivait. Elle découvrirait bientôt qu’en fait, elle était tombée dans les mains d’un bandit, qui exploitait lui aussi les enfants – pour commettre des forfaits à sa place – et les battait jusqu’au sang lorsqu’ils ne lui donnaient pas satisfaction. Elle découvrit bien assez tôt tout cela à son goût. Quand elle comprit qu’on voulait l’exploiter et en plus à des fins malhonnêtes, elle tenta de s’enfuir. Rattrapée, elle subit le châtiment qui était réservé aux enfants dans ce cas-là. Et ce devant tous les autres. Quelques temps plus tard, elle tomba sur Clara. Cette dernière, finissant par découvrir tout ce que subissait la petite, fit tout son possible pour la sortir de là. Elle y parvint, mais au prix fort. Car l’homme qui avait « hébergé » Marisol, sans foi ni loi, n’eût aucun scrupule à tirer sur la femme. De là où elle était, l’enfant, invisible aux yeux de l’homme, assista à la scène et vit la jeune femme mourir. Une fois que le malfrat fut parti, elle quitta la ville, cheminant toujours vers le Nord. Juan en l’embarquant dans cette histoire avait trahi sa confiance et elle le laissait à son triste sort sans regret. Elle lui en voulait trop de tout ce qu’elle avait subi, de la mort de Clara. Et se considérait elle-même responsable de cette tragédie. Après cet épisode, l’enfant s’enferma dans un mutisme complet, traumatisée par tout ce qu’elle avait vécu et ayant perdu toute confiance en l’être humain. De même que lorsqu’elle avait traversé la Patagonie après avoir fait le mur de l’orphelinat, elle avait « suggéré » aux gens qu’elle rencontrait, par sa musique, de l’aider. Que ce fut en lui offrant de quoi manger, en racontant qu’elle voyageait avec eux, etc. Et quand elle devait avoir recours à cette extrémité, elle jouait pour endormir contrôleur ou tout autre personne l’empêchant de parvenir à ses fins. A force de jouer les passagers clandestins dans les trains, bus, de faire du stop, de marcher, encore marcher, elle finit par quitter le pays, traverser d’autres pays… Avant d’arriver aux Etats-Unis, de faire chemin vers New-York voulant et s’éloigner de la frontière et sentant au fond d’elle-même que c’était là la direction à prendre. C’est ainsi qu’elle finit par se retrouver non loin de la colonie des sangs-mêlés.
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Poséidon (Bungalow3) Parents Divins : Poséidon
Sam 5 Oct - 10:38
Félicitations !
Tu es validé !
Bienvenue parmi les enfants de l'Olympes !
Ta fiche respecte le modèle donné et est complète. Tout y est alors je ne peux que te valider et te souhaiter un bon jeu chez nous ^^
Je t'invite cependant à recenser dès à présent ton avatar en passant par ce lien ici, puis de faire un petit tour pour créer ta fiche de lien là, ta fiche de parcours par ici et aussi ta fiche technique de pouvoir afin d'achever ton processus d'inscription par là.
A très vite au détour de l'une de nos contrée. L'histoire ne fait que commencer...
Que le jeu commence pour vous !
code (c) rainmaker
Messages : 50
Date d'inscription : 05/09/2018
Marisol de la Serna
Correctrice
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Dans les Bois... Parents Divins : Apollon
Dim 6 Oct - 0:06
Merci. Pour l'avatar, c'est fait, pour le reste, je commencerai à me pencher dessus demain
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