Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
Les enfants de l'Olympe
Dieu, Demi-dieu, créature, chasseresse ou mortel qui entrez ici pour partager l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Êtes-vous prêt à faire basculer dans votre camp le fil de la destinée ? Si oui alors entrez !
L'aventure vient de commencer... Comme à chaque fois qu'une menace pèse sur les mondes on a besoin de nouveaux Héros ! Alors dans quel camps serez-vous?
Age : J'ai 17 piges. Date de Naissance : j'ai été expulsée le 31 octobre 2001 à la Nouvelle Orléans (Etat de Louisiane, USA). Origine: Je suis une américaine et plus particulièrement une Cajun. Parent Divin: Héphaïstos. Age d'entrée à la colonie: j'débarque à peine sur les lieux d'la fiesta. Groupe : demi-déesse. Pouvoir : Affinité avec la mécanique, la pyrokinésie et immunité au feu. Avatar : Kat Mcnamara.
ce que je vois...
Jo est loin d'avoir hérité du physique de son père. Elle est plutôt grande avec son 1.75 mètres. Son style de vie lui a sculpté un corps athlétique plutôt taillé pour la course, la discrétion que la baston brutale et violente. Bien que faisant exprès de ne pas se mettre en valeur (c'est dangereux de faire cela quand on vit dans la rue), Jo est un joli brin de fille avec des formes assez avantageuses. De ce point de vue là, elle a certainement hérité exclusivement de sa mère et c'est tant mieux, car la vie aurait été difficile si son géniteur lui avait refilé sa tronche ou bien sa fâcheuse tendance à boiter. Finn est une jeune femme rousse, un roux particulièrement incendiaire qui semble refléter son caractère et ses origines. Cela s'accorde parfaitement avec son teint d’albâtre et ses yeux vert-noisette. Son regard est franc, mais peu expressif. Dans la rue, il faut savoir cacher son jeu et bluffer. Sachant cela, il vaut mieux verrouiller à double tour l'accès directe à son âmes. Cependant, son regard pétille de vitalité et de malice. Cela se retrouve dans ce sourire taquin que la jeune femme affiche en permanence sur ses fines lèvres. Autant dire qu'il est difficile de savoir ce que Jo pense réellement et son humeur réelle.
Ma psyche
Pour résumé le caractère de Jo, un seul mot suffit: VOLCANIQUE. La jeune femme est une grande gueule et n'hésite jamais à l'ouvrir pour donner son avis. Elle fait preuve d'une certaine impulsivité qui parfois la met dans de beaux draps dont Finn se sort avec une élégance toute relative. Ceci dit, elle compense par sa capacité à analyser les choses et les situations de manière précise et rapide. La stratégie ? Elle ne sait pas ce que c'est, Jo agit à l'instinct et il ne l'a jamais trompé jusqu'à présent. La jeune femme possède une sorte de sixième sens pour flairer les embrouilles ainsi que les gens qui attirent les emmerdes. Chez la belle rousse, la loyauté est quelque chose d'assez fluctuant. Après tout, à quoi cela ça sert d'être loyal si on est mort ? Elle pense très sincèrement qu'il vaut mieux parfois battre en retraite en laissant un amis dans les ennuis pour mieux revenir l'aider plus tard quand on est armé comme il faut. C'est la loi de la rue et Jo l'applique sans problème. Par contre, on est certain que si elle file en douce, c'est pour mieux revenir, car elle n'a jamais laisse tombé quelqu'un à qui elle tenait. De plus, sa forte détermination la pousse à toujours accomplir l'objectif qu'elle s'est fixé. Certain diront que c'est une tête de mule, une jolie tête de mule. Pas vraiment sociable, ni vraiment généreuse, Finn n'est pas pour autant une ermite solitaire ou bien une radin de la pire espèce. La rue lui a appris le prix de la vie et à savoir quand partager puis surtout quand garder l'essentiel pour soit.
ce qu'il y à a savoir...
1 * Josephine se fait appelée exclusivement Jo ou Finn. Seule sa mère l'appelait JB parce que son second prénom c'est Belle. Oui, Pour létat civil, elle s'appelle Josephine Belle Finnegan. 2 * Jo est une gosse des rues possédant peut d'éducation. D'ailleurs, elle a quitté assez tôt le système scolaire, car il ne lui convenait pas. 3 * Jo ne sait que depuis peu que son géniteur est un Dieu grec et elle comprend mieux sont tempérament volcanique ainsi que son attrait pour le feu. 4 * Depuis toute petite, Jo est un petit génie de la mécanique. Si bien qu'elle aime tout démonter par curiosité afin de comprendre comment ça fonctionne. 5 * De part son hyper-activité, Jo a toujours dû bouger. Elle ne sait pas rester en place. C'est donc tout naturellement qu'elle s'est lancée dans le parcours urbain. 6 * Bien que Jo ne soit pas un monstre de musculature, elle possède malgré tout de la force. De fait, elle a appris avec la petite bande à se défendre mode "baston de rue". Ceci dit, elle préfère souvent la fuite que l'affrontement frontal. Etant plus agile que forte, elle s'en sort mieux pour semer ses adversaires que les mettre au tapis. 7 * Les règles de bienséance de la bonne société lui sont étrangères. Pour Jo seul le résultat compte et qu'importe si cela ne répond aux critères de loyauté, d'honneur ou d'engagement édictés par les bourges ou autres personnes ayant le temps de faire de la philosophie, du temps à perdre en divers absurdités. 8 * C'est un envoyé d'Héphaïstos qui a trouvé Jo et l'a conduite au camps. Il lui a tout expliqué. 9 * La première fois que Jo à vu un monstre, elle a eu la frousse de sa vie. Elle n'a jamais couru aussi vite, loin et longtemps que cette fois là. 10 * Jo possède un langage particulier du fait de son éducation. D'ailleurs, elle ne connait pas non plus les convenances sociétales et applique celles qu'elle a apprises dans les rues de la Nouvelles-Orléans. 11 * Jo possède des tatouages qui sont peu visible quand elle est habillée. Par contre, ses piercings le sont plus, notamment ceux à ses oreilles. Elle en possède une ribambelle ainsi qu'un à la langue.
Mon histoire ma vie...
A pas feutrés, une ombre avançait prudemment vers une source lumineuse qui perçait tel milles éclat par les interstices de la porte qui bouclait le long et lugubre couloir. Seul le cœur battant dans la poitrine et le sang imprimant le même rythme aux tempes semblait exister pour cette ombre furtive qui se dirigeait vers la lumière tel un papillon attiré par une flamme. Une main se tendait doucement vers la poignet, mais le geste fut interrompu par un étrange bruit de mastication. Quelqu'un derrière cette porte semblait manger. L'hésitation était palpable, mais dans un élan de détermination, l'ombre ouvrit la porte pour entrer en pleine lumière et découvrir un spectacle morbide. Un énorme chien noir au poitrail feu avait le museau enfouit dans les entrailles un jeune homme. La pièce avait était ravagée comme si une tornade s'était déclenchée à cet endroit précis. Le mobilier avait été renversé, détruit, réduit en miette par une force herculéenne. L'intrus troubla le repas du canidé des enfer qui riva ses yeux plus sombre que l’obsidienne sur cette personne. Un profond grognement vit le jour, les babines se retroussèrent par habitude afin de dévoiler de monstrueux crocs jaunis et la bête fit un premier pas vers sa nouvelle victime. Comme hypnotisée par le macabre spectacle sous ses yeux, la jeune femme ne réagit pas immédiatement aux sourdes menace du chien qui dévorait paisiblement un cadavre quelques secondes plutôt. La féroce animal se rua sur la rouquine qui se tenait encore dans l'encadrement de la porte et qui n'eut la vie sauve que par un extraordinaire réflexe, celui de claquer la porte à la truffe du terrible prédateur. De rage, le chien se rua à l'assaut de la porte qui menaçait de céder à tout moment. Sans réfléchir plus que cela, la jeune femme rousse se mit à courir à en perdre haleine. A peine avait-elle parcouru une vingtaine de mètre que le bruit déchirant du bois cédant sous les furieux assaut de l'animal se faisait entendre. Pas le temps de se retourner, il fallait courir et vite pour sauver sa peau. Hurlant à la mort devant sa victoire, le chien se mit à pourchasser la jolie rousse. Il fallait absolument atteindre la prochaine porte et la refermer avant que le monstre qui hantait cet endroit fasse une nouvelle victime. Avec comme seule idée de courir plus vite, toujours plus vite, la rouquine allongea sa foulée, accéléra la cadence de ses foulées, se concentra sur la lumière de la sortie comme ultime but à atteindre. Elle cherchait à se fermer à toute autre idée pouvant la perdre, la démotiver, lui faire rendre les armes devant une tâche que beaucoup pourrait estimer impossible: échapper au molosse. Déjà dans son dos, elle pouvait entendre le bruit des griffes raclant le sol suivant le rythme d'une cadence effrénée qui lui signalait que l'animal était plus véloce qu'elle. Il ne lui restait plus qu'espérer avoir assez d'avance pour lui claquer cette porte au museau et cette fois, le chien aurait bien plus de mal à défoncer cette dernière. Une porte métallique ne se forçait pas aussi facilement qu'une en bois. La sortie était toute proche et il allait falloir agir vite et avec précision, car la jeune femme n'avait plus beaucoup d'avance sur le canidé. Continuant à courir à toute vitesse, elle commença à se répéter ce qu'elle devait faire. Surgir par la porte négocier un virage serré afin de pouvoir pousser cette porte métallique de toute ses forces pour la fermer avant que le chien ne passe ce foutu encadrement.
BANG !
La porte venait de claquer violemment et le bruit sourd d'un corps heurtant de plein fouet la panneau métallique se fit entendre et sentir. Sous le choc, la jeune femme fut projeter au sol. Le grincement d'une porte pivotant doucement sur ses gonds se faisait entendre. Le temps de se remettre de ses émotion, la rouquine vit le canidé se remettre sur ses pattes et la fixer à nouveau avec un éclat mortel dans ses yeux d'obsidiennes. Après une rapide analyse, elle avait compris qu'elle n'aurait pas le temps de se relever et de fermer la porte avant que le chien ne l'attaque. Alors, avec un courage qu'elle s'ignorer, elle le laissa reprendre sa course, restant statique afin d'être une cible facile, la jeune rousse ne roula sur le côté qu'au dernier moment et bondit sur ses pieds afin de rentrer dans le couloir et fermer la porte derrière elle. Elle espérait que le chien emporté par son élan mettrait trop de temps pour la poursuivre avant d'avoir remit la battant métallique entre eux. Avant d'atteindre sa destination, la jeune femme fut coupée dans sa course par une plainte déchirante d'un animal agonisant sous le coups d'une attaque mortelle. Sans trop savoir pourquoi, elle se retourna pour voir le chien allongé de tout son long sur le sol à quelques mètre d'elle. Une mare de sang se formait autour de l'animal, mais ce qui fascinait la rouquine, qui retenait son attention était cette sorte de barre de fer qui semblait transpercer l'animal. Son cerveau fit rapidement le point et estima que sans ce coup du destin, le terrible canidé l'aurait certainement attrapée avant même d'avoir pu toucher la porte. Sous le choc, les jambes de la belle rousse se dérobèrent et elle finit par se retrouver affalée sur le sol toute tremblante. Ce fut au bout de longues minutes de contemplation morbide qu'elle remarqua qu'il y avait quelqu'un d'autre. Un homme avec une forte stature. En pleine confusion, elle n'arriva pas à faire le point sur ce qu'elle voulait dire.
Vous ? Mais ... Comment ... Pourquoi ? Je ...
L'homme avança dans la lumière et ce fut un nouveau choc qui attendit la rouquin. Il avait un puissant torse, mais ses jambes n'étaient là où elles devaient être. A la place, la jeune femme pouvait voir des pattes de bouc. Son regard passait du cadavre du chien, un immense molosse maintenant qu'elle pouvait l'admirer, à cet être étrange qu'elle pensait être le responsable de la mort de la terrible créature. Il s'avança encore et retira la barre de fer du corps de l'animal. Finalement, la jolie rousse put constater que c'était bien plus, c'était une sorte de la lance. Il continua d'avancer et s'accroupit devant la rouquine et s'adressa à elle avec une voix douce bien que particulièrement grave.
Je suis un faune ... Je t'expliquerait cela plus en détail plus tard. Pour le moment, sache que je suis là pour t'aider à rejoindre saine et sauve le camp.
Il se redressa et tendit une main secourable à la jeune femme qui était encore affalée sur le sol avec des jambes qui refusait toujours de lui obéir. Toute personne normale aurait certainement hurlé, refusé de croire ce qu'elle voyait, pas elle. La jolie rousse avait parfaitement assimilé tout ces faits étranges et son instinct infaillible jusqu'à présent ne lui lançait aucun signal d'alarme. La rouquine le savait, elle se retrouvait confronté à une réalité que la plupart des gens refuse de voir. La jeune femme ignorait pourquoi c'était le cas, mais elle en était certaine. Sans vraiment s'en rendre compte, la jeune rousse avait saisit la main secourable du faune qui l'aidait à se relever. Le sourire qu'il lui adressa était carnassier, mais pas effrayant. Les lèvres de ce dernier se mirent à bouger de nouveau, mais il fallu quelques microsecondes pour que le cerveaux se reconnecte et qu'elle comprenne.
C'est ton père qui m'envoie. Il veut te savoir en sécurité au camp. Les temps vont devenir difficiles pour vous les sang-mêlés.
Qu ... Comment ? Mon père ?
Elle était abasourdie par cette révélation. Cet étrange personnage connaissait son père, alors qu'elle, la pauvre gamine des rues de la Nouvelle-Orleans ne savais rien de lui. Elle savait juste qu'il avait engrossé sa mère un soir lors d'une fiesta dans la bayou. La honte s'étant abattue sur la famille avec cette grosse involontaire, la fautive fut exclus des terres familiales ainsi que de la mémoire de ses membres. Jeanne avait toujours été une mère courage, bossant plus qu'humainement possible afin d'offrir une vie relativement confortable à sa gamine. Jamais cette brave femme n'avait reproché sa vie de misère à l'enfant. Pourtant, cela n'empêcha pas la rouquine de se sentir coupable de cet état de fait. C'était probablement pour cela qu'elle avait si souvent déraillé. Inconsciemment, c'était peut-être sa façon de se flageller. Née le 31 octobre, le jour d'Halloween, la jolie rousse avait reçu comme patronyme Josephine Belle Finnegan. Pour faire plus court, la mère la surnomma JB. Pour les autres, c'était Jo ou Finn. Puis, quand elle avait fait la connerie de trop, c'était son patronyme entier qui y passait. 0 ce souvenir, un sourire triste passa brièvement sur les lèvres de la rouquine.
Oui ... Mais ne restons pas là. Il faut bouger.
Il se mit à marcher en direction d'une voiture et grimpa dedans. Malgré une légère hésitation au départ, Jo le suivit et s'engouffra dans le véhicule.
Où c'est qu'on va ?
Au camp je t'ai dit.
Avant, faut passer par ma crèche.
Suivant les indications, le faune conduisit Finn à son squatte. Il la suivait comme son ombre. Interloquée par le fait que personne ne remarquait son aspect physique, il se contenta de parler rapidement de "magie". Il fallait se presser pour éviter d'autres mauvaises rencontre comme celle d'avec le chien qui avait la taille d'un cheval. En passant devant la porte de Jim, la rouquine eut un léger vague-à-l'âme. Le pauvre avait dû mourir dans d'atroce souffrance sous les crocs de ce monstre. Passant la porte de sa piaule, Jo choppa son sac de voyage pour y fourrer quelque vêtements, une photo de sa petite bande de branleurs et surtout sa petite boite à trésor renfermant entre autre chose un peu d'argent, une petite centaine de dollars. Il y avait aussi quelques bijoux hérités de sa mère, une photo d'elle bébé dans les bras de cette femme admirable que fut Ashley et tellement de petites choses inutiles mais d'une incroyable valeur sentimentale. Tout en faisant son sac, elle regardait son sauveur à la dérobée. Il était tendu et prêt à agir au moindre signe de danger. Finalement, Finn se hasarda à le questionner un peu tout en faisant son sac.
C'est quoi ton blaze ?
Gordius.
Tu connais mon géniteur ?
Non.
L'incompréhension était totale et certainement que le faune l'avait senti, car il ajouta rapidement des précision.
C'est un dieu, tout le monde le connait. Il ordonne et on obéit.
Jo resta bouche bée devant cette révélation. Elle avait du mal à reprendre son souffle. Les mots se bousculaient tout comme de nombreuses questions, mais les son refusaient de franchir les limites de ses fines lèvres. Au bout de quelques dizaines de secondes qui parurent une éternité, Finn put finalement articuler une phrase.
Un dieu ? C'est quoi s'délire ?
Gordius fit signe à la rouquine de se dépêcher et promis d'être plus causant pendant le voyage en voiture. Encore un peu sonnée par toute ces découvertes, Jo navigua au radar pour finir son sac de voyage et quitta sa piaule sans se retourner. La jeune femme regardait toujours vers l'avant, jamais vers l'arrière. Les regrets, elle faisait ce qu'il fallait pour ne pas en avoir. Dévalant les escaliers à la suite de son ange gardien, la rouquine remarqua une bestiole étrange du coin de l’œil. D'instinct, la jeune femme sauta les dernière marches. Le bruit sourd un objet se plantant dans la mur résonna au-dessus de sa position, à l'endroit même où elle se tenait. Sans attendre de voir ce qui allait apparaître sur le palier, elle força l'allure et poussa même Gordius qui semblait prêt à découdre.
C'est pas la première fois que j'vois ces bonnes femmes. Si on speed, elle lâcheront l'affaire. Magne ton cul.
Comme demandé, il força à son tour l'allure. Les deux fugitifs déboulèrent dans la rue faiblement éclairée et coururent vers la voiture pour filer rapidement. A peine entré dans le véhicule que les cris stridents des monstres résonnaient dans l'immeuble. L'une des ces bonnes femmes comme Jo les avaient désigné sauta par une fenêtre pour les poursuivre.
Une harpie ?
Le faune semblait étonné de penser que la rouquine avait déjà eu affaire à un tel monstre et s'en être sortie. Cependant, il garda ses réflexions et ses questions pour plus tard. Le moment était à l'action et il démarra en trombe. Rapidement, la harpie lâcha du terrain ne pouvant rivaliser avec une voiture en terme d'endurance et de rapidité. Roulant pendant des heures sans un mots, ce fut finalement Gordius qui le rompit.
Tu as déjà rencontré des harpies ?
C'est comme ça que ça s'appelle ? Chavais pas. Mais ouais, j'en ai déjà rencontré. Saloperie ! C'est rapide, mais pas agile pour deux sous et plus con encore.
Jo éclata d'un rire grave tout comme l'était sa voix. Maintenant que le calme était revenu, Gordius découvrait de nouvelle chose sur sa protégée. Sa voix grave tranchait avec son physique délicat, tout autant que son phrasé particulièrement marqué par sa vie dans les rues de la grande ville. Le rire finit par mourir rapidement dans la gorge serrée de la jeune femme.
T'sais si Jim a vu sa mort arriver ?
Les humains ne nous voient pas.
Piètre réconfort. Un nouveau silence.
Alors ? C'est qui mon géniteur ?
Héphaïstos, le dieu de la forge et de la technique.
Finn se contenta de hausser des épaules comme si cela n'avait pas la moindre importance finalement.
Et c'est quoi ces conneries de Dieux,de faunes, de harpies ?
La mythologie grecque ne l'ai pas. Nous existons réellement. Là, je te conduit dans un camp où tu apprendras à devenir une demi-déesse sous la direction de Chiron.
Qui ? QUOI ?
Chiron, un centaure qui forme les héros et demi-dieux depuis un sacré moment.
Oui, non, mais ... Devenir quoi ?
Devenir une demi-déesse. Après tout, tu es la fille d'un Dieu et d'une mortelle. Chiron fera de toi une véritable héroïne comme le fut Hercule, son plus prestigieux élève.
Euh ... Ouais, j'suppose que Disney n'est pas une source fiable d'information ?
Gordius éclata de rire à cette référence.
Effectivement, Hercule n'était pas un benêt.
De nouveau un silence. Jo n'ayant pas envie de parler, il lui fallait du temps pour tout ingurgiter, elle alluma la radio. Un bon vieux blues du Mississippi se fit aussitôt entendre. Bercée par la musique, fatiguée par cette journée hors du commun, la rouquine finit par sombrer dans un sommeil sans rêves. A son réviel, elle ne savait combien de temps elle avait dormi, mais la voiture était à l'arrêt près de ce qui semblait être une cabane forestière. En sortant, elle appela Gordius qui arriva en compagnie d'une créature étrange. C'était la première fois qu'elle voyait un centaure.
Bonjour Josephine, je te présente Chiron.
La jeune femme rousse se mit à grogner.
J'm'appelle Jo ou Finn.
Enchanté Jo !
'Lut Chiron. C'est donc à ça qu'ressemble un centaure. Ça a pas la même tronche que dans Harry Potter.
Je vois que tu as le sens de l'humour. C'est bien, conserve le précieusement.
Maître, comme je vous l'ai dit, Jo est la fille d'Héphaïstos et d'une mortelle.
Oui ! On verra bien ce que je pourrai lui enseigner. Pour le moment conduit la à sa nouvelle demeure.
Bien maître.
Quand à nous Jo, on se verra plus tard, quand tu seras installée. On devra mettre à jour ton dossier, mais ça ne presse pas.
Le centaure prit congé de Gordius et Finn avec un petit sourire aux lèvres. Ce fut comme cela que la rouquine se retrouva à vivre dans ce camp pour demi-Dieu.
Le parchemin des Olympiens Bungalow : Poséidon (Bungalow3) Parents Divins : Poséidon
Ven 18 Jan - 22:22
Message de validation...
★Bienvenue parmi les enfants de l'Olympes !
Ta fiche respecte le modèle donner et est complète. Tout y est alors je ne peux que te valider et te souhaiter un bon jeu chez nous ^^
Je t'invite cependant à recenser des à présent ton avatar en passant par ce lienici, puis de faire un petit tour pour créer ta fiche de lien là, ta fiche de parcours par ici et aussi ta fiche technique de pouvoir afin d'achever ton processus d'inscription.c'est ici
A très vite au détour de l'une de nos contrée l'histoire ne fait que commencer...